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ROSETTA


frédogoto

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  • 2 weeks later...
  • Administrators

actualité tres riches ces derniers jours, j'ai eu tres peu de temps pour vous condenser cela

6d474004b1_Comet_on_15_June_2015_NavCam_01.jpg

alors vite fait :

on a decouvert les rascine de cheveux de la commte : c'est jamais la surface sur s'avapore (ou tres peux) mais le jet viennent systématiquement des profondeur de la comète (cavité creuse mais pas forcement profondes)

un tres bon article sur FS

http://www.futura-sciences.com/magazines/espace/infos/actu/d/rosetta-rosetta-enquete-fosses-tchouri-origine-jets-58869/

a6d95e9b14_Active_pits_on_comet_node_full_image_2.jpg

17f7b4a4a2_evolution_pits.jpg



accessoirement la sonde roseta vient d'atteindre l'orbite des 160km, nécessaire à l'établissement d'une meilleur connexion avec Phiale

sur twitter, depuis quelques minutes on peu lire :


@DLR_en @Philae2014

I am AVAILABLE for INTERVIEW...

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  • Administrators

Actualité très riches ces derniers jours, j'ai eu très peu de temps pour vous condenser cela

6d474004b1_Comet_on_15_June_2015_NavCam_01.jpg

alors vite fait :

On a découvert les racines de cheveux de la comète : c'est jamais la surface qui s’évapore (ou très peux) mais les jets viennent systématiquement des profondeurs de la comète (cavités creuses mais pas forcement profondes)

un très bon article sur FS.

http://www.futura-sciences.com/magazines/espace/infos/actu/d/rosetta-rosetta-enquete-fosses-tchouri-origine-jets-58869/

a6d95e9b14_Active_pits_on_comet_node_full_image_2.jpg

17f7b4a4a2_evolution_pits.jpg



Accessoirement la sonde Rosetta vient d'atteindre l'orbite des 160km, nécessaire à l'établissement d'une meilleur connexion avec Philae

sur twitter, depuis quelques minutes on peu lire :


@DLR_en @Philae2014

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  • Administrators

PHILAE ET ROSETTA S’OFFRENT 20 MINUTES DE CONVERSATION


Nouvelle très encourageante pour la suite de la mission de Philae, puisque la comète Churyumov-Gerasimenko arrivera à son périhélie (le point le plus proche du Soleil) dans la nuit du 12 au 13 août prochain. Alors que la sonde et l’atterrisseur ont procédé ces derniers jours à des tentatives de communication, Rosetta et Philae ont communiqué pendant 20 minutes quasi ininterrompues hier en fin d’après-midi, un huitième contact qui est une véritable surprise et que les équipes sont en train de déchiffrer.


La mission Rosetta n’a décidément pas fini de défrayer la chronique. Alors que la dernière communication entre Rosetta et Philae datait du 24 juin, les équipes procédaient régulièrement à des tentatives de communication entre la sonde et son atterrisseur, en faisant varier la hauteur de Rosetta sur l’horizon de Philae et la distance les séparant. C’est avec une grande surprise qu’elles ont assisté hier à un huitième créneau de communication quasi ininterrompu de 20 minutes, de 19h45 à 20h05.


Alors que la comète Churyumov-Gerasimenko se rapproche de son périhélie, le point le plus proche du Soleil, qu’elle atteindra dans la nuit du 12 au 13 août prochain, tous les yeux sont braqués sur la « mission de tous les records ». En effet, cette proximité avec le Soleil devrait permettre aux scientifiques de compléter les analyses qui n’avaient pu être menées en novembre du fait de l’atterrissage acrobatique de Philae et de sa position sur le flanc, calé entre des rochers. Mais pour ce faire, il fallait avant tout réussir à rétablir une liaison de qualité entre Rosetta et Philae, une opération en cours depuis juin dernier.


