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Dieter333

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Tout ce qui a été posté par Dieter333

  1. Un Classique parmi les classiques… Mais que nous n’avions toujours fait : la Tête de Cheval (Barnard 33) est une petite nébuleuse sombre dans la constellation Orion qui se détache sur le fond de draperies rouges de la nébuleuse en émission en Hydrogène IC 434. Elle apparait comme sortant de la bande nuageuse de poussières denses Lynds 1760. Mais en fait l’objet que nous préférons dans cette image se situe en dessous à gauche de la Tête de Cheval, la nébuleuse en réflexion et émission NGC2023. Située à environ 1500 années-lumière de la Terre, d’une taille de 4.3 années-lumière, la nébuleuse NGC 2023 est éclairée et sculptée par une très jeune et massive étoile brillante de type spectral B. Des filaments étonnamment colorés et complexes sont visibles. Des points d’émission dispersés proviennent également des objets Herbig-Haro de la région, associés aux jets énergétiques des étoiles nouveau-nées. (une gestion difficile des reflets nous a forcé à un crop assez ilmportant.) Full & details Astrobin : https://astrob.in/1mx98y/0/
  2. Bonjour, comme annoncé, la team « DDS_Observatory » change de nom et se voit renforcée par Alain Tamas. Nous allons publier des images datant de l’an dernier mais non traitées et nos nouvelles images, et nous commençons par une image de 2021. NGC 6946 – la galaxie des feux d’artifice La galaxie NGC 6946 est tout simplement spectaculaire. Au cours du siècle dernier seulement, NGC 6946 a connu 10 supernovae observées, ce qui lui a valu son surnom de galaxie Fireworks. En comparaison, notre Voie lactée n’enregistre en moyenne qu’un à deux événements de supernova par siècle. Nous sommes en mesure de nous émerveiller devant NGC 6946 car il s’agit d’une galaxie de face, ce qui signifie que nous voyons la galaxie « face » à nous, plutôt que de la voir de côté (connue sous le nom de bord). La galaxie Fireworks est en outre classée comme une galaxie spirale intermédiaire et comme une galaxie à sursaut d’étoiles. Le premier signifie que la structure de NGC 6946 se trouve entre une spirale complète et une galaxie spirale barrée, avec seulement une légère barre en son centre, et le second signifie qu’il a un taux exceptionnellement élevé de formation d’étoiles. NGC 6946 est enflammée par des feux d’artifice galactiques colorés alimentés par la naissance et la mort de multitudes d’étoiles brillantes et massives. Les géantes stellaires massives ont mis fin à leur vie dans des explosions de supernovae tout au long de NGC 6946 de manière rapide depuis des dizaines de millions d’années. On suppose que si seulement un million d’années de l’histoire de cette galaxie étaient compressées dans un film time-lapse de quelques secondes, il y aurait des explosions de lumière presque constantes à mesure que de nouvelles étoiles éclatent en vue, tandis que les anciennes expirent dans des explosions spectaculaires. Au cours du siècle dernier, huit supernovae ont explosé dans les bras de cette métropole stellaire, faisant de NGC 6946 la galaxie connue la plus prolifique pour les supernovae au cours des 100 dernières années. Pourtant, c’est l’omniprésence de la naissance d’étoiles dans NGC 6946 et non ses supernovae qui confèrent à cette galaxie son apparence flamboyante et colorée. Pour des raisons qui ne sont pas complètement comprises, elle connaît un taux de formation d’étoiles beaucoup plus élevé que toutes les grandes galaxies de notre voisinage. La production prodigieuse des pépinières stellaires dans ce voisin galactique conduit finalement à un nombre accéléré d’explosions de supernova. Les régions de naissance d’étoiles existent dans la plupart des galaxies, en particulier dans les spirales, et sont évidentes sous forme de nuages de gaz à prédominance hydrogène appelés régions HII. Ces zones fusionnent sur des millions d’années pour former des étoiles. Les étoiles jeunes, chaudes et massives formées dans ces régions émettent de grandes quantités de rayonnement ultraviolet, qui dépouillent les électrons des atomes d’hydrogène dans lesquels ils sont intégrés. Lorsque ces atomes d’hydrogène ionisés se réassoient aux électrons, ils rayonnent dans une couleur rouge foncé (à une longueur d’onde de 656,3 nanomètres) lorsque les électrons reviennent à des niveaux d’énergie inférieurs. NGC 6946 se trouve à 25,2 millions d’années-lumière à la frontière entre les constellations de Céphée et du Cygne, et a été découverte par Sir William Herschel (1738-1822) le 9 septembre 1798. Les astronomes estiment que cette galaxie contient environ deux fois moins d’étoiles que la Voie lactée et qu’elle est également utilisée comme laboratoire pour étudier et caractériser l’évolution des étoiles massives et les propriétés du gaz interstellaire. NGC 6939 En bas à gauche de l’image, beaucoup plus proche de nous, l’amas ouvert NGC 6939 offre un contraste intéressant, avec des étoiles aux couleurs bien prononcées. On note une forte concentration de géantes rouges au sein de cet amas, dont plus d’une dizaine sont des étoiles variables. Entre ces deux objets se situe un élément plus diffus, appelé « IFN » (« Integrated Flux Nebulae »), que l’on pourrait confondre avec de faibles nébulosités au sein de notre galaxie sur cette image. Il s’agit en réalité de nuages de gaz et de poussière dans le milieu interstellaire, ou en périphérie de la galaxie, et qui sont visibles du fait du rayonnement de l’ensemble des étoiles alentours (à l’inverse des classiques nébuleuses par émission ou absorption qui sont fortement liées à une étoile ou un amas d’étoiles en particulier). Ces nuages sont très ténus et peuvent s’étendre sur des dimensions gigantesques, aux alentours de la Voie Lactée. On peut parler, de façon imagée, de « cirrus galactiques ». Si l’IFN apparait en lumière visible, il ne révèle cependant sa véritable importante qu’en infrarouge. Full& details astrobin : https://astrob.in/56cn8f/0/
