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Dieter333

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Tout ce qui a été posté par Dieter333

  1. Merci pour votre passage et de vos critiques. LE SHO c'est toujours sensible, chacun a des goûts différents, même nous dans l'équipe, bien qu'on évite les couleurs trop criardes et trop saturées tant à la mode. Pour Fredo, aucun traitement différencié ou zone par zone dans cette image, et j'ai beau regardé je ne vois pas ce que tu tu décris (mais ma vision n'est plus ce qu'elle était). Pour Pepuccio, c'est vrai qu'idéalement la nébuleuse est un peu plus lumineuse (donc plus contrastée), c'est un choix personnel qui permet d'afficher plus de nuances subtiles (à mon avis).
  2. Bonjour, encore un grand classique que nous vous présentons en SHORGB et en LRGB et en version normale ou starless.(à voir sur astrobin) Autour du trou de serrure de la Carène NGC 3372. La nébuleuse de la Carène (ou Grande nébuleuse de la Carène, NGC 3372) est une nébuleuse en émission et une nébuleuse par réflexion située dans la constellation de la Carène. Elle a été découverte par l'astronome français Nicolas-Louis de Lacaille en 1752 depuis le cap de Bonne-Espérance en Afrique du Sud[2]. À une distance d'environ 8 500 années-lumière estimée à l'aide des données récentes du satellite Gaia[4] et une dimension apparente de 120 minutes d'arc, cette nébuleuse est l'une des plus vastes régions HII connues de notre galaxie avec une envergure approchant les 300 années-lumière. Bien que quatre fois plus grande et plus lumineuse que la nébuleuse d'Orion, la nébuleuse de la Carène est moins célèbre en raison de sa position lointaine dans le ciel de l'hémisphère sud. Comme la nébuleuse d'Orion, NGC 3372 est visible à l'œil nu, mais on ne distingue pas les couleurs que l'on voit sur les photos télescopiques, seulement une tache blanchâtre[8]. La nébuleuse de la Carène renferme la grande association stellaire OB Carina OB1 (en) et plusieurs amas ouverts contenant de très nombreuses étoiles de type O ainsi que plusieurs étoiles Wolf-Rayet. L'association Carina OB1 englobe les amas Trumpler 14 et Trumpler 16. Trumpler 14 est l'un des plus jeunes amas connus, âgé de seulement 6,8 millions d'années[9]. L'étoile WR 25 est la plus lumineuse connue de la Voie lactée et elle se trouve dans Trumpler 16. Le célèbre système stellaire d'Eta Carinae et la supergéante bleue de classe O HD 93129 A se trouvent aussi dans Trumpler 16. Trumpler 15, Collinder 228, Collinder 232, NGC 3293 et l'amas de la nébuleuse NGC 3324 sont aussi considérés comme membres de l'association Carina OB1. NGC 3293 est l'amas le plus vieux et le plus éloigné de Trumpler 14, indiquant ainsi une séquence de formation d'étoiles toujours active. · Êta de la Carène (η Car, Eta Carinae) Êta de la Carène (η Car) est une étoile hypergéante extrêmement lumineuse. Les estimations de sa masse vont de 100 à 150 fois celle du Soleil et sa luminosité est environ quatre millions de fois supérieure à celle du Soleil. C'est l'étoile la plus massive que l'on peut étudier de manière très détaillée à cause de son emplacement et de sa taille. Plusieurs autres étoiles connues peuvent être plus lumineuses et plus massives, mais les données les concernant sont beaucoup moins fiables. Les étoiles dont la masse est supérieure à 80 fois celle du Soleil sont des millions de fois plus lumineuses. Elles sont rares, à peine quelques dizaines dans notre galaxie et elles approchent une situation hors de contrôle connue sous le nom de limite d'Eddington, c'est-à-dire une situation où leur pression de radiation prend le dessus sur la gravité. Des constituants de l'étoile sont alors éjectés. Les étoiles de plus de 120 masses solaires dépassent la limite théorique d’Eddington et leur gravité est à peine suffisante pour retenir leur rayonnement et leurs gaz, ce qui pourrait entraîner une supernova ou une hypernova dans un proche avenir. Les effets d'η Car sur la nébuleuse peuvent être observés directement. Les globules sombres et certains autres objets moins visibles ont des queues pointant directement dans la direction de l'étoile massive. L'apparence globale de la nébuleuse de la Carène devait être passablement différent avant la grande éruption d'η Car en 1841, éruption qui a entouré l'étoile de poussière réduisant ainsi considérablement le rayonnement ultraviolet qu'elle déversait dans son environnement. · Nébuleuse de l'Homoncule Dans la nébuleuse, on retrouve une composant beaucoup plus petite qui entoure l'étoile η Car. On lui a donné le nom de nébuleuse de l'Homoncule, du mot latin homunculus qui signifie petit homme. On pense que ce nuage bipolaire a été éjecté de l'étoile lors d'une énorme explosion en 1841 qui a fait brièvement d'η Car la deuxième étoile la plus brillante du ciel. La nébuleuse de l'Homoncule est une petite région HII renfermant des gaz soumis à des chocs les propulsant soit dans des états ionisés ou excités. L'Homoncule absorbe aussi une grande partie du rayonnement du système stellaire central extrêmement lumineux et le réémet dans le domaine de l'infrarouge. L'Homoncule est l'objet le plus brillant du ciel aux longueurs d'onde de l'infrarouge moyen. · Nébuleuse du trou de serrure Cette nébuleuse a aussi été surnommée le doigt de Dieu en raison de