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Tout ce qui a été posté par Axel
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Excellent ! Dans le même genre, je ne résiste pas à (re?)mettre les liens vers des documents d'une importance capitale dans la vie de tous les jours comme dans la vie professionnelle : La norme française sur le système d'unités pifométriques La norme française sur les lois de Murphy
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Effectivement, c'est très impressionnant !
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A y'est, la plaquette descriptive est arrivée : http://www.astro-physics.com/products/mounts/1100gto/1100gto.pdf
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Je reprends ce post pour apporter une info complémentaire sur la PLB-Mx pour son usage en autoguidage : J'ai changé de PC portable astro pour un modèle beaucoup plus récent : après l'IBM T40 (modèle de 2003), voici le D630 (modèle de 2007). Pour la RAM, je passe de 1 à 4 Go, ce qui autorise l'installation de W7-64. Comme l'ordi n'est pas la dernière bombe de l'année, et sur les conseils de Frédo, je l'ai équipé d'un disque dur SSD de 250 Go, histoire de le rendre plus rapide. Après réinstallation complète le week-end dernier (donc avec les logiciels astro et les drivers), le PC est fonctionnel et rapide. Du coup, je pense que la prise en main à distance se passera beaucoup mieux (il faut que je valide ce point). La caméra ATIK11000 et la RAF truetek fonctionnent correctement sous MaximDL, ainsi que la i-nova PLB-MX avec laquelle j'arrive enfin à faire du binning 2 en ASCOM. Ce point est primordial pour une utilisation en autoguidage car les pixels du capteur (ICX445ALA), intrinsèquement très sensible au demeurant, sont très petits (3,75µm). Je confirme donc les observations de Bruno, la caméra i-nova semble nettement mieux réagir avec les drivers ASCOM 64 bits. Dès que j'aurai pu faire des tests sur le ciel, je vous livrerai mes impressions en conditions réelles. Donc, avec W7-64, il semble que je puisse lever certaines réserves que j'avais évoquées ici sur l'utilisation de cette caméra pour l'autoguidage. En revanche, je persiste et signe : je ne trouve pas normal qu'un fabricant distribue un matériel dont les drivers 32 bits ne sont pas pleinement fonctionnels sans mettre en garde les clients sur ces limitations (binning 2 pas opérationnel sous ASCOM 32 bits). Reste la prise USB un peu lâche, mais ça, il faudra hélas continuer à vivre avec. P.S.: merci spécial aussi pour Frédo et Rodolgo (il sauront pourquoi).
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Comme grelots : Mais bon, faut lire l'affiche jusqu'au bout !
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Concours Photo - Avril 2013 : Crépuscule et Aube : Des lueur
Axel a répondu à un(e) sujet de Obiwan dans Photographies - galerie
Arf, c'est clair qu'il sera plus facile de sortir de belle photos avec plein de nuages dessus que du ciel profond avec un ciel dégagé ! -
Mais je sais bien, d'ailleurs, Thierry Legault a fait beaucoup d'images planétaires remarquables (pour l'époque) avec son Meade 12". Et connaissant le garçon , il n'aurait pas gardé ce tube s'il avait été mauvais. J'avais bien précisé que c'était volontairement de la mauvaise foi, juste pour rire.
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Tu t'en fous de la MES, de toutes façons, les images seront mauvaises : c'est un Meade ! Bon je sais, c'est facile, pas toujours vrai (je ne le pense pas vraiment, contrairement à d'autres ), mais j'ai pas pu résister
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Aller, omelette pour tout le monde !!!