  3. Bonjour, comme annoncé, la team « DDS_Observatory » change de nom et se voit renforcée par Alain Tamas. Nous allons publier des images datant de l’an dernier mais non traitées et nos nouvelles images, et nous commençons par une image de 2021. NGC 6946 – la galaxie des feux d’artifice La galaxie NGC 6946 est tout simplement spectaculaire. Au cours du siècle dernier seulement, NGC 6946 a connu 10 supernovae observées, ce qui lui a valu son surnom de galaxie Fireworks. En comparaison, notre Voie lactée n’enregistre en moyenne qu’un à deux événements de supernova par siècle. Nous sommes en mesure de nous émerveiller devant NGC 6946 car il s’agit d’une galaxie de face, ce qui signifie que nous voyons la galaxie « face » à nous, plutôt que de la voir de côté (connue sous le nom de bord). La galaxie Fireworks est en outre classée comme une galaxie spirale intermédiaire et comme une galaxie à sursaut d’étoiles. Le premier signifie que la structure de NGC 6946 se trouve entre une spirale complète et une galaxie spirale barrée, avec seulement une légère barre en son centre, et le second signifie qu’il a un taux exceptionnellement élevé de formation d’étoiles. NGC 6946 est enflammée par des feux d’artifice galactiques colorés alimentés par la naissance et la mort de multitudes d’étoiles brillantes et massives. Les géantes stellaires massives ont mis fin à leur vie dans des explosions de supernovae tout au long de NGC 6946 de manière rapide depuis des dizaines de millions d’années. On suppose que si seulement un million d’années de l’histoire de cette galaxie étaient compressées dans un film time-lapse de quelques secondes, il y aurait des explosions de lumière presque constantes à mesure que de nouvelles étoiles éclatent en vue, tandis que les anciennes expirent dans des explosions spectaculaires. Au cours du siècle dernier, huit supernovae ont explosé dans les bras de cette métropole stellaire, faisant de NGC 6946 la galaxie connue la plus prolifique pour les supernovae au cours des 100 dernières années. Pourtant, c’est l’omniprésence de la naissance d’étoiles dans NGC 6946 et non ses supernovae qui confèrent à cette galaxie son apparence flamboyante et colorée. Pour des raisons qui ne sont pas complètement comprises, elle connaît un taux de formation d’étoiles beaucoup plus élevé que toutes les grandes galaxies de notre voisinage. La production prodigieuse des pépinières stellaires dans ce voisin galactique conduit finalement à un nombre accéléré d’explosions de supernova. Les régions de naissance d’étoiles existent dans la plupart des galaxies, en particulier dans les spirales, et sont évidentes sous forme de nuages de gaz à prédominance hydrogène appelés régions HII. Ces zones fusionnent sur des millions d’années pour former des étoiles. Les étoiles jeunes, chaudes et massives formées dans ces régions émettent de grandes quantités de rayonnement ultraviolet, qui dépouillent les électrons des atomes d’hydrogène dans lesquels ils sont intégrés. Lorsque ces atomes d’hydrogène ionisés se réassoient aux électrons, ils rayonnent dans une couleur rouge foncé (à une longueur d’onde de 656,3 nanomètres) lorsque les électrons reviennent à des niveaux d’énergie inférieurs. NGC 6946 se trouve à 25,2 millions d’années-lumière à la frontière entre les constellations de Céphée et du Cygne, et a été découverte par Sir William Herschel (1738-1822) le 9 septembre 1798. Les astronomes estiment que cette galaxie contient environ deux fois moins d’étoiles que la Voie lactée et qu’elle est également utilisée comme laboratoire pour étudier et caractériser l’évolution des étoiles massives et les propriétés du gaz interstellaire. NGC 6939 En bas à gauche de l’image, beaucoup plus proche de nous, l’amas ouvert NGC 6939 offre un contraste intéressant, avec des étoiles aux couleurs bien prononcées. On note une forte concentration de géantes rouges au sein de cet amas, dont plus d’une dizaine sont des étoiles variables. Entre ces deux objets se situe un élément plus diffus, appelé « IFN » (« Integrated Flux Nebulae »), que l’on pourrait confondre avec de faibles nébulosités au sein de notre galaxie sur cette image. Il s’agit en réalité de nuages de gaz et de poussière dans le milieu interstellaire, ou en périphérie de la galaxie, et qui sont visibles du fait du rayonnement de l’ensemble des étoiles alentours (à l’inverse des classiques nébuleuses par émission ou absorption qui sont fortement liées à une étoile ou un amas d’étoiles en particulier). Ces nuages sont très ténus et peuvent s’étendre sur des dimensions gigantesques, aux alentours de la Voie Lactée. On peut parler, de façon imagée, de « cirrus galactiques ». Si l’IFN apparait en lumière visible, il ne révèle cependant sa véritable importante qu’en infrarouge. Full& details astrobin : https://astrob.in/56cn8f/0/