Grande surprise pour les scientifiques, Rosetta et Philae ont communiqué hier… pendant 20 minutes quasi ininterrompues, une nouvelle aussi prometteuse que surprenante, puisqu’une telle liaison, réalisée à une latitude de 12 degrés, était plus qu’inattendue ! Cette liaison est de loin le meilleur créneau obtenu, avec très peu de coupures, et est de bon augure pour la suite, puisqu’une telle qualité de communication permettrait aux équipes de prendre la main sur Philae et de le commander alors que, jusqu’à maintenant, le robot se réveille, s’éteint et travaille de façon autonome. Elle rassure aussi la communauté scientifique quant à l’état de Philae et de ses équipements.

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  • Avexiens

Cette mission sait nous tenir en haleine... Je suis très impatient de voir de nouveaux résultats de mesures de Philae.

Mais j'ai peur que l'attente soit encore longue car l'exploitation scientifique est le préalable à leur diffusion.

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  • 2 weeks later...
  • Administrators

Salut

ben c'est un peu le bazars avec l’atterrisseur Philae.

il semble que certains élément de son antenne soient cassé en plus du fait que le modele a certainement changé d'orientation par rapport a sa position initiale, (comme je le supposait il y a quelques semaine)

a plusieurs reprise les techs ont cru le module HS mais il a toujours fini par envoyer quelques signaux qui à défaut d'être exploitables prouve au mois que le machin respire toujours

Le soucis c'est que cette "acharnement thérapeutique" commence a nuire au déroulement du reste de la mission en amputant des ressources matérielle et surtout temporelle au projet


ci dessous une image de la comete du 14 Juillet

Comet_on_7_July_2015_NavCam_node_full_image_2.jpg

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  • Administrators

sur 67p

c'est vrai que jusqu'a présent les vue sur le comette ne laissaient guerre entrevoir le précieux matériau

sur cette vue en couleur on disting un partie nettement plus claire, très probablement de la glace (chargée d'autre element et poussière, car elle n'est vraiment pas tres blanche)

cette image à été prise par la camera haute résolution ( Osiris ) don les images rendues publiques se comptent sur les doits, a 43km

chaque pixel fait ici 81cm, le champs de vison couvre donc 800m de largeur

151081Untitled1.png

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Philae révèle la matière organique de la comète Tchouri


Des molécules organiques inédites sur une comète, une structure variée en surface mais plutôt homogène en profondeur, des composés organiques formant des grains : les résultats issus des premières données de Philae à la surface de la comète Tchouri dessinent un visage surprenant. Cette comète est loin d'être un clone de celles que l'on connaît... et elle ne colle pas complètement aux modèles en vigueur.



Le 30/07/2015 à 20:01 - CNRS


10 commentaires RÉAGIR


La comète 67P/Churyumov-Gerasimenko photographiée le 20 juillet par la sonde Rosetta, à 171 km du centre du noyau. À l’approche du périhélie, le 13 août 2015, son activité n’a de cesse d’augmenter. Philae repose sur le plus petit des deux lobes de cet astre d’un peu plus de 4 km de longueur. La résolution est de 14,5 m par pixel. © Esa, Rosetta, NavCam – CC BY-SA IGO 3.0

La comète 67P/Churyumov-Gerasimenko photographiée le 20 juillet par la sonde Rosetta, à 171 km du centre du noyau. À l’approche du périhélie, le 13 août 2015, son activité n’a de cesse d’augmenter. Philae repose sur le plus petit des deux lobes de cet astre d’un peu plus de 4 km de longueur. La résolution est de 14,5 m par pixel. © Esa, Rosetta, NavCam – CC BY-SA IGO 3.0

La mission de rendez-vous cométaire Rosetta a offert, grâce à l’atterrissage du module Philae, le 12 novembre 2014, une opportunité exceptionnelle : celle de l’étude in situ du noyau d’une comète – de sa surface à sa structure interne –, en l’occurrence 67P/Churyumov-Gerasimenko, ou Tchouri pour faire court. Ce travail à même la surface apporte de quoi faire progresser la compréhension de ces petits corps célestes témoins des origines du Système solaire.