sa ressemblance avec un doigt d'honneur. Le trou de serrure, ou nébuleuse de trou de serrure, est un petit nuage sombre de molécules froides et de poussière dans la nébuleuse de la Carène. Il contient aussi contenant des filaments brillants de gaz chaud et fluorescent se découpant sur la nébuleuse de fond beaucoup plus lumineuse. Le diamètre de la structure en trou de serrure est d’environ sept années-lumière. Son apparence a considérablement changé depuis sa première observation, probablement en raison de modifications du rayonnement ionisant d’η CaR . · Trumpler 14 Trumpler 14 est un amas ouvert d'un diamètre de six années-lumière (1,8 pc) situé dans les régions intérieures de la nébuleuse de Carina, à environ 2 733 pc (8 900 années-lumière) de la Terre[9]. Il s’agit de l'un des principaux amas de l’ association stellaire Carina OB1, la plus grande association de la nébuleuse Carina[11]. Cet amas est très jeune, environ 6,8 millions d'années[9]. Environ 2 000 étoiles ont été identifiées dans Trumpler 14[18] et la masse totale de l'amas est estimée à 4300 M. · Trumpler 15 Trumpler 15 est un amas d'étoiles situé au nord-est de la nébuleuse de la Carène. Les premières études étaient en désaccord sur sa distance, mais les mesures astrométriques effectuées par la mission Gaia ont confirmé qu'il s'agissait d'une distance comparable au reste de l'association Carina OB1[4]. Selon la base de données WEBDA, Trumpler 15 est à 1 853 pc de la Terre, soit à environ 6 044 années-lumière et son âge est de 8,4 millions d'années. · Trumpler 16 Trumpler 16 est l’un des principaux amas de l’ association stellaire Carina OB1 et il est plus grand et plus massif que Trumpler 14[11]. L'étoile η Car fait partie de cette amas. Selon la base de données WEBDA, Trumpler 16 est à 2 673 pc de la Terre, soit à environ 8 718 années-lumière et son âge est de 6,1 millions d'années. · Montagne mystique La montagne mystique est un surnom que l'on a donné à un pilier de poussière et de gaz que le télescope spatial Hubble a pris en photo pour célébrer son 20e anniversaire. · WR 22 WR 22 est un système stellaire binaire à éclipses dont l'étoile massive est de type Wolf-Rayet et la plus petite de type O. Les données orbitales recueillies ont permis de calculer les masses des deux étoiles du système : 55,3 ± 7,3 M l'étoile la plus massive et 20,6 ± 1,7 M pour la plus petite. · WR 25 WR 25 est un système binaire situé dans la partie centrale de la nébuleuse de la Carène. Ce système stellaire fait partie de l'amas Trumpler 16. L'étoile la plus massive principale est de type Wolf–Rayet. C'est peut-être l'étoile la plus lumineuse de la galaxie. La plus petite secondaire est difficile à observer, mais on pense qu’il s’agit d’une étoile de type OB. · HD 93129 HD est un système stellaire composé de trois étoiles de type O. Les trois étoiles de HD 93129 sont parmi les plus lumineuses de la Voie lactée[23]. HD 93129 est constitué de deux composantes clairement résolues : HD 93129 A et HD 93129. HD 93129 A est lui-même un système binaire dont les deux étoiles sont beaucoup plus rapprochées. · HD 93250 HD 93250 est l’une des étoiles les plus brillantes de la nébuleuse de la Carène. On sait qu'il s'agit d'une étoile binaire, mais les spectres individuels des deux composantes n’ont jamais été observés. Le système est à seulement 7,5 minutes d'arc d'η Car. On considère que HD 93250 fait partie de l'amas Trumpler 16, même s'il semble plus rapproché de Trumpler 14. · HD 93205 HD 93205 est un système binaire de deux étoiles de la séquence principale. L'étoile la plus massive est de type 03.5. Sa masse a été calculée à partir des paramètres orbitaux des orbites. Elle est comprise entre 40 et 60 M. L'étoile la moins massive est de type 08 et sa masse est d'environ 20 M. Elle se déplace très rapidement sur son orbite à une vitesse de plus de 300 km/s. · Catalogue des amas ouverts de NGC 3372 En 1998, il y avait 8 amas ouvert connus dans le nébuleuse de la Carène[2] : · Bochum 10 (Bo 10) ; · Bochum 11 (Bo 11) ; · Collinder 228 (Cr 228) ; · Collinder 232 (Cr 232) ; · Collinder 234 (Cr 234) ; · Trumpler 14 (Tr 14, Cr 230) ; · Trumpler 15 (Tr 15, Cr 231) ; · Trumpler 16 (Tr 16, Cr 233). · Au sud de l’image Dans ce qu’on appelle les piliers sud (de Carina), l’image la plus remarquable du télescope spatial Hubble est HH666, elle occupe la majeure partie du côté droit de l’image et est assez faible et apparemment ombragée par rapport aux gaz du premier plan. Le reste de ces piliers n’a pas de noms que je peux trouver, et il y en a beaucoup. Voyez si vous pouvez les trouver. Le pilier hippocampe, le pilier Cat-a-pillar, le pilier Knifes Edge, les piliers Twin Peaks, le petit pilier, le pilier de la ruche, les piliers jumeaux, les piliers shady Mountain... Full & Details astrobin : https://astrob.in/wz36c1/0/