  4. Bonjour, cette fois nous changeons de type de cible pour vous proposer une galaxy naine et donc diffuse avec quatre de ses six amas globulaires. La position des amas est répertoriée dans l’image « version originale » sur astrobin. La galaxie naine Fornax MCG-06-07-001 La galaxie naine Fornax est l’une des galaxies naines voisines de la Voie lactée. La galaxie naine Fornax (alias MCG-06-07-001, PCG10093) est située dans la constellation du Fornax. La galaxie est un essaim ellipsoïdal de vieilles étoiles, qui se sont formées à peu près en même temps que la galaxie et sont similaires à celles des amas globulaires. Cette galaxie est un satellite de notre Voie lactée, distant d’environ 500 000 années-lumière et contient six amas globulaires ; la plus grande, NGC 1049, a été découverte avant la galaxie elle-même. La galaxie s’éloigne également de la Voie lactée à 53 km/s. En raison de la faible brillance de surface de la galaxie et de sa grande extension, c’est une cible difficile pour l’observation visuelle à mag 9 avec les étoiles les plus brillantes autour de la 19ème magnitude. Les observations de six amas globulaires – de grandes boules d’étoiles qui orbitent autour des centres des galaxies – trouvés dans Fornax montrent qu’ils sont très similaires à ceux trouvés dans notre galaxie, la Voie lactée. La découverte est en contradiction avec les principales théories sur la façon dont ces amas se forment – dans ces théories, les amas globulaires devraient être nichés parmi de grandes quantités de vieilles étoiles – et donc le mystère de la façon dont ces objets sont venus à exister s’approfondit. Dans la galaxie sphéroïdale naine Fornax, les amas globulaires conservent leur distribution spatiale diffuse malgré le fait que l’échelle de temps de désintégration orbitale des amas est beaucoup plus courte que l’âge estimé de la galaxie hôte. Nous proposons que ce paradoxe puisse être résolu si (1) Fornax contient des trous noirs avec une fraction importante de la masse de ces amas ou si (2) il subit actuellement une perturbation des marées. Pour le scénario du trou noir, une distribution vitesse-dispersion à pic central est prévue, mais n’a pas été confirmée par observation. Le deuxième scénario exige que Fornax ait perdu une fraction importante de sa masse d’origine. Le deuxième scénario est possible si la masse de la matière noire galactique est d’environ 1012 M☉ à la distance actuelle de la galaxie sphéroïdale naine Fornax ou si Fornax est proche de son apogalacticon (Le point de l’orbite d’une étoile où elle est la plus éloignée du centre de sa galaxie locale) et a une orbite similaire à celle du Grand Nuage de Magellan. En utilisant le télescope spatial Hubble, les scientifiques ont dérivé un diagramme couleur-magnitude pour Fornax 4, un amas globulaire au sein de cette galaxie. Contrairement aux amas globulaires Fornax 1, 2, 3 et 5, qui ont des branches horizontales sur une large gamme de couleurs et incluent des variables RR Lyrae, Fornax 4 n’a que du rouge dans sa branche horizontale. Fornax 4 est également ~3 Gyr plus jeune que les autres amas globulaires. Le diagramme couleur-magnitude de Fornax 4 a une forte similitude avec le « jeune » globulaire galactique Ruprecht 106. On ne sait pas pourquoi les sphéroïdales permettent la formation d’amas globulaires comme Fornax 4 et Terzan 7 (de la naine du Sagittaire) longtemps après que les amas globulaires ont cessé de se former dans le corps principal du halo galactique. Une autre possibilité est que de « jeunes » amas globulaires du halo externe comme Ruprecht 106 ont été formés à l’origine dans des sphéroïdales naines aujourd’hui disparues. Full & Details sur Astrobin : https://astrob.in/xyujol/B/
  5. hello, autour c'est plein de Ha.... Look here : https://www.astrobin.com/5gou7f/?nc=all
  6. Une Délicate nébuleuse dans Orion : NGC 1788. Assez peu imagée, éclipsée par les nombreuses vedettes d’Orion, la nébuleuse par réflexion d’Orion nous a semblé être un sujet intéressant. Bien que ce nuage fantomatique soit plutôt isolé des étoiles brillantes d’Orion, leurs vents puissants et leur lumière ont un fort impact sur la nébuleuse, forgeant sa forme et en en faisant un foyer pour une multitude de soleils naissants. Les nébuleuses sombres Lynds 1616 & à gauche de la nébuleuse apportent un aspect « fantasmagorique au cliché ». NGC 1788 est une nébuleuse à réflexion inhabituelle (blanc bleuté à droite de l’image) entourée d’un anneau rouge brillant d’hydrogène gazeux. Les étoiles à l’intérieur de la nébuleuse n’ont qu’environ un million d’années, ce qui est très jeune par rapport à la plupart des étoiles. L’anneau d’hydrogène gazeux incandescent est alimenté par des étoiles chaudes et massives à proximité qui ne sont pas obligatoirement visibles sur l’image. L’image est une LHa - RHaGB Full & détails astrobin : https://astrob.in/5o2lof/0/
  7. bonjour, tu peux aussi faire une HOO avec pour le Vert 20% de HA et 80% de OIII afin de représenter le Hbeta ...