Les mesures réalisées avec les dix instruments de l’atterrisseur Philae, entre le 12 et le 14 novembre 2014, durant les 63 heures qui ont suivi sa séparation d’avec Rosetta, ont complété les observations effectuées par l’orbiteur. En outre, son atterrissage sur la comète, pleine de rebondissements, a même été source d’informations supplémentaires.


Cosac montre des molécules organiques complexes


Vingt-cinq minutes après le contact initial de Philae avec le noyau de la comète, Cosac (Cometary sampling and composition experiment) a réalisé une première analyse chimique, en mode « renifleur », c’est-à-dire en examinant les particules entrées passivement dans l’instrument. Ces particules proviennent vraisemblablement du nuage de poussière produit par le premier contact de Philae avec le sol. Seize composés ont pu être identifiés, répartis en six classes de molécules organiques : alcools, carbonyles, amines, nitriles, amides et isocyanates. Parmi eux, quatre sont détectés pour la première fois sur une comète : l’isocyanate de méthyle, l’acétone, le propionaldéhyde et l’acétamide.


Elles sont des précurseurs de molécules importantes pour la vie (sucres, acides aminés, bases de l’ADN). Mais la présence éventuelle de ces composés plus complexes n’a pas pu être identifiée sans ambigüité dans cette première analyse. Par ailleurs, quasiment toutes les molécules détectées sont des précurseurs potentiels, produits, assemblages ou sous-produits les uns des autres, ce qui donne un aperçu des nombreux processus chimiques à l’œuvre dans un noyau cométaire et même dans le nuage protosolaire en effondrement, aux premiers temps du Système solaire.


Cosac a identifié un grand nombre de composés azotés, mais aucun composé soufré, contrairement à ce qu’avait observé l’instrument Rosina, à bord de Rosetta. Cela pourrait indiquer que la composition chimique diffère selon l’endroit échantillonné.


Civa voit de la matière organique agglomérée en grains


Les caméras de l’expérience Civa (Comet infrared and visible analyser) ont révélé que les terrains proches du site d’atterrissage final de Philae sont dominés par des agglomérats sombres qui sont vraisemblablement de gros grains de molécules organiques. Les matériaux des comètes ayant été très peu modifiés depuis leurs origines, cela signifie qu’aux premiers temps du Système solaire, les composés organiques étaient déjà agglomérés sous forme de grains et pas uniquement comme de petites molécules piégées dans la glace comme on le pensait jusqu’à présent. Ce sont de tels grains qui, introduits dans des océans planétaires, auraient pu y favoriser l’émergence du vivant.


Paysages variés à la surface de la comète 67P/Churyumov-Gerasimenko, photographiée ici par Rosetta le 19 octobre 2014 à seulement 9,9 km du centre du noyau. Les reliefs au premier plan appartiennent au petit lobe où s’est posé Philae le 12 novembre. Une partie du plus grand lobe est visible à l’arrière-plan. Entre les deux, dans l’ombre, au pied des parois sombres, il y a le « cou » de la comète, un des sites les plus actifs. La résolution de l’image est de 77 cm par pixel. © Esa, Rosetta, NavCam – CC BY-SA IGO 3.0 

Paysages variés à la surface de la comète 67P/Churyumov-Gerasimenko, photographiée ici par Rosetta le 19 octobre 2014 à seulement 9,9 km du centre du noyau. Les reliefs au premier plan appartiennent au petit lobe où s’est posé Philae le 12 novembre. Une partie du plus grand lobe est visible à l’arrière-plan. Entre les deux, dans l’ombre, au pied des parois sombres, il y a le « cou » de la comète, un des sites les plus actifs. La résolution de l’image est de 77 cm par pixel. © Esa, Rosetta, NavCam – CC BY-SA IGO 3.0


Philae lui-même révèle la surface variée de la comète


Avec sa masse de 100 kg, Philae est lui-même une source de données pour les astronomes. En effet, les propriétés mécaniques des terrains ont pu être déduites de son « accométissage » à rebondissements. L’atterrisseur a d’abord touché la surface à un endroit baptisé Agilkia, puis a rebondi plusieurs fois avant d’atteindre le site nommé Abydos.


