Aller au contenu
Forum Avex

LucaR

Avexiens
  • Compteur de contenus

    527
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    41

À propos de LucaR

Visiteurs récents du profil

Le bloc de visiteurs récents est désactivé et il n’est pas visible pour les autres utilisateurs.

LucaR's Achievements

Rising Star

Rising Star (9/14)

  • Posting Machine Rare
  • Very Popular Rare
  • One Year In
  • Reacting Well Rare
  • Dedicated

Recent Badges

193

Réputation sur la communauté

  1. C'était ma première SHO donc, je maitrisais pas forcément très bien. Et puis je prend les forax comme base de travail mais après je triture pas mal les couleurs pour obtenir ce qui me plait le plus. Après, si tu regarde sur Astrobin, ya autant de résultats que d'Astram j'ai l'impression https://www.astrobin.com/search/?q=NGC7000+sho
  2. Très chouette ta première! T'as vu? T'as un peu de bleu dans le coeur! Et oui moi j'aime bien les HOO Ya moyen de mettre un peu de H aussi dans le canal vert pour faire un mixte de HHO et HOO, je faisais souvent ça avec mon APN et un filtre duobande, ça donne des résultats intéressants. EDIT: pardon j'avais pas compris que c'était une fausse SHO, donc en effet une HHO je pense? Moi j'aime bien mixer HOO et HHO, mais ça revient à jouer avec les formules forax en effet. J'ai moi aussi fait une double version hybride pour la première lumière de ma 2600, pour laquelle j'ai visé NGC7000 avec le Samyang 135. J'étais impatient, et alors que je n'avais encore reçu que mon filtre H, les O et S étant encore en commande, j'ai voulu shooter tout de suite: du coup j'ai fait une couche H puis j'ai remplacé la 2600 par mon bon vieux canon 650 et le STC duobande pour pouvoir avoir du O, et j'en ai fait une HOO/HHO: Peu de temps après j'ai enfin reçu les filtres manquants ce qui m'a premis, en reprenant la H déjà faite, de faire une deuxième version qui fut ma première SHO: Bin au final je ne suis pas sûr de préférer la SHO!
  3. La nébuleuse planétaire de l'oeil du chat, comme son nom ne l'indique pas, n'a rien à voir avec une planète! Ces objets - les nébuleuses planétaires - ont été nommé ainsi par erreur, à l'époque de découverte, parce qu'elles étaient d'une taille apparente comparable à celle des planètes (c'est à dire tout petit) mais d'un aspect "flou" plus proche des nébuleuses habituelles. On a compris plus tard que c'étaient des objets intérmédiaires, tant en terme de taille réelle que de distance, apparaissant à la mort des étoiles - des fleurs poussant sur leurs tombeaux. Contrairement aux étoiles hypermassives, ces stars flamboyantes qui brûlent leur vie et meurent dans un feu d'artifice grandiloquant visible à des milliards d'années lumières à la ronde (les supernovas), les étoiles de taille "normales" (c'est à dire les plus fréquentes dans l'univers, comme notre soleil par exemple) ont une vie bien plus longue qui se termine par une mort bien plus discrète. A l'approche de ses dernièr millénaires, une étoile de ce type a épuisé son carburant principal: l'hydrogène. L'énergie vient à manquer, rompant soudain un équilibre de forces qui durait depuis des milliards d'années... L'étoile commence à se dévorer elle-même, cherchant de nouveaux carburants, trouvant de nouveaux équilibres mais bien plus précaires et instables... Elle se met à pulser et gonfler, devenant une géante rouge, tout en éjectant progressivement ses couches externes dans l'univers environnant. Une immense corolle de gazs et poussières commence alors à s'étendre tout autour d'elle, comme une fleur se déployant au soleil - c'est la nébuleuse dite "planétaire". Puis les dernieres réserves de l'étoile s'épuisent et elle meurt, ne pouvant plus rien produire. Si elle est seule, comme le soleil (et non pas en système binaire comme beaucoup d'autres étoiles), son cadavre mettra très, très longtemps à se refroidir et elle continuera de briller encore, certes bien plus faiblement qu'avant, mais assez pour ioniser et éclairer les gazs et poussières de la nébuleuse qui grandit autour d'elle. Dans des centaines de milliards d'années elle finira par s'éteindre, devenue trop froide pour briller: nous avons nommé "naine noire" ce qu'elle devrait devenir alors, mais que nous ne pouvons pas observer