  8. Nous nous décidons à poster cette image de la Nébuleuse Planétaire IC 5148 bien qu’elle soit porteuse de pas mal de défauts liés à l’acquisition (pb de température CCD, flats, reflets…). Notre tube avec son Fd de 8 n’est pas non plus le plus adapté (regardez l’image avec un scope de 1m ici : https://astrob.in/iokfgl/0/ ) Mais cette image est néanmoins intéressante car on peut commencer à distinguer le halo ionisé qui l’entoure (grâce à un traitement un peu poussé je l’avoue) et qu’elle n’est pas très souvent imagée. Les nébuleuses planétaires sont des enveloppes en expansion de gaz et de poussières éjectées par une étoile au cours de son évolution en une naine rouge ou une naine blanche. Ce sont des objets relativement rares, mais ils sont importants pour les scientifiques qui étudient l'évolution chimique des étoiles et des galaxies. Bien que IC 5148 (une grande nébuleuse planétaire) ait été découverte en 1894, il n’y a pas encore beaucoup d’informations à ce sujet. La nébuleuse est située dans la constellation de la grue à une distance de 3000 années-lumière de la Terre. À une vitesse d'expansion de 50 km / s, elle est considérée comme l'une des nébuleuses planétaires les plus rapides connues. Pour déterminer plus de caractéristiques pour l'IC 5148, les chercheurs ont utilisé des spectromètres sur le VLT. Ils ont notamment découvert que la nébuleuse présentait un ensemble de structures inhabituelles dans le halo. Ils ressemblent à du matériel ionisé chauffé au rouge. Les chercheurs n’ont pas encore déterminé la nature de l’émission dans le halo de la CI 5148. Ils soulignent que la zone interne du halo ressemble à une forme parfaitement ronde, mais que son dessin n’est visible que d’un côté de la nébuleuse. Des observations spectroscopiques plus approfondies sont prévues pour résoudre le mystère. Aussi réussi à obtenir les principales caractéristiques de l'étoile centrale IC 5148. Son âge atteint 8500 ans, la température moyenne est de 11 500 K, et la métallicité est au niveau de 0,02 dex. La masse initiale de l'étoile a atteint 1,5 solaire. L’hydrogène ionisé de la nébuleuse planétaire IC 5148C utilisant les astronomes du très grand télescope (VLT) a fait des observations sur la nébuleuse planétaire IC 5148. Une nouvelle étude indique la présence d’halogène ionisé et détermine les paramètres fondamentaux de l’étoile centrale. Plus d’info sur les halos de la NP ici :https://arxiv.org/pdf/1810.01350.pdf Full and Détails sur astrobin : https://astrob.in/whin8f/0/
  9. Bonjour, L’image publiée aujourd’hui est une nébuleuse planétaire : NGC 246, également appelée la nébuleuse du crâne. Elle est à rechercher dans la Baleine (Cetus). La nébuleuse, de magnitude 10, se situe à 1.600 années-lumière de la Terre. Ce reste éthéré d’une étoile morte depuis longtemps, niché dans le ventre de La Baleine, ressemble difficilement à un crâne flottant dans l’espace. Cette nébuleuse planétaire est la première connue à être associée à une paire d’étoiles étroitement liées orbitées par une troisième étoile externe. Cette étoile, qui n’est pas visible sur cette image, est une naine rouge sombre qui se trouve près de la naine blanche à environ 500 fois la distance entre la Terre et le Soleil. Les étoiles naines rouges et blanches orbitent l’une autour de l’autre en paire, et l’étoile extérieure orbite autour des deux naines à une distance d’environ 1900 fois la séparation Terre-Soleil. Collectivement, ces trois étoiles établissent NGC 246 comme la première nébuleuse planétaire connue avec un système stellaire triple hiérarchique en son centre. Cette image de la nébuleuse du Crâne capture intentionnellement la lumière émise dans certaines gammes étroites de longueurs d’onde – celles associées à l’hydrogène et à l’oxygène gazeux. Les observations de la lumière émise par des éléments particuliers aident à révéler une mine d’informations sur les compositions chimiques et structurelles d’un objet. Cette nouvelle image de la nébuleuse du Crâne met en évidence les endroits où NGC 246 est riche ou pauvre en hydrogène (en