Hello
je viens annoncer que la matière noire est débusquée! En fait elle n'existe tout simplement pas, son champs n'est autre que le champs gravitationnel de l'univers observable.
1er calcul: on représente l'univers observable par une sphère de rayon 7Mdal sur laquelle on colle les 2E12galaxies observées, et on compare son champs à celui d'une galaxie à 10kal de distance, soit 1galaxie pour un rayon²=1E8al², contre 2E12galaxies pour 7E19al², soit 1 pour 2.5E7al². Le rapport donne 4, le champs de l'univers observable, constant, est donc 4fois plus fort que celui d'une galaxie à la distance à partir de laquelle on détecte la matière noire. Bon, en fait il fallait s'attendre à 1, pour signifier que les champs sont équivalents à 10kal et ainsi le champs constant devient prépondérant en s'éloignant
A priori ce champs constant explique la vitesse constante des étoiles en bord de galaxie, un manque d'indice de forte concentration de MN aux centres des galaxies et enfin, puisque notre écoulement du temps dépend partiellement de notre voie lactée et de celui de l'univers observable, il devient plus naturel d'observer une décroissance képlerienne décalée (de ~35kal) de notre propre galaxie
2ème calcul, plus fin, il faut intégrer G.rho.4pir².dr/r² entre 0 et le rayon R de l'univers observable, soit 4pi.G.rho.R. Pour le champs des galaxies, il faut prendre 1E(24 à 25)/r²+1E(-16.6 à -16.3) (cf cet article ), le deuxième terme (à peu près constant, du fait de variations locales dues à la présence de galaxies ou amas proches) permet de calculer la densité de l'univers observable entre 3 et 6E-27kg/m3, soit dans les ordres de grandeur de ce à quoi l'on s'attend (entre 2E-28 et 1E-26). Le premier terme est moins précis, il dépend de la galaxie, sa masse, il indique toutefois que l'équivalence entre ces champs se fait à plus grande distance que 10kal, ce à quoi il fallait s'attendre, par exemple nous sommes à 26kal du centre et notre vitesse dans la voie lactée s'explique à ~80% par la décroissance képlerienne et à ~20% par l'effet "matière noire"
Finalement, il s'agissait de considérer le problème à 3corps étoile+galaxie+univers observable. Dans les simulations, newtoniennes, la composante d'attraction de l'univers observable s'annule en projection alors qu'il faut considérer que le champs gravitationnel a un effet kisskool, il modifie l'écoulement local du temps: le cadre dans lequel évolue les galaxies n'est pas un univers plat mais un univers déjà courbé par un champs, constant certes, faible certes (l'effet "matière noire" est dit observé aux 'faibles accélérations'), mais un champs. Il faut imaginer que lorsque nous nous éloignons d'une galaxie, le champs ne descend plus en 1/r² mais est constant. Il reste donc à modéliser cette caractéristique, et du fait de cette constance, l'opération semble accessible pour ensuite être simulée, afin de retrouver les mouvements dont sont tirées les modélisations de champs de galaxies, citées précédemment
Il semble surprenant que l'on n'y ait pas pensé auparavant, mais comme on se penche sur l'accélération de l'expansion, ce champs devient, d'office, négligeable aux échelles cosmologiques, on l'a 'oublié'. Mais il n'est pas négligeable localement! Et, dorénavant, lorsque nous parlerons du temps cosmologiques pour parler de l'évolution du cosmos, nous n'utiliserons plus nos horloges terrestres, nous devrons leur apporter un terme correctif (qui permettra peut-être une meilleure cohérence des mesures dissonantes de du taux d'expansion), calculé en appréciant l'écoulement du temps en s'éloignant de la Terre, du Soleil puis de la voie Lactée, voir de l'amas local (si sa masse, au rapport de sa distance, a une influence significative sur le temps)
Voilà, si vous avez des remarques...