car l'univers est encore bien trop jeune, aucune naine blanche n'a eu le temps d'en arriver là! La nébuleuse planétaire de l'oeil du chat est située à environs 3000 années lumières de chez nous et est âgé d'environs 1000 ans (plus les 3000 ans qu'a mis la lumière à nous parvenir, bien entendu). En fait la nébuleuse planétaire à proprement parler est le petit noyau très brillant au centre, structure complexe mais trop petit pour que je puisse en obtenir des détails avec mes instruments qui ne sont pas très adaptés à ce type d'objet - mais Hubble l'a immortalisé ici: https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/d/d8/Catseye-big.jpg On pense que la belle corolle déployée autour de ce coeur, pour le coup bien visible sur ma photo même si elle est très petite au centre de l'image, s'est formé avant le processus de fin de vie de l'étoile que j'ai décrit plus haut, mais on ne sait pas encore bien expliquer sa formation. Mes instruments ne sont pas très adaptés à ce type d'objet - pour voir des détails du coeur de la nébuleuse il faudrait un téléscope à plus longue focale, et une caméra à plus petits pixels. Mais j'avais envie de voir ce que ça donnait quand même alors voilà! Gros zoom sur la nébuleuse: EXIFS: Composition HDR avec une image HOO pour le halo et SOO pour le coeur. Prises de vues 10-13 février 2023. Environs 11h30 de pose aux filtres Antlia 3nm: Halpha 3h / Oiii 5h30 / Sii 3h + quelques minutes de RGB pour les couleurs d'étoiles Zwo 2600mm pro (-10°C/Gain 100/Offset 50) Lunette APO TS Photoline 102mm f/5 (avec réducteur) + focuseur Baader Steeldrive Monture AZEQ6 Guidage au chercheur + zwo 178mm Logiciels : Kstar/Ekos sur Stellarmate RPI4, PHD2, Siril, Photoshop Ciel Bortle 4 La couche S donnait un peu de détails sur le coeur, mais rien sur le halo. J'ai donc renoncé à une composition SHO qui ne donnait rien de très intéressant et opté pour une HOO sur le Halo, et une SOO sur le coeur - rassemblées en HDR car le coeur est bien plus brillant que le halo.
  4. Soleil de mercredi. J'ai raté l'éruption de la veille, mais il en reste une trace à gauche de l'image (APO 102 f/5 diaphragmée à 70 f/7.5, barlow telecentric 3x, Daystar Quark chromo combo, ASI2600mm)
  5. En tout cas ça donne des aigrettes très solaires
  6. Bin je t'ai mis le lien dans le message d'avant C'est une version encore en dev, la branche "nightly" comme ils l'appellent. Je peux pas t'aider pour PIX je connais pas! Par contre si tu achete un nouveau PC pense à t'assurer que la carte graphique soit une nvidia, tu pourras plus facilement l'utiliser (nottament pour starnet) pour les traitements qu'une carte AMD.
  7. J'imagine que le mieux est de se mettre à PIX c'est sur, mais sinon pour info la version dev de Siril a désormais intégré starnet++ et les masques détoile et réduction d'étoile + un réducteur de bruit qui a l'air bien qualitatif, ce qui permet de faire tout ça en linéaire avant la monté d'histo et donc à tester voir si t'obtiens un résultat encore meilleurs et moins bruité: https://gitlab.com/free-astro/siril/-/jobs/artifacts/master/download?job=win64-nightly Et bientôt il y aura aussi un outils de déconvolution avec PSF.
  8. Hé oui pareil chez moi, j'ai pas calculé précisément mais ça me prenait une bonne 10 aine de minutes avant sur mon CPU pour une image monochrome 6200x4200, là avec le GPU en tout juste 1 minute c'est torché.
  9. Pour info, la prochaine version de Siril - déjà dispo en distribution "dev", donc sans garanties bien sûr - va intégrer des tas de choses nouvelles et très intéressantes comme un débruiteur, une déconvolution par PSF (pas encore intégré sur la version dev actuelle) mais aussi l'utilisation de Starnet++ directement dans Siril, la création de masque d'étoile et la réduction d'étoile, tout ça faisable sur l'image linéaire. J'ai commencer à tester et ça selble vraiment pas mal du tout !! Je pense qu eça va me faire revoir de A à Z tout mon processus de traitement Version dev de Siril pour Windows (mise à jour régulièrement) téléchargeable ici : https://gitlab.com/free-astro/siril/-/jobs/artifacts/master/download?job=win64-nightly Et faut pas hésiter à venir causer avec les dev très présents et disponibles sur le discord astro-fr.
  10. LucaR