rouge) et en oxygène (représenté en bleu clair). On pense que la structure tressée complexe de l’anneau extérieur bleu de NGC 246, visible sur cette image prise par le télescope Gemini Sud, résulte de l’action des ondes de choc. Au fur et à mesure que la coque extérieure comprimée s’empile contre le milieu interstellaire, elle se réchauffe et devient instable, ce qui la fragmente. Les gaz à grande vitesse poussant vers l’extérieur de l’étoile centrale chaude (~ 200 000 K) peuvent également contribuer au chaos visible. Les collisions entre ces vents rapides et la coquille choquée pourraient expliquer les lobes verts distinctifs et les vides plus sombres visibles dans la moitié principale de la coque intérieure de NGC 246. L’expansion inégale le long de l’axe principal de la nébuleuse entraîne une asymétrie visible : comme le montre l’image ici, la structure externe de NGC 246 a la forme d’un anneau ovale. Son bord d’attaque (supérieur) apparaît plus brillant et plus net que son bord de fuite (inférieur). L’étoile binaire centrale est légèrement déplacée vers le bord d’attaque de la coquille, comme les astronomes l’avaient prédit. La nébuleuse est relativement petite et sombre (magnitude 11). Sur cette image on peut également noter 3 galaxies : · NGC 255 (en haut à gauche) une galaxie barrée spiralée SBc de mag 12.5 à environ 71 millions d’AL. · MCG-02-03-009 : (en haut à droite) une dwarf galaxie de magnitude 14 · MCG-02-03-020 : (à gauche) une petite galaxie de type LSB_G de mag 15 En cherchant bien on peut trouver quelques galaxies du catalogue APMUKS qui sont des galaxies très lointaines et dont on a très peu d'infos, à part leur magnitude. L’image est une L Rha-GOIII-BOIII à environ 70 % pour le RGB, le signal SII est pratiquement inexistant. Full and details on astrobin : https://astrob.in/full/kkt0tt/0/?real=
  10. Bravo ! très joli cadrage et une belle réussite surtout avec le matériel utilisé. Didier
  11. Bonjour, Après une interruption momentanée de l’image et du son…nous avons pas mal de travail en retard… L’équipe du set-up en Esapgne est remodelée et nous accueillons avec grand plaisir Alain Tamas et est désormais composée de : · David Attié · Souhayl Ben Khaled · Didier Rediger-Lizlov · Alain Tamas Notre équipe va également changer de nom Notre publication reprend une image commencée en novembre 2020, la très classique galaxie M33, image LRGB à laquelle nous avons ajouté une couche Ha et une Couche OIII afin de mieux faire ressortir les couleurs de ses extensions. C’est donc la première image collaborative de l’équipe, d’autres vont suivre. Full & details on Astrobin : https://astrob.in/full/jjdxn5/0/?real=
  12. Notre publication est une image d’Abell 194 l’amas de galaxies, qui comprend Arp 308 (NGC 545 + NGC 547) et l’objet de Minkowski (dans le halo de NGC 541) ainsi que d’autres galaxies environnantes. Ce riche groupe comprend 10 galaxies du New General Catalog (NGC) qui sont identifiées dans l’image de survol, ainsi que plusieurs dizaines d’autres galaxies visibles dans ce champ. Malgré sa distance impressionnante d’environ 250 millions d’années-lumière, plusieurs des galaxies les plus brillantes de l’amas peuvent être vues dans des télescopes amateurs. La galaxie naine particulière rapprochée de NGC 541 ARP 133 est particulièrement intéressante et elle a fait l’objet d’études assez détaillées. Le jet de matière venant du trou noir central de NGC 541 atteint cette galaxie et il est à l’origine d’un sursaut de formation d’étoiles. Ce type assez rare de pouponnière d’étoiles est connu sous le nom d’objet de Minkowski, un exemple de trou noir créant la vie dans l’univers sous forme de bébés étoiles. Il y a aussi la caractéristique inhabituelle connue sous le nom d’objet de Minkowski, qui apparaît comme une petite tache bleue sur le bord de la galaxie NGC 541. Cette galaxie est un puissant émetteur d’ondes radio, et les images dans d’autres longueurs d’onde montrent un grand jet s’étendant du centre de la galaxie à l’objet de Minkowski. Les astronomes ont découvert que l’objet