La trajectoire de Philae et les données enregistrées par ses instruments montrent que le premier point de touché (initialement choisi pour les opérations) est composé de matériaux granuleux sur une vingtaine de centimètres, alors que le second (où réside actuellement l’atterrisseur) a une surface dure.


Consert voit un noyau cométaire homogène


L’expérience radar Consert (Comet nucleus sounding experiment by radio transmission) a consisté à émettre un signal de Rosetta vers Philae à travers la comète. À la manière d'un scanner médical, ses modifications donnent pour la première fois accès à la structure interne d’un noyau cométaire. Première conclusion : l’intérieur de la comète paraît plus homogène que prévu par les modèles. Le temps de propagation et l’amplitude des signaux ayant traversé la partie supérieure de la « tête » (le plus petit des deux lobes de Tchouri) montrent en effet que cette portion du noyau est globalement homogène, à l’échelle de dizaines de mètres. Ces données confirment aussi que la porosité est forte (75 à 85 %), et indiquent que les propriétés électriques des poussières sont analogues à celles de chondrites carbonées.


C’est dans cette région baptisée Hatmehit, située au sommet du plus petit des deux lobes du noyau cométaire, que se cache Philae. Le site initial nommé Agilkia est la dépression jonchée de rochers visible dans la zone exposée au Soleil. Mais après quelques rebonds, l’atterrisseur a dérivé de son point d’ancrage dûment choisi pour se loger dans un milieu différent et plus sombre. Le site où il réside depuis est désigné Abydos. Les reconstitutions de sa trajectoire le situent dans la région marquée par une ellipse rouge, en bordure d’Hatmehit. L’image a été prise par la caméra à angle étroit Osiris, le 13 décembre 2014, à 20 km du centre de la comète, un mois après l’atterrissage de Philae. © Esa, Rosetta, MPS for OSIRIS Team MPS, UPD, LAM, IAA, SSO, INTA, UPM, DASP, IDA

C’est dans cette région baptisée Hatmehit, située au sommet du plus petit des deux lobes du noyau cométaire, que se cache Philae. Le site initial nommé Agilkia est la dépression jonchée de rochers visible dans la zone exposée au Soleil. Mais après quelques rebonds, l’atterrisseur a dérivé de son point d’ancrage dûment choisi pour se loger dans un milieu différent et plus sombre. Le site où il réside depuis est désigné Abydos. Les reconstitutions de sa trajectoire le situent dans la région marquée par une ellipse rouge, en bordure d’Hatmehit. L’image a été prise par la caméra à angle étroit Osiris, le 13 décembre 2014, à 20 km du centre de la comète, un mois après l’atterrissage de Philae. © Esa, Rosetta, MPS for OSIRIS Team MPS, UPD, LAM, IAA, SSO, INTA, UPM, DASP, IDA


Civa-P et Consert précisent la position de Philae


L’expérience Civa-P (P pour panorama), composée de sept microcaméras, a pris une image panoramique (360°) du site d’atterrissage final de Philae. Elle révèle que les fractures déjà repérées aux grandes échelles par Rosetta se retrouvent aussi jusqu’à l’échelle millimétrique. Elles sont formées par choc thermique, en raison des grands écarts de température que connaît la comète lors de sa course autour du soleil.


Cette image panoramique où apparaît par endroits un pied ou une antenne a aussi révélé la position de Philae. Il repose dans un trou de sa propre taille, couché sur le côté, avec seulement deux pieds sur trois au contact du sol, et entouré de parois qui compliquent son alimentation en énergie solaire et ses communications avec Rosetta.


L’instrument Consert a quant à lui déterminé, avec trois périodes d’observations en visibilité directe entre la sonde Rosetta et Philae, la zone (150 par 15 m) où se trouve Philae. Cela a facilité la reconstitution de la trajectoire de Philae entre le premier site de contact, Agilkia, et le site d’atterrissage final, Abydos. Puis, en utilisant les signaux qui ont traversé l’intérieur de la comète, Consert a réduit l’incertitude sur la localisation de Philae (au bord de la région dénommée Hatmehit) à une bande de 21 mètres par 34 mètres.