  3. NGC 2207 & IC 2163 Nous présentons 2 petites galaxies en collision (l’une est de 4' et l’autre de 3'). Il s’agit d’une image réduite car nous avions de gros problèmes de réflexion et il était nécessaire de la recadrer à 50%. Mais finalement l’image est regardable et nous choisissons de vous la présenter. NGC 2207 et IC 2163 sont une paire de galaxies spirales en collision à environ 80 millions d’années-lumière dans la constellation du Grand Chien. Les deux galaxies ont été découvertes par John Herschel en 1835. La plus grande spirale, NGC 2207, est classée comme une galaxie spirale intermédiaire présentant une faible structure d’anneau interne autour de la barre centrale. La spirale compagne plus petite, IC 2163, est classée comme une galaxie spirale barrée qui présente également un anneau interne faible et un bras spiral allongé qui est probablement étiré par les forces de marée avec le plus grand compagnon. Les deux galaxies contiennent une grande quantité de poussière et de gaz, et commencent à présenter des taux accrus de formation d’étoiles, comme on le voit dans les images infrarouges. NGC 2207 est en train d’entrer en collision et de fusionner avec IC 2163. Mais contrairement aux antennes ou aux galaxies des souris, ce sont toujours deux galaxies spirales distinctes. Ils n’en sont qu’à la première étape de la collision et de la fusion, NGC 2207 étant en train de décaper IC 2163. Bientôt, ils entreront en collision, ressemblant probablement un peu plus aux galaxies des souris. Dans environ un milliard d’années, on s’attend à ce qu’elles fusionnent et deviennent une galaxie elliptique ou peut-être une galaxie à disque. Les fortes forces de marée de NGC 2207 ont déformé la forme d’IC 2163, projetant des étoiles et du gaz dans de longs streamers s’étendant sur cent mille années-lumière vers le bord droit de l’image. Des simulations informatiques révèlent les mouvements des galaxies et aident à la reconstruction de la collision. Les calculs indiquent qu’IC 2163 dépasse NGC 2207 dans le sens inverse des aiguilles d’une montre, après avoir fait son approche la plus proche il y a 40 millions d’années. Cependant, IC 2163 n’a pas assez d’énergie pour échapper à l’attraction gravitationnelle de NGC 2207, et est destinée à être tirée en arrière et à passer à nouveau devant la plus grande galaxie à l’avenir. L’image révèle des couloirs de poussière dans les bras spiraux de NGC 2207, clairement silhouette contre IC 2163, qui est en arrière-plan. Hubble révèle également une série de filaments de poussière parallèles s’étendant comme de fins coups de pinceau le long du matériau étiré par la marée sur le côté droit. Les grandes concentrations de gaz et de poussière dans les deux galaxies pourraient bien entrer en éruption dans des régions de formation d’étoiles actives dans un proche avenir. Piégées dans leur orbite mutuelle l’une autour de l’autre, ces deux galaxies continueront à se déformer et à se perturber mutuellement. Finalement, dans des milliards d’années, ils fusionneront en une seule galaxie plus massive. On pense que de nombreuses galaxies actuelles, y compris la Voie lactée, ont été assemblées à partir d’un processus similaire de coalescence de galaxies plus petites se produisant sur des milliards d’années. Full & Details Astrobin : https://astrob.in/lcbo4o/0/
  4. j'ai fouillé partout, c 'est une galaxie mais non référencée... j'ai fouillé partout dans cartes et publications et catalogues... ca serait une galaxie mais non référencée (comme la plupart)
  5. hello Fredo, j'ai regardé sur Aladin il ne devrait pas y avoir de lentille gravitationnelle.... Mais peux tu montrer on tu la voit ? @+
  6. bien mieux, mais FdC toujours un peu trop sombre, je trouve...
  7. je l'avait ratée... quelle finesse ! Mais ca manque un peu de rouge IMHO.
  8. très jolie !!! l-IFN est bien rendu, les galaxies sont, à mon goût, un peu trop "brillantes"
  9. hello j'ai du mal à choisir... mais un joli champ ! pour chipoter je trouve le FdC un peu sombre.
  10. bonjour, Nous vous présentons cette fois un groupe de petites galaxies de l'hémisphère austral. Le groupe de galaxies NGC3166-3169, 3165 & 3156 dans Sextans NGC 3156, NGC 3169, NGC 3166 et NGC 3165 (de gauche à droite dans l’image de Kopernik ci-dessus) forment un groupe particulier et probablement en interaction de galaxies spirales dans la constellation des Sextans. Elles ont toutes à peu près le même décalage vers le rouge et les observations radio montrent qu’elles se trouvent à l’intérieur d’une enveloppe commune d’hydrogène neutre. Le plan déformé de NGC 3169 et la morphologie particulière de NGC 3166 confirment presque certainement que des marées d’une rencontre rapprochée se sont produites. NGC 3169 a un petit noyau brillant et de multiples voies de poussière qui apparaissent en silhouette contre le grand renflement central. Le motif du bras spiral est de type filamentaire. Les régions H-II sont évidentes, en particulier dans le bras brillant du côté proche. Il existe des bras extérieurs très faibles d’une luminosité de surface si faible qu’ils ne sont évoqués que dans l’image de Kopernik. (Spirale, en forme de S, particulière). NGC 3166 est une étrange galaxie spirale avec un noyau très petit et très brillant dans une courte barre lisse (0,5' x 0,14'). Le motif en spirale n’est que dans la lentille et il y a une grande enveloppe étendue très faible. (Spirale mixte barrée non barrée, anneau intérieur mixte - en forme de S, type LINER Noyau galactique actif) NGC 3165 est une petite et sombre galaxie spirale qui est également membre du groupe. (galaxie spirale, en forme de S, (incertaine) de type Magellan) NGC 3156 est une galaxie lenticulaire. L’estimation de la distance est de 65 millions d’années-lumière pour ce groupe de galaxies. Nous pouvons voir de nombreuses galaxies autour, avec à gauche un grand amas de galaxies faibles. Je suppose que certains objets ont une mag autour de 21.. Full & détails Astrobin : https://astrob.in/full/snu4fq/0/