    NGC 6960

    Ce qu'on nomme les bi-bande ou duo-bandes ce sont les filtres qui laissent passer la longueur d'onde du Ha (située dans le rouge) et la longueur d'onde du Oiii (situé en partie dans le bleu, en partie dans le vert). Avec une caméra couleur, le Ha va donc imprimer les photosites rouges, et le Oiii les photosites bleu et vert. Si on traite ça comme une image couleur classique, l'avantage par rapport à un filtre antipollution de base c'est que ça limite encore plus la pollution lumineuse, ça augmente les contrastes de la nébuleuse et ça réduit pas mal la lumière des étoiles (qui seront plus fines, du coup). Sur des nébuleuses en émission, qui n'émettent que sur quelques longueurs d'onde dont Ha et Oiii sont le plus souvent les principales, c'est bien! Pour les galaxies et les nébuleuses en réflexion en revanche c'est pas bon, ça va couper trop de signal utile. Une autre manière de gérer les images prises au filre duobande est de séparer les couches rouges, bleues et vertes, et enchaîner sur un traitement HOO tel qu'on le ferait avec une caméra noir et blanc et des filtres Ha et Oiii. L'avantage par rapport à la caméra mono c'est que tu fais tes poses Ha et Oiii en même temps, au lieu de devoir les faire à part => gain de temps! En contrepartie, moins de définition à l'arrivée qu'avec une caméra mono, et moins de sensibilité. Par contre, les filtres dit tri-bandes sont un peu une arnaque en vrai... Très chers, en réalité ils se contentent d'étendre la bande rouge jusqu'à la longueur d'onde du Hbeta. Mais ça va de toute façon imprimer sur les photosites rouges, donc ça va se mélanger: tu ne pourras pas séparer ces deux bandes là. Donc le gain est faible et un peu illusoire, voir même contreproductif puisque les bandes seront moins fines donc moins de contrastes et plus de sensibilité à la PL!! Encore pire pour les quadri-bandes qui font de même avec... je ne sais plus quelle bande, mais je crois que c'est le bleu-vert qui est étendu? A vérifier. Bref à moins d'avoir une bonne raison particulière (scientifique?) inutile de lorgner sur les tribande ou quadribandes, par contre les bi-bandes c'est le top
  11. La météo ne m'a pas laissé participer à ce challenge - j'ai déjà eu du mal à faire une seule image... - mais je peux ressortir celle que j'avais faite ya deux ans à mes débuts : APN 650D pas encore défiltré à l'époque, sur ma lulu 102mm f/5 sans filtre. Un peu de chance aussi car malgré le peu de temps que j'avais eu pour poser, j'avais voulu faire une sorte de HDR en prenant plusieurs temps de pose. Résultat: très peu d'image par temps de pose... Quand j'empilais à part pour rassembler derrière, ça ne donnait rien... Par dépis j'ai quand même empilé tout ensemble juste pour voir, et de façon très innatendu le résultat s'est révélé pas mal du tout du coup j'ai conservé ! Et du coup, j'ai empilé ensemble : 18 x 120s +17 x 180s + 6 x 300s = total 1h57 Il faudrait que je la refasse bien sûr, mais maintenant que je suis passé à la caméra mono j'ai besoin au minimum de 3 ou 4 nuits claires par cible, si ce n'est 5 ou 6, du coup mes cibles se font plus rares