Ces recherches qui ont mobilisé des chercheurs du CNRS, d’Aix-Marseille Université, de l’Université Joseph Fourier, de l’Université Nice Sophia-Antipolis, de l’UPEC, de l’UPMC, de l’Université Paris-Sud, de l’université Toulouse III Paul Sabatier et de l’UVSQ, avec le soutien du Cnes sont publiées au sein d’un ensemble de huit articles dans l’édition du 31 juillet 2015 de la revue Science.


Ces premières mesures à la surface d’une comète renouvellent l’image que l’on avait de ces petits corps du Système solaire.


http://www.futura-sciences.com/magazines/espace/infos/actu/d/67pchuryumov-gerasimenko-philae-revele-matiere-organique-comete-tchouri-59193/#xtor=EPR-17-%5BQUOTIDIENNE%5D-20150731-%5BACTU-Philae-revele-la-matiere-organique-de-la-comete-Tchouri%5D

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  • 2 weeks later...
  • Administrators

hier un conference a été organisé et des images inédite on été difusée..

la on est dans le lourd, ton les indicateur sont au taquet et la comete est au max...

ci dessous des captures d'écran de la conf

dans le cercle rouge, un bloc qui se détache de 30 m environ

lBXnQbiU.jpg

fIcRJlpu.jpg


une animation autour de la comete

vvUI56sd.gif

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  • Avexiens

Mouais, ça dégaze pas mal : il va falloir attendre un moment avant que Rosetta puisse de nouveau approcher et communiquer avec Philae...

Le spectacle est quand même impressionnant et l'éjection de gros blocs spectaculaire : espérons que Rosetta ne fera pas de mauvaise rencontre ou que Philae ne sera pas renvoyé dans l'espace !

Cela dit, la probabilité doit en être extrêmement faible.

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  • Membres du bureau

Impressionnant !

Impressionnant aussi d'avoir ces images en quasi direct de ce que tout le monde savait mais n'avait, je crois, jamais observé, en tous cas de si près.


Un truc m'intrigue, si qq un à une explication : je pensais, peut être naïvement, que le dégazage était général et quasi homogène sur toutes les parties de la comète exposées au soleil ; apparemment, s'il y a bien un dégazage généralisé, il y a aussi de puissants jets extrêmement localisés et relativement brefs... Y aurait'il sur la comète il des roches de natures très différentes qui réagissent différemment ? Des poches de gaz qui "explosent" sous l'effet de la chaleur ? ....

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  • Administrators

c'est la seule explication possible : inhomogénéité dans les matériaux de la comète

je ne suis pas tout à fait certain qu'on puisse parler de roche (mais je ne suis pas expert, d'ailleur qu'est ce qui defini exactement une roches ? un minéral ? qu'est ce qui définit un minéral ?? )

en tout cas vu la densité très faible de la comète (grosso modo celle du liège), il est clair que c'est de base un corp poreux

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  • 2 weeks later...
  • 2 months later...
  • Administrators

Article sur le site de Nature : http://www.nature.com/news/historic-rosetta-mission-to-end-wit h-crash-into-comet-1.18713?WT.mc_id=TWT_NatureNews

L’équipe de Rosetta travaille désormais sur le scénario choisi pour la fin de la mission en septembre 2016 : le crash (en douceur) de la sonde sur la comète… De riches heures en perspective !


Extrait traduit :


Bien que Philae a envoyé certaines données au cours de sa descente, Rosetta a de plus puissants et plus variés capteurs et instruments. L'orbiteur descendra aussi beaucoup plus lentement que Philae ne l’a fait, ce qui lui permettra de recueillir plus de données et de meilleures photos. Une fois qu'elle arrivera à 4 kilomètres, par exemple, Rosetta doit être capable de distinguer entre les gaz issus de chacun des deux lobes de la comète en forme de canard pour déterminer si les régions varient en composition, dit Altwegg, qui dirige l'équipe de ROSINA (the Rosetta Orbiter Spectrometer for Ion and Neutral Analysis). Cela pourrait faire la lumière sur les environnements dans lesquels chacun a été formé.