  11. merci Fredo ! tout à fait d'accord avec toi, mais c'est le choix de l'équipe, il faut composer... pour info la version que j'avais proposée :
  12. Un grand classique, mais que nous n'avions jamais imagé... Dans notre toute première mosaïque, il est facile de reconnaitre la nébuleuse de la tête de cheval qui se détache devant les voiles rouges rouges de IC 434, la nébuleuse de la Flamme NGC 2024, 2 petites nébuleuses par réflexion à gauche IC 431 & 432, et sous la tête de cheval NGC 2023 Full & details Astrobin : https://astrob.in/n9fpwj/0/
  13. Bonjour, cette fois nous vous proposons une petite galaxie NGC 1512 est une galaxie spirale barrée d’environ 70 000 années-lumière de diamètre, située à environ 41 millions d’années-lumière de la Terre dans la constellation australe de l’Horloge, alors qu’elle s’éloigne de nous à environ 898 kilomètres par seconde. C’est un membre du groupe de galaxies Dorado. Les longs bras spiraux de cette galaxie sont trop faibles en lumière visible pour que la plupart des télescopes puissent les détecter, mais ils émettent une grande quantité de lumière ultraviolette, ce qui nous permet de voir ces bras autour de l’extérieur de NGC 1512. Ces faibles bras spiraux sont constitués principalement de jeunes étoiles qui brillent brillamment aux longueurs d’onde ultraviolettes. Pourquoi? Parce que les étoiles sont si chaudes. Les jeunes étoiles brûlent leur combustible nucléaire à une vitesse impétueuse, ce qui les rend plus chaudes et plus bleues que les étoiles plus anciennes et plus froides telles que le Soleil. L’ultraviolet est une sorte d'«ultra-bleu » qui révèle les étoiles les plus jeunes et les plus chaudes de toutes. En observant la lueur ultraviolette des jeunes étoiles, nous pouvons voir où la formation d’étoiles est active. Un magnifique anneau de 2 400 amas d’étoiles naissantes de 2 400 années-lumière entoure le noyau de NGC 1512 et est tout juste discernable près du noyau sur cette prise. De tels anneaux circumstellaires formant des étoiles sont assez courants dans l’Univers. Dans les galaxies spirales barrées, elles peuvent en fait constituer la classe la plus nombreuse de régions de sursaut d’étoiles proches. La barre géante, qui est trop faible pour être vue sur cette image, canalise le gaz vers l’anneau interne, où des étoiles massives se forment dans de nombreux amas d’étoiles. Dans cette galaxie, les amas d’étoiles nouvellement nés existent dans des environnements poussiéreux et propres. Les amas propres sont facilement visibles dans la lumière ultraviolette et visible, apparaissant comme des amas bleutés brillants sur l’image. Cependant, les amas poussiéreux ne sont révélés que par la lueur des nuages de gaz dans lesquels ils sont cachés, comme détecté dans les longueurs d’onde rouges et infrarouges. Cette lueur peut être vue comme une lumière rouge imprégnant les ruelles sombres et poussiéreuses de l’anneau. L’obscurcissement de la poussière des amas semble être un phénomène on-off. Les clusters sont soit complètement cachés, enveloppés dans leurs nuages de naissance, soit presque complètement exposés. Les vents stellaires et le puissant rayonnement des étoiles brillantes et nouvellement nées ont éliminé le nuage de poussière natal d’origine dans un processus de « nettoyage » rapide et efficace. En bas à droite de NGC 1512 se trouve la petite galaxie elliptique NGC 1510. Les deux galaxies sont actuellement séparées par seulement 68 000 années-lumière, en supposant qu’une rencontre rapprochée soit actuellement en cours. Un bras spiral de NGC 1512 semble être enroulé autour de la plus petite galaxie, ce qui montre qu’elle est déformée par de fortes interactions gravitationnelles avec NGC 1510 et qu’elle commence à être « dévorée » par sa grande voisine. Full & Details Astrobin : https://astrob.in/ks5xqp/0/
  14. LDN 1235 – nebuleuse du requin sombre – Vdb 150 – VdB 149 LDN 1235 (Lynds Dark Nebula) est un vaste complexe de nébuleuses qui ressemble un peu à un requin, ainsi communément appelé la « nébuleuse du requin noir ». Sur cette image, nous ne pouvons voir que la tête avec les mâchoires ouvertes. il est composé uniquement de gaz interstellaire et de poussière. La poussière sombre comme celle présentée ici est un peu comme la fumée de cigarette et créée dans les atmosphères fraîches des étoiles géantes. Après avoir été expulsées avec du gaz et recondensées gravitationnellement, les étoiles massives peuvent sculpter des structures complexes dans leur nuage de naissance en utilisant leur lumière de haute énergie et leurs vents stellaires rapides comme outils de sculpture. La chaleur qu’ils génèrent évapore le nuage moléculaire trouble et provoque la dispersion et la lueur rouge de l’hydrogène gazeux ambiant. Pendant la désintégration, nous, les humains, pouvons imaginer ces grands nuages comme des icônes communes, comme nous le faisons pour les nuages d’eau sur Terre. En incluant de plus petites nébuleuses bleues à réflexion de poussière telles que Lynds Dark Nebula 1235 et Van den Bergh 149 & 150, la nébuleuse Shark s’étend sur environ 15 années-lumière et se trouve à environ 650 années-lumière de la constellation de Céphée. Details & full astrobin : https://astrob.in/vzkaaz/0/ Notre Facebook : https://www.astrobin.com/users/Astro-TAPAS/