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Petit rappel: La combustion consiste en une réaction entre un combustible (H[indice]2[/indice], hydrocarbure, métal...) et un comburant (souvent l'oxygène moléculaire O[indice]2[/indice]). Cette réaction s'accompagne d'un (fort) dégagement de chaleur. Exemple d'équation bilan de la réaction de combustion de l'hydrogène moléculaire dans l'oxygène moléculaire : H[indice]2[/indice] + 1/2·O[indice]2[/indice] → H[indice]2[/indice]O Pour la combustion d'un hydrocarbure de formule générale C[indice]x[/indice]H[indice]y[/indice], la réaction est un peu plus compliquée : C[indice]x[/indice]H[indice]y[/indice] + (x+y/4)·O[indice]2[/indice] → x·CO[indice]2[/indice] + y/2·H[indice]2[/indice]O avec : méthane = CH[indice]4[/indice] (x=1 et y=4), propane = C[indice]3[/indice]H[indice]8[/indice] (x=3 et y = 8), butane = C[indice]4[/indice]H[indice]10[/indice] ; éthylène = C[indice]2[/indice]H[indice]4[/indice] ; acétylène = C[indice]2[/indice]H[indice]2[/indice]... En première approximation, cette équation bilan s'applique aussi pour la combustion dans l'air, puisque l'azote ne participe pas à la réaction, il est juste spectateur. Cependant, si on voulait le représenter dans les équations bilan précédentes, la composition de l'air étant grosso modo 79% de N[indice]2[/indice] et 21 % de O[indice]2[/indice], on pourrait écrire : H[indice]2[/indice] + 1/2·O[indice]2[/indice] + 1/2·(79/21)·N[indice]2[/indice] → H[indice]2[/indice]O + 1/2·(79/21)·N[indice]2[/indice] C[indice]x[/indice]H[indice]y[/indice] + (x+y/4)·O[indice]2[/indice] + (x+y/4)·(79/21)·N[indice]2[/indice] → x·CO[indice]2[/indice] + y/2·H[indice]2[/indice]O + (x+y/4)·(79/21)·N[indice]2[/indice] On note au passage que dans le cas de la combustion dans l'oxygène pur, la chaleur libérée par cette réaction chimique est entièrement déposée sur l'eau et le CO[indice]2[/indice] produits par la réaction, alors que dans le cas de la combustion dans l'air, la même quantité de chaleur sera déposée sur le mélange eau + CO[indice]2[/indice] + azote. Bref, on distribue la même somme (càd la même quantié de chaleur) sur plus de participants, donc chacun aura moins : la température totale du mélange (gaz brûlés) sera donc plus faible. 1[exposant]ère[/exposant] conclusion : la température de fin de combustion sera (beaucoup) plus élevée si on fait brûler le combustible dans l'oxygène pur que dans l'air. C'est la raison pour laquelle les torches à acétylène ont 2 bouteilles : l'une d'acétylène, l'autre d'oxygène : on fait brûler l'acétylène dans de l'oxygène pur. Le choix de l'acétylène vient quant à lui du fait que sa réaction avec l'oxygène libère plus d'énergie que la combustion du propane, par exemple, mais qu'il reste facile à stocker (plus que l'hydrogène). Pour donner des idées, voici des température maximale de fin de combustion dans l'air ou l'O[indice]2[/indice] froid (source wikipedia) : Méthane + air : 2000°C, soit environ 2300 K Kérosène + air : 2100°C, soit environ 2400 K Hydrogène + air : 2200°C, soit environ 2500 K Acétylène + air : 2500°C, soit environ 2800 K Hydrogène + O[indice]2[/indice] : 3200°C, soit environ 3500 K Acétylène + O[indice]2[/indice] : 3500°C, soit environ 3800 K On utilise des torches à acétylène parce que c'est facile et pas cher à faire, "pas trop dangereux", et que la température des gaz chaud est élevée, ce qui permet de faire fondre/découper rapidement/facilement le métal. Pour les torches à plasma, on applique à un gaz un champ intense électrique et/ou magnétique (de toutes façons, c'est lié). L'énergie transférée au gaz le chauffe à très haute température (quelques milliers de K à ... pffffiou, ça peut monter très haut, 100 millions de K, voire des miyards de K dans des tokamaks ou des accélérateurs de particules). Dans le cas de l'astéroïde, l'énergie apportée au milieu est d'origine cinétique (1/2·m·v[exposant]2[/exposant]) Les frottements ralentissent l'astéroïde en transférant une partie de son énergie cinétique en chaleur. Ensuite, la notion de température est toujours un peu compliquée en physique. La théorie cinétique des gaz établie une relation entre la température thermodynamique d'une particule et son énergie cinétique : mesurer la température revient à mesurer le niveau d'agitation des particules. On parle de température cinétique. Dans le cas des atomes, on a des nucléons (protons et neutrons) avec des électrons qui "orbitent" autour, sur une couche avec un niveau d'énergie donné. La couche de plus basse énergie est appelée niveau fondamental (c'est la couche qui est le plus près du noyau). A température nulle (0 K), seul ce niveau est peuplé. Plus la température augmente, plus la vitesse des atomes augmente, et avec elle l'énergie transférée lors de collisions. Un apport d'énergie peut ainsi faire sauter un électron sur une couche supérieure, voire, éjecter l'électron de l'atome et par là même, ioniser l'atome. Cet électron ayant alors une énergie cinétique, on peut lui attribuer une température. Quand un gaz ionisé (plasma) est à l'équilibre thermodynamique, toutes les températures sont égales (température cinétique du gaz et température électronique). Si le gaz est moléculaire, on peut avoir d'autres types de température, liées à des degrés de liberté supplémentaires : molécules diatomiques : température vibrationnelle (quantifiée en énergie), due à la vibration des atomes au sein de la molécule : Alors, de quelle température parle-on ? Bon, pour en revenir à tes moutons, on peut voir les choses sous 2 angles : l’œuf ou la poule ! En effet, le gaz est puissamment chauffé par frottement jusqu'à devenir un plasma (cas de l'astéroïde où d'un véhicule spatial lors de sa rentrée) : le plasma est crée par chauffage. Mais on peut aussi créer un plasma en accélérant les électrons libres présents dans le milieu, au moyen d'un champ électrique. Ces électrons rapides entrent en collision avec des atomes auxquels ils arrachent des électrons eux même accélérés par le champ électrique... etc. Du coup, on a une soupe d'atomes/molécules + ions + électrons dont on peut définir la (ou les) température(s). En quelque sorte, le chauffage du gaz est la conséquence de la génération du plasma. Ce plasma peut donc être très chaud (ex. torches à plasma, arcs électriques...) et être donc très efficace pour altérer un matériau (le fondre, l'évaporer, le sublimer...). Donc dans l'industrie, les plasmas chauds sont générés électriquement par des torches ou des arcs et permettent de chauffer un gaz au delà de 10-20 000 K pour du traitement de matériaux (ex. purification du silicium, réalisation de matériaux monocristallins de grandes dimensions...) ou de la découpe.