de Minkowski est une région de formation intense d’étoiles. Une abondance d’étoiles chaudes bleu-blanc donne à l’objet sa couleur distinctive. NGC 541 est une galaxie lenticulaire. Elle est située dans la constellation de la Baleine à environ 242 millions d'années-lumière de la Voie lactée. NGC 541 fait partie du groupe de NGC 545, la plus grosse et la plus brillante galaxie de ce groupe9. Le groupe de NGC 545 fait partie d'un ensemble plus vaste, l'amas galactique Abell 19410,11. Les 2 galaxies de ce groupe, NGC 545 et NGC 547, produisent d'immenses et puissants jets de matière dans la région qui entoure leur trou noir supermassif central 12. Ces jets ont été captés en onde radio par les radiotélescopes du VLA. Les jets de ces deux galaxies en interaction gravitationnelle sont projetés à des distances d'environ 250 000 années-lumière12. Le jet plus court de la galaxie NGC 541, un peu plus bas à droite, entre en collision avec un nuage d'hydrogène coloré en bleu foncé qui a aussi été détecté en onde radio par le VLA. L'onde de choc créé par ce jet a engendré une zone de formation de formation d'étoiles, colorée en bleu pâle. Ce type assez rare de pouponnière d'étoiles est connu sous le nom d'objet de Minkowski13,12, un exemple de trou noir créant la vie dans l'univers sous forme de bébés étoiles. L’objet, une galaxie particulière formant une étoile, est clairement visible dans la vue en pleine résolution et subit un grand sursaut en formation d’étoiles. On pense que le sursaut a été initié par un jet radio émergeant du cœur de NGC 541. Ce phénomène de formation d’étoiles induit par le jet a également été observé dans d’autres objets tels que Centaurus A. Cet objet est nommé d’après l’astronome allemand Rudolph Minkowski, qui l’a découvert en 1958. Basée sur la vitesse interne de la galaxie mesurée par le télescope spatial Hubble, la masse du trou noir supermassif au centre de la galaxie NGC 541 serait comprise entre 190 et 920 millions. De nombreuses autres galaxies fascinantes, amas de galaxies et quasars sont visibles sur l’image. Le faible amas de galaxies juste en dessous du centre de l’image se trouve à environ 5 milliards d’années-lumière. Full and details sur Astrobin : https://astrob.in/full/mybjpe/0/?real=
  13. Nous nous sommes de nouveau attelés à une cible difficile au regard de la luminosité de notre tube (f 2450 à Fd Malgré les 49heures de pose en bande étroite et les 10h30 en RGB, le résultat est satisfaisant sans malheureusement atteindre ce qu’une caméra CMOS aurait permis en moins de temps…Les conditions météo n’étaient pas non plus au top… (quelques légères brumes) SH2-313 ou Abell 35 est située dans la constellation de l’Hydre. Cette nébuleuse planétaire est très grande, la pleine lune à environ 31 minutes d’arc de diamètre, et SH2-313 10 minutes d’arc de diamètre. Abell a identifié cette nébuleuse planétaire pour la première fois en 1966. C’est peut-être le plus grand PN connu à 1,6 pc de diamètre, et est distant d’environ 360 pc (Jacoby 1981). C’est aussi le plus ancien PN connu (Bohuski 1972).SH2-313 ou Abelle 35 (PN A66 35 pour Simbad) a été longtemps été considérée comme une nébuleuse planétaire (NP) et l’est d’ailleurs toujours selon SIMBAD, qui se réfère à la publication de Frew et al. datant de 2013. Pourtant, dès 1981, des réserves sont émises sur la nature d’Abell 35 et les dernières publications, révèlent qu'Abell 35 n’est pas une nébuleuse planétaire : « […], la nébuleuse particulière de type PN Abell 35 (Jacoby 1981; Hollis et al.1996) semble être une nébuleuse en arc à l'intérieur d'une sphère de Strömgren photo-ionisée dans l’ISM » donc une sphère de Strömgren ionisée par le compagnon nain blanc chaud DAO de BD - 22º 3467, l’étoile entourée par l’arc parabolique central qui a récemment évolué à partir de la phase nébuleuse planétaire. Le système produit un vent fort, venant probablement de la sous-géante en rotation rapide, qui interagit avec la zone interne de la nébuleuse d'émission pour produire cet arc de choc. C’est donc vraiment une nébuleuse planétaire