  15. jolis début mais manque cruellement de temps de pose... yapuka en rajouter 😉
  16. Un Classique parmi les classiques… Mais que nous n’avions toujours fait : la Tête de Cheval (Barnard 33) est une petite nébuleuse sombre dans la constellation Orion qui se détache sur le fond de draperies rouges de la nébuleuse en émission en Hydrogène IC 434. Elle apparait comme sortant de la bande nuageuse de poussières denses Lynds 1760. Mais en fait l’objet que nous préférons dans cette image se situe en dessous à gauche de la Tête de Cheval, la nébuleuse en réflexion et émission NGC2023. Située à environ 1500 années-lumière de la Terre, d’une taille de 4.3 années-lumière, la nébuleuse NGC 2023 est éclairée et sculptée par une très jeune et massive étoile brillante de type spectral B. Des filaments étonnamment colorés et complexes sont visibles. Des points d’émission dispersés proviennent également des objets Herbig-Haro de la région, associés aux jets énergétiques des étoiles nouveau-nées. (une gestion difficile des reflets nous a forcé à un crop assez ilmportant.) Full & details Astrobin : https://astrob.in/1mx98y/0/
  17. Bonjour, comme annoncé, la team « DDS_Observatory » change de nom et se voit renforcée par Alain Tamas. Nous allons publier des images datant de l’an dernier mais non traitées et nos nouvelles images, et nous commençons par une image de 2021. NGC 6946 – la galaxie des feux d’artifice La galaxie NGC 6946 est tout simplement spectaculaire. Au cours du siècle dernier seulement, NGC 6946 a connu 10 supernovae observées, ce qui lui a valu son surnom de galaxie Fireworks. En comparaison, notre Voie lactée n’enregistre en moyenne qu’un à deux événements de supernova par siècle. Nous sommes en mesure de nous émerveiller devant NGC 6946 car il s’agit d’une galaxie de face, ce qui signifie que nous voyons la galaxie « face » à nous, plutôt que de la voir de côté (connue sous le nom de bord). La galaxie Fireworks est en outre classée comme une galaxie spirale intermédiaire et comme une galaxie à sursaut d’étoiles. Le premier signifie que la structure de NGC 6946 se trouve entre une spirale complète et une galaxie spirale barrée, avec seulement une légère barre en son centre, et le second signifie qu’il a un taux exceptionnellement élevé de formation d’étoiles. NGC 6946 est enflammée par des feux d’artifice galactiques colorés alimentés par la naissance et la mort de multitudes d’étoiles brillantes et massives. Les géantes stellaires massives ont mis fin à leur vie dans des explosions de supernovae tout au long de NGC 6946 de manière rapide depuis des dizaines de millions d’années. On suppose que si seulement un million d’années de l’histoire de cette galaxie étaient compressées dans un film time-lapse de quelques secondes, il y aurait des explosions de lumière presque constantes à mesure que de nouvelles étoiles éclatent en vue, tandis que les anciennes expirent dans des explosions spectaculaires. Au cours du siècle dernier, huit supernovae ont explosé dans les bras de cette métropole stellaire, faisant de NGC 6946 la galaxie connue la plus prolifique pour les supernovae au cours des 100 dernières années. Pourtant, c’est l’omniprésence de la naissance d’étoiles dans NGC 6946 et non ses supernovae qui confèrent à cette galaxie son apparence flamboyante et colorée. Pour des raisons qui ne sont pas complètement comprises, elle connaît un taux de formation d’étoiles beaucoup plus élevé que toutes les grandes galaxies de notre voisinage. La production prodigieuse des pépinières stellaires dans ce voisin galactique conduit finalement à un nombre accéléré d’explosions de supernova. Les régions de naissance d’étoiles existent dans la plupart des galaxies, en particulier dans les spirales, et sont évidentes sous forme de nuages de gaz à prédominance hydrogène appelés régions HII. Ces zones fusionnent sur des millions d’années pour former des étoiles. Les étoiles jeunes, chaudes et massives formées dans ces régions émettent de grandes quantités de rayonnement ultraviolet, qui dépouillent les électrons des atomes d’hydrogène dans lesquels ils sont intégrés. Lorsque ces atomes d’hydrogène ionisés se réassoient aux électrons, ils rayonnent dans une couleur rouge foncé (à une longueur d’onde de 656,3 nanomètres) lorsque les électrons reviennent à des niveaux d’énergie inférieurs. NGC 6946 se trouve à 25,2 millions d’années-lumière à la frontière entre les constellations de Céphée et du Cygne, et a été découverte par Sir William Herschel (1738-1822) le 9 septembre 1798. Les astronomes estiment que cette galaxie contient environ deux fois moins d’étoiles que la Voie lactée et qu’elle est également utilisée comme laboratoire pour étudier et caractériser l’évolution des étoiles massives et les propriétés du gaz interstellaire. NGC 6939 En bas à gauche de l’image, beaucoup plus proche de nous, l’amas ouvert NGC 6939 offre un contraste intéressant, avec des étoiles aux couleurs bien prononcées. On note une forte concentration de géantes rouges au sein de cet amas, dont plus d’une dizaine sont des étoiles variables. Entre ces deux objets se situe un élément plus diffus, appelé « IFN » (« Integrated Flux Nebulae »), que l’on pourrait confondre avec de faibles nébulosités au sein de notre galaxie sur cette image. Il s’agit en réalité de nuages de gaz et de poussière dans le milieu interstellaire, ou en périphérie de la galaxie, et qui sont visibles du fait du rayonnement de l’ensemble des étoiles alentours (à l’inverse des classiques nébuleuses par émission ou absorption qui sont fortement liées à une étoile ou un amas d’étoiles en particulier). Ces nuages sont très ténus et peuvent s’étendre sur des dimensions gigantesques, aux alentours de la Voie Lactée. On peut parler, de façon imagée, de « cirrus galactiques ». Si l’IFN apparait en lumière visible, il ne révèle cependant sa véritable importante qu’en infrarouge. Full& details astrobin : https://astrob.in/56cn8f/0/
  18. Bonjour, comme annoncé, la team « DDS_Observatory » change de nom et se voit renforcée par Alain Tamas. Nous allons publier des images datant de l’an dernier mais non traitées et nos nouvelles images, et nous commençons par une image de 2021. NGC 6946 – la galaxie des feux d’artifice La galaxie NGC 6946 est tout simplement spectaculaire. Au cours du siècle dernier seulement, NGC 6946 a connu 10 supernovae observées, ce qui lui a valu son surnom de galaxie Fireworks. En comparaison, notre Voie lactée n’enregistre en moyenne qu’un à deux événements de supernova par siècle. Nous sommes en mesure de nous émerveiller devant NGC 6946 car il s’agit d’une galaxie de face, ce qui signifie que nous voyons la galaxie « face » à nous, plutôt que de la voir de côté (connue sous le nom de bord). La galaxie Fireworks est en outre classée comme une galaxie spirale intermédiaire et comme une galaxie à sursaut d’étoiles. Le premier signifie que la structure de NGC 6946 se trouve entre une spirale complète et une galaxie spirale barrée, avec seulement une légère barre en son centre, et le second signifie qu’il a un taux exceptionnellement élevé de formation d’étoiles. NGC 6946 est enflammée par des feux d’artifice galactiques colorés alimentés par la naissance et la mort de multitudes d’étoiles brillantes et massives. Les géantes stellaires massives ont mis fin à leur vie dans des explosions de supernovae tout au long de NGC 6946 de manière rapide depuis des dizaines de millions d’années. On suppose que si seulement un million d’années de l’histoire de cette galaxie étaient compressées dans un film time-lapse de quelques secondes, il y aurait des explosions de lumière presque constantes à mesure que de nouvelles étoiles éclatent en vue, tandis que les anciennes expirent dans des explosions spectaculaires. Au cours du siècle dernier, huit supernovae ont explosé dans les bras de cette métropole stellaire, faisant de NGC 6946 la galaxie connue la plus prolifique pour les supernovae au cours des 100 dernières années. Pourtant, c’est l’omniprésence de la naissance d’étoiles dans NGC 6946 et non ses supernovae qui confèrent à cette galaxie son apparence flamboyante et colorée. Pour des raisons qui ne sont pas complètement comprises, elle connaît un taux de formation d’étoiles beaucoup plus élevé que toutes les grandes galaxies de notre voisinage. La production prodigieuse des pépinières stellaires dans ce voisin galactique conduit finalement à un nombre accéléré d’explosions de supernova. Les régions de naissance d’étoiles existent dans la plupart des galaxies, en particulier dans les spirales, et sont évidentes sous forme de nuages de gaz à prédominance hydrogène appelés régions HII. Ces zones fusionnent sur des millions d’années pour former des étoiles. Les étoiles jeunes, chaudes et massives formées dans ces régions émettent de grandes quantités de rayonnement ultraviolet, qui dépouillent les électrons des atomes d’hydrogène dans lesquels ils sont intégrés. Lorsque ces atomes d’hydrogène ionisés se réassoient aux électrons, ils rayonnent dans une couleur rouge foncé (à une longueur d’onde de 656,3 nanomètres) lorsque les électrons reviennent à des niveaux d’énergie inférieurs. NGC 6946 se trouve à 25,2 millions d’années-lumière à la frontière entre les constellations de Céphée et du Cygne, et a été découverte par Sir William Herschel (1738-1822) le 9 septembre 1798. Les astronomes estiment que cette galaxie contient environ deux fois moins d’étoiles que la Voie lactée et qu’elle est également utilisée comme laboratoire pour étudier et caractériser l’évolution des étoiles massives et les propriétés du gaz interstellaire. NGC 6939 En bas à gauche de l’image, beaucoup plus proche de nous, l’amas ouvert NGC 6939 offre un contraste intéressant, avec des étoiles aux couleurs bien prononcées. On note une forte concentration de géantes rouges au sein de cet amas, dont plus d’une dizaine sont des étoiles variables. Entre ces deux objets se situe un élément plus diffus, appelé « IFN » (« Integrated Flux Nebulae »), que l’on pourrait confondre avec de faibles nébulosités au sein de notre galaxie sur cette image. Il s’agit en réalité de nuages de gaz et de poussière dans le milieu interstellaire, ou en périphérie de la galaxie, et qui sont visibles du fait du rayonnement de l’ensemble des étoiles alentours (à l’inverse des classiques nébuleuses par émission ou absorption qui sont fortement liées à une étoile ou un amas d’étoiles en particulier). Ces nuages sont très ténus et peuvent s’étendre sur des dimensions gigantesques, aux alentours de la Voie Lactée. On peut parler, de façon imagée, de « cirrus galactiques ». Si l’IFN apparait en lumière visible, il ne révèle cependant sa véritable importante qu’en infrarouge. Full& details astrobin : https://astrob.in/56cn8f/0/