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Axel a répondu à un(e) sujet de felopaul dans Discussions générales
Maintenant que tu l'évoques, effectivement, j'avais certaines étoiles correctes, et d'autres très étirées. J'ai pensé à des reflets. Qu'est ce que c'est que cette histoire de cône ? Si il y a une amélioration possible, je ne suis pas contre. Toujours est-il que MaximDL s'en est très bien sorti, même avec des étoiles de formes bizarre. J'avais fait un petit compte rendu sur -asso.org/forum/viewtopic.php?f=16&t=3437'>cette page. -
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Axel a répondu à un(e) sujet de felopaul dans Discussions générales
Heureux de te savoir parmi nous Didier. -
Bricolage balaise : comptage de photon
Axel a répondu à un(e) sujet de frédogoto dans Discussions générales
Le trapèze d'Orion et M57 sont assez hallucinants de résolution/détails. M63 est moins convaincante. J'ai l'impression qu'il faut pas mal de densité de lumière (étoiles, cœur de nébuleuses brillantes). -
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Axel a répondu à un(e) sujet de felopaul dans Discussions générales
Pareil : bon suivi, bon contact et il fait du très bon boulot. Je suis très content de mon DO Skyméca 2,5". -
Bon, comme promis, voici encore quelques images (la full accessible en cliquant sur chaque image) :
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Note d'ailleurs que savoir dans quelle constellation et près de quelles étoiles elle est ne sert à rien car on la trouve avant de voir les étoiles apparaitre et de reconnaitre les constellations.
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Oui, faible car dans les lueurs du crépuscule, mais visible à l’œil nu, y compris avant-hier à Montlhéry, à 20 km au sud de la porte d'Orléans. Mais pour la voir à l’œil nu, il est nettement préférable de l'avoir d'abord trouvée aux jumelles (mes petites 8x30 étaient parfaites pour ça). Elle était à un azimut de 270° et une hauteur de 10-15°.
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Ah oui, très joli avec la brume dans les vallées !
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Merki les gars ! J'en ai d'autres mais j'ai pas encore eu le temps de faire un tri. De toutes façons, elles ont toutes été faites avec la même focale (70 mm), sauf une à 24 mm, donc ça sera pas très différent.
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Voici une petite image faite jeudi soir à Granville, avec les îles Chausey en dessous (la full en cliquant sur l'image):
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Et moi, je pars tout à l'heure à Granville, retour vendredi, à Triel samedi.
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Les nouvelles montures ultra portable
Axel a répondu à un(e) sujet de Obiwan dans Discussions générales
Ah oui, tes images sont une parfaite démonstration de l'efficacité de l'astrotrack : c'est très probant. Le suivi est nickel quand on regarde le centre des images, ça part en sucette quand on s'en éloigne mais là, c'est à cause des optiques. -
En fait, de ce que j'avais lu, cette carte indique les endroits où on a retrouvé des fragments de météorites. Le résultat est donc clairement influencé par la densité de population, mais aussi la facilité de retrouver des fragments. On notera par exemple, qu'il n'y a rien en Amazonie ! D'un autre côté, c'est plus facile à trouver dans le désert que dans la forêt tropicale. Il y a évidemment un biais de mesure. D'ailleurs, vous noterez qu'on a rien trouvé dans les océans !!! D'autre part, je pondérerais la "vérité absolue" de Frédo : la taille des ronds sur la carte est liée à la taille de la météorite.Plus les ronds sont gros, moins c'est uniforme et pour cause : les grosses sont beaucoup moins fréquentes que les petites. Pour être représentatif statistiquement, il faut prendre en considération un grand nombre d'évènements. Donc, pour avoir une couverture uniforme hors biais de mesure (densité de population et facilité à retrouver les morceaux), il faut que les chutes soient fréquentes (petites météorites), ou que l'on considère une période plus longue avec des météorites plus grosses. C'est en fait une question d'échantillonnage !
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A voir à partir de 35s : " width="640">[flash=640,480]
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Par ça :