inhabituelle. Elle présente une taille cible raisonnable d’environ 10 arc-min de diamètre. Cela se compare très étroitement en taille au disque interne de la célèbre nébuleuse Helix qui s’étend sur 8X19 arc-min. Cependant, SH2-313 est beaucoup plus ancienne et plus éloignée. À mesure que les nébuleuses planétaires vieillissent, elles ont tendance à perdre leur belle forme définie. Sharpless 2-313 a une luminosité de surface extrêmement faible de seulement 26,2 mag / arc-sec2. À la base, ce qui semble être une étoile très brillante est un système d’étoiles binaires responsable de la création de la nébuleuse environnante. Les mesures spectroscopiques révèlent que la paire tourne très rapidement, presque assez pour se déchirer. L’une des étoiles est une naine blanche. Les forces incroyables générées par la rotation de la naine blanche lui ont fait perdre ses couches externes il y a des milliers d’années. Cela a produit la nébuleuse planétaire environnante que nous pouvons voir aujourd’hui. La lueur est causée par le rayonnement UV de la naine blanche ionisant la coquille en expansion du matériau à mesure qu’elle se dilate dans l’espace. Le choc de l’arc est dû au mouvement de la nébuleuse et de son étoile centrale se déplaçant à travers le gaz entre les étoiles. Il est assez rare de regarder des objets stellaires et de voir des caractéristiques qui suggèrent un mouvement. Cela peut être représenté par des structures ondulomotrices, un éclaircissement localisé des régions gazeuses ou des distorsions ; on retrouve ce phénomène dans la nébuleuse du Crâne. Abell 35, Lotr 1 et Lotr 5 (objets de type Abell 35) sont les trois seuls PNe avec des noyaux binaires connus pour contenir un primaire UV très chaud et chromosphérique actif. Le transfert de masse entre leurs partenaires ou les interactions d’enveloppe communes expliquent les propriétés morphologiques de certaines nébuleuses planétaires. Quant à la façon dont ces systèmes binaires se forment n’est pas clair et présente un défi pour les théories de l’évolution des étoiles binaires. (A. A. GattiJ, E. DrewS, LumsdenT, MarshC, MoranP, Stetson 1997). Il est à noter qu’il s’agit d’une nébuleuse diffuse très sombre, et les galaxies peuvent être clairement vues derrière Abell 35. Et elles montrent facilement même après avoir traversé une nébuleuse. Full & details sur astrobin : https://astrob.in/dn4noe/0/
  14. C’est une grande nébuleuse que nous vous présentons cette fois, NGC 6357. Nous avons mis très longtemps à choisir avec quelles couleurs vous la présenter, ce fut compliqué de tomber d’accord. Appelée aussi « Guerre et Paix » à cause de son apparence, que nous recherchons toujours… (En fait il faudrait voir cette nébuleuse en Infra-rouge pour repérer une colombe sur la partie gauche et un crâne sur la partie droite….) https://en.wikipedia.org/wiki/NGC_6357#/media/File:Cosmic_‘Winter’_Wonderland.jpg Elle est située dans le Scorpion à environ 6500 années-lumière, c’est un cluster de clusters de jeunes étoiles chaudes massives et lumineuses et entourées de disque de gaz sombres. On trouve aussi de nombreuses bulles ou cavités, créées par les radiations et l’éjection de matériaux de la surface des étoiles massives et d’explosions de super novae.. En son sein, on trouve l’amas Pismis 24, qui est près du « cœur » de cette nébuleuse (la partie bleu clair). Pismis 24-1, aussi lumineuse5 que 776 000 soleils, est la plus grande et la plus brillante des étoiles visibles de cet amas, et fait partie des étoiles les plus massives et les plus lumineuses connues. Elle est au moins une étoile triple, selon l'observation récente du télescope Hubble. Full & details sous Astrobin : https://astrob.in/7huccv/0/ une version HOORGB est egalement dispo : https://astrob.in/7huccv/B/
  15. merci Frédo ! c 'est vrai que le nombre de galaxies est impressionnant mais malheureusement à peine la moitié sont renseignées avec le catalogue Gaia3... je pense qu'on dépasse la mag 24. ca devrait pas être de l'astigmatisme mais plutôt les petites aigrettes due à la formule de l'optique....