  19. Bonjour, cette fois nous changeons de type de cible pour vous proposer une galaxy naine et donc diffuse avec quatre de ses six amas globulaires. La position des amas est répertoriée dans l’image « version originale » sur astrobin. La galaxie naine Fornax MCG-06-07-001 La galaxie naine Fornax est l’une des galaxies naines voisines de la Voie lactée. La galaxie naine Fornax (alias MCG-06-07-001, PCG10093) est située dans la constellation du Fornax. La galaxie est un essaim ellipsoïdal de vieilles étoiles, qui se sont formées à peu près en même temps que la galaxie et sont similaires à celles des amas globulaires. Cette galaxie est un satellite de notre Voie lactée, distant d’environ 500 000 années-lumière et contient six amas globulaires ; la plus grande, NGC 1049, a été découverte avant la galaxie elle-même. La galaxie s’éloigne également de la Voie lactée à 53 km/s. En raison de la faible brillance de surface de la galaxie et de sa grande extension, c’est une cible difficile pour l’observation visuelle à mag 9 avec les étoiles les plus brillantes autour de la 19ème magnitude. Les observations de six amas globulaires – de grandes boules d’étoiles qui orbitent autour des centres des galaxies – trouvés dans Fornax montrent qu’ils sont très similaires à ceux trouvés dans notre galaxie, la Voie lactée. La découverte est en contradiction avec les principales théories sur la façon dont ces amas se forment – dans ces théories, les amas globulaires devraient être nichés parmi de grandes quantités de vieilles étoiles – et donc le mystère de la façon dont ces objets sont venus à exister s’approfondit. Dans la galaxie sphéroïdale naine Fornax, les amas globulaires conservent leur distribution spatiale diffuse malgré le fait que l’échelle de temps de désintégration orbitale des amas est beaucoup plus courte que l’âge estimé de la galaxie hôte. Nous proposons que ce paradoxe puisse être résolu si (1) Fornax contient des trous noirs avec une fraction importante de la masse de ces amas ou si (2) il subit actuellement une perturbation des marées. Pour le scénario du trou noir, une distribution vitesse-dispersion à pic central est prévue, mais n’a pas été confirmée par observation. Le deuxième scénario exige que Fornax ait perdu une fraction importante de sa masse d’origine. Le deuxième scénario est possible si la masse de la matière noire galactique est d’environ 1012 M☉ à la distance actuelle de la galaxie sphéroïdale naine Fornax ou si Fornax est proche de son apogalacticon (Le point de l’orbite d’une étoile où elle est la plus éloignée du centre de sa galaxie locale) et a une orbite similaire à celle du Grand Nuage de Magellan. En utilisant le télescope spatial Hubble, les scientifiques ont dérivé un diagramme couleur-magnitude pour Fornax 4, un amas globulaire au sein de cette galaxie. Contrairement aux amas globulaires Fornax 1, 2, 3 et 5, qui ont des branches horizontales sur une large gamme de couleurs et incluent des variables RR Lyrae, Fornax 4 n’a que du rouge dans sa branche horizontale. Fornax 4 est également ~3 Gyr plus jeune que les autres amas globulaires. Le diagramme couleur-magnitude de Fornax 4 a une forte similitude avec le « jeune » globulaire galactique Ruprecht 106. On ne sait pas pourquoi les sphéroïdales permettent la formation d’amas globulaires comme Fornax 4 et Terzan 7 (de la naine du Sagittaire) longtemps après que les amas globulaires ont cessé de se former dans le corps principal du halo galactique. Une autre possibilité est que de « jeunes » amas globulaires du halo externe comme Ruprecht 106 ont été formés à l’origine dans des sphéroïdales naines aujourd’hui disparues. Full & Details sur Astrobin : https://astrob.in/xyujol/B/
  20. hello, autour c'est plein de Ha.... 😉 Look here : https://www.astrobin.com/5gou7f/?nc=all
  21. Une Délicate nébuleuse dans Orion : NGC 1788. Assez peu imagée, éclipsée par les nombreuses vedettes d’Orion, la nébuleuse par réflexion d’Orion nous a semblé être un sujet intéressant. Bien que ce nuage fantomatique soit plutôt isolé des étoiles brillantes d’Orion, leurs vents puissants et leur lumière ont un fort impact sur la nébuleuse, forgeant sa forme et en en faisant un foyer pour une multitude de soleils naissants. Les nébuleuses sombres Lynds 1616 & à gauche de la nébuleuse apportent un aspect « fantasmagorique au cliché ». NGC 1788 est une nébuleuse à réflexion inhabituelle (blanc bleuté à droite de l’image) entourée d’un anneau rouge brillant d’hydrogène gazeux. Les étoiles à l’intérieur de la nébuleuse n’ont qu’environ un million d’années, ce qui est très jeune par rapport à la plupart des étoiles. L’anneau d’hydrogène gazeux incandescent est alimenté par des étoiles chaudes et massives à proximité qui ne sont pas obligatoirement visibles sur l’image. L’image est une LHa - RHaGB Full & détails astrobin : https://astrob.in/5o2lof/0/
  22. bonjour, tu peux aussi faire une HOO avec pour le Vert 20% de HA et 80% de OIII afin de représenter le Hbeta ...