  12. Sur cette image, deux sortes de « bulles » qui n’ont l’air de rien, comme de petites bulles de savon fragile flottant dans l’espace… Mais c’est une apparence trompeuse, car ce qui s’y déroule est en réalité un des phénomènes les plus violents de l’univers ! On assiste ici aux derniers instants de très, très jeunes étoiles, des bébés en termes de temps sidéraux - encore engoncé dans leurs berceaux, les nébuleuses qui let ont vu naître. Pourtant, il s’agit d’étoiles parmi les plus gigantesques, massives et brillantes de notre galaxie ! Il en est ainsi chez les étoiles : plus elles sont grandes, plus elles brûlent rapidement leur carburant, et plus elles meurent jeunes. Ce genre d’étoile est vorace, un véritable ogre, qu’on qualifie de type « Wolf-Rayet », du nom de deux astrophysiciens français ayant découvert ce genre de monstre. Elle a dévoré d’une traite, en quelques millions d’années, à peine tout son carburant primaire, l’hydrogène – à titre de comparaison au bout de 5 milliards d’années le soleil, lui, n’a entamé que la moitié de ses propres réserves, pourtant bien plus réduites. L’ogre est ensuite passée à ses carburants dit secondaire : hélium, puis éléments plus lourds… L’énergie titanesque qui se dégage de ces nouvelles réactions nucléaires expulse peu à peu ses couches externes de matière dans l’univers - à des vitesses dépassant l’entendement, quelques milliers de kilomètres par seconde ! En rencontrant le gaz de la nébuleuse environnante – le berceau de l’étoile – elle crée tout autour d’elle une onde de choc terrible, un front déjà surchauffé que vient en plus illuminer et ioniser le rayonnement intense de l’étoile, qui s’éloigne peu à peu de l’étoile comme une bulle gigantesque. Comme beaucoup de monstres, cette étoile est destinée à une mort violente et tragique : quand elle aura brûlé tout ce qu’elle pourra, elle n’aura plus la force de retenir la matière de son noyau de s’effondrer sous l’effet de la gravité. Alors elle implosera puis explosera d’un coup en une supernova, l’évènement le plus puissant de l’univers après les quasars. A droite, on a une petite bulle « récente » en termes de temps sidéraux, nommée « Nébuleuse de la bulle » (NGC 7635) tout simplement. Son diamètre est de 10 années lumières, ce qui est énorme - à titre de comparaison la zone d’influence d’une étoile plus classique, comme le soleil, ne dépasse pas 12 heures lumières… A gauche, on a un phénomène qu’on pense similaire mais dont on voit des conséquences plus éloignées dans le temps (quelques millions d’années de plus), avec des gaz formant encore des sortes de fronts arrondis autour de l’étoile, probablement des résidus d’une bulle similaire à celle de droite - elle est surnommée « nébuleuse de la Pince de Homard » (Sh2-157), ce qui est assez bien vu ! Dans les deux cas, l’étoile-monstre n’en n’occupe pas le centre, mais elle est proche d’une de ses « parois » bleuté : en effet le milieu rencontré dans une direction par la matière expulsée est plus dense que de l’autre côté, ce qui en ralentit la progression et déforme donc la bulle. EXIFS: Prises sur les 5 rares nuits ou demi-nuits qu'on a eu