  16. Nous voulions refaire une belle galaxie mais pas trop imagée, notre dévolu s’est jeté sur NGC 55. Nous avons constaté un fort signal sur des nodosités dans les bras en Ha et OIII, mais malheureusement il appert que les deux signaux pratiquement confondus… Les signaux Ha et OIII ont été ajoutés aux couches Rouge et Bleue après soustraction du signal rouge ou bleu (méthode de JB. Auroux) le signal propre à ses deux couches. NGC 55 Elle est située dans le Sculpteur à environ 5,9 millions d’AL et son diamètre est approximativement de 60 000 AL. Ce serait une galaxie Irrégulière mais les dernières études tendraient à montrer que c’est plutôt une galaxie spirale magellanique barrée (SB(s)m) vue par la tranche. Une galaxie spirale magellanique est un type de galaxie spirale ne possédant qu'un seul bras spiral et qui est habituellement petite. Les galaxies irrégulières n’ont pas de forme spéciale, elles mettent plus de temps pour convertir la matière gazeuse en étoiles car elles sont naines, elles représente environ 10% des galaxies connues. On voit aussi NGC 55 produire de nouvelles étoiles. Ce portrait détaillé de la galaxie NGC 55 met en évidence un noyau brillant traversé par des nuages de poussière, des régions révélatrices de formation d'étoiles rosées et de jeunes amas d'étoiles bleues. De grandes structures en coquille et des panaches ont été identifiés qui sont des signatures de supernovae récentes et de vents stellaires d’étoiles massives. La formation récente d’étoiles s’est presque certainement produite près du centre de NGC 55 il y a à peine 8 millions d’années, bien qu’une production assez régulière d’étoiles se soit produite au cours des 100 à 200 derniers millions d’années. Comparée à d’autres galaxies, NGC 55 a connu une histoire remarquablement uniforme de formation d’étoiles. Full & details on astrobin : https://astrob.in/full/xc72a1/0/?real=
  17. SH2-29,31 & 32 : Assez classique : SH2-29, 30 & 30 forment une zone d’hydrogène ionisé HII renfermant de nombreux autres objets comme des nébuleuses par réflexion (qui sont également des pouponnières d’étoiles comme NGC 6559 , IC 4684 & IC 4685), des nuages moléculaires sombres ou nébuleuses sombres comme B 91 & B 303 et LDN 221, 230 et 212 ainsi qu’une nébuleuse planétaire Minkowski 1-41. Cette région est située dans le Sagittaire juste à l’ouest et contigüe à M8 « la Lagune ». Présentée ici en 2 versions : une en HaL- SIIHaR-GOII-BOIII et l’autre en SHO qui permet de mieux distinguer les détails des nébuleuses. Full & Détails on Astrobin : HaL- SIIHaR-GOII-BOIII : https://astrob.in/full/now5nl/0/?real= SHO : https://astrob.in/full/now5nl/C/?real=
  18. hello la LRGB est surtout là pour avoir une bonne coloration des étoiles, on a fait une version LRGB avec les données dispos pour les réfractaires au SHO
  19. Non, pour les étoiles tu as toujours l oeil
  20. Encore une fois un grand classique : M17. M17, située dans la Sagittaire et visible des 2 hémisphères, est aussi appelée Nébuleuse Omega ou du Cygne. C’est une nébuleuse en émission, sa forte luminosité provient des étoiles jeunes de type B qui irradient le gaz alentour HII. La barre centrale de la nébuleuse masque en fait un amas ouvert constitué d’une trentaine d’étoiles jeunes qui ont pû être observées en IR, ainsi qu’une forte densité de poussières favorables à leur formation. Cette barre, partie la plus brillante tire réellement vers le blanc et non surexposée comme on pourrait le penser. Ce phénomène est apparemment le résultat du mélange de la lumière d'émission du gaz très chaud avec celle des étoiles brillantes réfléchie par la poussière environnante. La nébuleuse contient une grande quantité de matière sombre dont la présence est rendue évidente par les formes remarquables qu'elle fait apparaître. Cette matière a été chauffée par les jeunes étoiles cachées et brille fortement en lumière infrarouge. Elle se trouve à environ 5500 Années-Lumière pour une taille d’environ 40 Années-Lumière (la barre centrale ne représente que 15 Années-Lumières). Nous vous la proposons en mode SHORGB ainsi qu’en version classqiue LRGB (version B sous astrobin) Full & Details sous astrobin : https://astrob.in/full/q5w196/0/?real=
  21. Merci à tous pour vos commentaires Pour Axel : c'est un parti pris que nous avons d'essayer de traiter toutes les zones de manière homogène, et sur cette image les contrastes locaux ont été traités sur toute l'image et non seulement sur la nébuleuse. Regardes bien même sur la nébuleuse les zones de poussières ne sont pas noires...
  22. Après une interruption due aux congés de l’équipe nous reprenons nos publications et cette fois un grand classique : M20. M20, située dans le Sagittaire et donc visible des deux hémisphères, aussi appelée Nébuleuse de la Trifide (ou du trèfle) se présente comme une fleur en boutons à 3 lobes. C’est une région de formation d’étoiles. Elle nous présente une partie nébuleuse par émission (partie rose-rouge) avec l’mission en Hydrogène, une partie nébuleuse en réflexion (bleue) issue de la réflexion de la lumière des étoiles par les poussières environnantes, des parties sombres de nuages de poussières denses qui apparaissent en bandes qui la séparent en trois lobes, et au milieu on trouve un système triple d’étoiles dont la troisième composante est difficile à isoler. Elle est située à environ 4600 Années-Lumière et est pratiquement aussi grande que la pleine lune mais non visible à l’œil nu. Nous vous la proposons en mode HaR-G-OIIIB ainsi qu’en version HSORGB (version A sous astrobin) où nous trouvons que les faibles extensions extérieures sont plus discernables. Full & Details sous astrobin : https://astrob.in/full/ftyubi/B/?real=
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