Les caméras de Rosetta obtiendront la meilleure résolution de la surface de la comète — moins de 1 centimètre par pixel dès que l'engin sera à 500 mètres de la surface, ajoute Holger Sierks, PI pour de Rosetta OSIRIS (optique, spectroscopique et Infrared Remote Imaging System). Cela permettra aux chercheurs de regarder les propriétés de surface et la relier à l’activité comètaire que Rosetta a observé depuis l'orbite.


Difficile de dire jusqu’ à quelle altitude les données pourront être transmises vers la Terre ; Il est en outre exclu que Rosetta puisse le faire depuis la surface de 67P…

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  • 1 month later...
  • Administrators

en attendant l'agence spatiale allemande (qui a piloté la fabrication de la camera OSIRIS s'est enfin décidée a rendre publique les images de leur camera... au compte goutte : en gros une par jour

voici la premiere d'entre elle

en remarque le gain qualitatif de definition par rapport au camera de navigation

image clicable

NAC_2015-12-10T01.31.06.651Z_ID10_1397549000_F22_low.jpg

Date taken 2015-12-10T01:32:27.912 (UTC)

Camera Narrow Angle Camera

Filter FFocus_Vis (-) / Orange (649 nm)

Exposure time 0.192 s

Pixel resolution 1.87 m/px at 67P/CG

Processing level Raw

Distance Rosetta ↔ 67P/CG 103.337 km

Distance 67P/CG ↔ Sun 277002016 km 1.851644 AU

Distance Rosetta ↔ Earth 256889760 km 1.717202 AU

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de pratiquement tou sles médias ainsi que sur twitter.. mais impossible de trouver la source originelle ..


Fin de la partie pour Philae ? La mission du petit robot, qui n'a transmis aucune donnée depuis le 9 juillet, pourrait arriver à son terme plus tôt que prévu.


Posé sur Tchoury depuis novembre 2014, il devait envoyer des données et des photos de la comète. Mais un mauvais positionnement a rendu le petit robot de la taille d'un frigo incapable de recharger ses batteries solaires.


Au final, il n'a transmis des données que pendant 60 heures. Un laps de temps néanmoins satisfaisant pour les scientifiques, qui ont notamment pu apprendre qu'il y avait des molécules de dioxygène sur Tchoury.


"On espère encore jusqu'à fin janvier"


Malgré les mauvais signes, les scientifiques du Centre national d'études spatiales (Cnes), à l'origine du projet, gardent espoir que Philae se réveille : «La probabilité que l’on ait un contact diminue au fur et à mesure que le temps avance, mais on ne peut pas dire aujourd’hui que c’est définitivement terminé», déclare Philippe Gaudon, chef de projet au CNES à Toulouse.


«On continue à écouter et on espère encore jusqu’à fin janvier, ajoute-t-il. La comète sur laquelle est posé Philae s’éloigne du soleil, donc la quantité d’énergie reçue par les panneaux solaires diminue, explique Philippe Gaudon. D’un autre coté, l’orbiteur Rosetta s’approche de la surface de la comète donc améliore potentiellement ses chances de contact» avec le robot, ajoute-t-il.

Un signe de vie ?


«On a même eu deux petits bip ces derniers jours, le premier dans la nuit du 21 au 22 décembre et le deuxième le 25, annonce Philippe Gaudon. Mais on n’est pas sûr à 100% que ce soit un message de Philae».

De son côté, France Info expliquait ce lundi matin qu'à partir de maintenant, la comète ne pourra plus envoyer de données. Elle se trouvera en effet dans une position qui rendra impossible toute communication avec la sonde Rosetta, qui lui permet de communiquer avec la Terre.

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  • 3 months later...
  • 2 weeks later...

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