cet automne, dans des conditions souvent pas terribles... Environs 14h de pose: 8h5 Ha, 3h30 Oiii, 2h15 Sii, filtres Antlia 3nm (Ha et Oiii) et 4.5nm (Sii) + Couleurs d’étoiles : 20x20s chaque couche R/G/B en bin2x2 avec les filtres Baader CCD Zwo 2600mm pro (-10°C/Gain 100/Offset 50) Lunette APO TS Photoline 102mm f/5 (avec réducteur) + focuseur Baader Steeldrive Monture AZEQ6 Guidage au chercheur + zwo 178mm Logiciels : Kstar/Ekos sur Stellarmate RPI4, PHD2, Siril, Photoshop Ciel Bortle 4 Il n'y a sans doute pas assez d'Oiii, il faudra que je complète un minimum - si la météo m'en laisse le loisir...
  13. Starnet++ est un outils excellent mais lent... Sauf si on le fait exécuter par son processeur graphique (GPU) au lieu du processeur du PC, ça accélère considérablement le processus ! Avec ma GTX 3060 une image monochrome stackée depuis ma 2600mm 6200x4200 pixels est traitée en à peine 1 minute... Pour ça il faut une carte graphique NVidia (cette méthode ne marchera pas avec les cartes AMD) avec du CUDA donc pas trop vieille. Si vous utilisez Starnet++ via Pixinsight vous pouvez utiliser ce tuto pour Windows: https://darkskies.space/pixinsight-starnet-cuda/ Il y a aussi un tuto Linux ici, j'ai pas testé: https://unsafe.sh/go-125017.html Attention, il semble que les versions proposées ne fonctionnent pas avec les cartes GTX 30xx - ça n'a pas fonctionné avec ma 3060 par exemple. En revanche ça marche bien avec ces versions: TensorFlow v2.4, Cuda 11 and Cuddn 8 for cuda 11. On peut les trouver ici: https://storage.googleapis.com/tensorflow/libtensorflow/libtensorflow-gpu-windows-x86_64-2.4.0.zip https://developer.nvidia.com/cuda-11.0-download-archive?target_os=Windows&target_arch=x86_64&target_version=10&target_type=exenetwork https://developer.nvidia.com/rdp/cudnn-download Il vous faudra peut-être créer un compte sur le site developer.nvidia, c'est gratuit. Le mode d'emploi ensuite est le même, seules les versions changent. Si vous utilisez la version exécutable de Starnet++ (GUI ou ligne de commande) c'est dans son répertoire qu'il faudra mettre le nouveau tensorflow.dll et non pas dans le répertoire du pluggin PIX, bien entendu. Pour le reste c'est pareil. Attention, moi quand j'ai voulu l'installer (carte 3060 / Starnet++ en version exécutable sous Windows 10) il m'a fallu installer une librairie supplémentaire, pas indiquée dans le tuto, nommée ZLIB. Peut-être parceque j'ai une ancienne version de Windows? Je ne sais pas! Si le tuto ne marche pas pour vous essayez donc la même chose: la librairie peut se télécharger ici: http://www.winimage.com/zLibDll/zlib123dllx64.zip vous dézippez le fichier où vous voulez et vous mettez le chemin vers le sous-répertoire \dll_x64 dans votre PATH système (comme ça a été montré dans le tuto pour le répertoire Cuda)
  14. Merci, c'est un critère intressant à prendre en compte!
  15. 27/12/22 vers 11h30 au Daystar. Beaucoup de turbu cette fois, difficile de trouver le focus! (APO 102 f/5 diaphragmed down to 70 f/7.5, barlow telecentric 3x, Daystar Quark chromo combo, ASI2600mm)
×
×
  • Créer...

Information importante

Conditions générales