  23. Nous nous décidons à poster cette image de la Nébuleuse Planétaire IC 5148 bien qu’elle soit porteuse de pas mal de défauts liés à l’acquisition (pb de température CCD, flats, reflets…). Notre tube avec son Fd de 8 n’est pas non plus le plus adapté (regardez l’image avec un scope de 1m ici : https://astrob.in/iokfgl/0/ ) Mais cette image est néanmoins intéressante car on peut commencer à distinguer le halo ionisé qui l’entoure (grâce à un traitement un peu poussé je l’avoue) et qu’elle n’est pas très souvent imagée. Les nébuleuses planétaires sont des enveloppes en expansion de gaz et de poussières éjectées par une étoile au cours de son évolution en une naine rouge ou une naine blanche. Ce sont des objets relativement rares, mais ils sont importants pour les scientifiques qui étudient l'évolution chimique des étoiles et des galaxies. Bien que IC 5148 (une grande nébuleuse planétaire) ait été découverte en 1894, il n’y a pas encore beaucoup d’informations à ce sujet. La nébuleuse est située dans la constellation de la grue à une distance de 3000 années-lumière de la Terre. À une vitesse d'expansion de 50 km / s, elle est considérée comme l'une des nébuleuses planétaires les plus rapides connues. Pour déterminer plus de caractéristiques pour l'IC 5148, les chercheurs ont utilisé des spectromètres sur le VLT. Ils ont notamment découvert que la nébuleuse présentait un ensemble de structures inhabituelles dans le halo. Ils ressemblent à du matériel ionisé chauffé au rouge. Les chercheurs n’ont pas encore déterminé la nature de l’émission dans le halo de la CI 5148. Ils soulignent que la zone interne du halo ressemble à une forme parfaitement ronde, mais que son dessin n’est visible que d’un côté de la nébuleuse. Des observations spectroscopiques plus approfondies sont prévues pour résoudre le mystère. Aussi réussi à obtenir les principales caractéristiques de l'étoile centrale IC 5148. Son âge atteint 8500 ans, la température moyenne est de 11 500 K, et la métallicité est au niveau de 0,02 dex. La masse initiale de l'étoile a atteint 1,5 solaire. L’hydrogène ionisé de la nébuleuse planétaire IC 5148C utilisant les astronomes du très grand télescope (VLT) a fait des observations sur la nébuleuse planétaire IC 5148. Une nouvelle étude indique la présence d’halogène ionisé et détermine les paramètres fondamentaux de l’étoile centrale. Plus d’info sur les halos de la NP ici :https://arxiv.org/pdf/1810.01350.pdf Full and Détails sur astrobin : https://astrob.in/whin8f/0/
  24. Bonjour, L’image publiée aujourd’hui est une nébuleuse planétaire : NGC 246, également appelée la nébuleuse du crâne. Elle est à rechercher dans la Baleine (Cetus). La nébuleuse, de magnitude 10, se situe à 1.600 années-lumière de la Terre. Ce reste éthéré d’une étoile morte depuis longtemps, niché dans le ventre de La Baleine, ressemble difficilement à un crâne flottant dans l’espace. Cette nébuleuse planétaire est la première connue à être associée à une paire d’étoiles étroitement liées orbitées par une troisième étoile externe. Cette étoile, qui n’est pas visible sur cette image, est une naine rouge sombre qui se trouve près de la naine blanche à environ 500 fois la distance entre la Terre et le Soleil. Les étoiles naines rouges et blanches orbitent l’une autour de l’autre en paire, et l’étoile extérieure orbite autour des deux naines à une distance d’environ 1900 fois la séparation Terre-Soleil. Collectivement, ces trois étoiles établissent NGC 246 comme la première nébuleuse planétaire connue avec un système stellaire triple hiérarchique en son centre. Cette image de la nébuleuse du Crâne capture intentionnellement la lumière émise dans certaines gammes étroites de longueurs d’onde – celles associées à l’hydrogène et à l’oxygène gazeux. Les observations de la lumière émise par des éléments particuliers aident à révéler une mine d’informations sur les compositions chimiques et structurelles d’un objet. Cette nouvelle image de la nébuleuse du Crâne met en évidence les endroits où NGC 246 est riche ou pauvre en hydrogène (en rouge) et en oxygène (représenté en bleu clair). On pense que la structure tressée complexe de l’anneau extérieur bleu de NGC 246, visible sur cette image prise par le télescope Gemini Sud, résulte de l’action des ondes de choc. Au fur et à mesure que la coque extérieure comprimée s’empile contre le milieu interstellaire, elle se réchauffe et devient instable, ce qui la fragmente. Les gaz à grande vitesse poussant vers l’extérieur de l’étoile centrale chaude (~ 200 000 K) peuvent également contribuer au chaos visible. Les collisions entre ces vents rapides et la coquille choquée pourraient expliquer les lobes verts distinctifs et les vides plus sombres visibles dans la moitié principale de la coque intérieure de NGC 246. L’expansion inégale le long de l’axe principal de la nébuleuse entraîne une asymétrie visible : comme le montre l’image ici, la structure externe de NGC 246 a la forme d’un anneau ovale. Son bord d’attaque (supérieur) apparaît plus brillant et plus net que son bord de fuite (inférieur). L’étoile binaire centrale est légèrement déplacée vers le bord d’attaque de la coquille, comme les astronomes l’avaient prédit. La nébuleuse est relativement petite et sombre (magnitude 11). Sur cette image on peut également noter 3 galaxies : · NGC 255 (en haut à gauche) une galaxie barrée spiralée SBc de mag 12.5 à environ 71 millions d’AL. · MCG-02-03-009 : (en haut à droite) une dwarf galaxie de magnitude 14 · MCG-02-03-020 : (à gauche) une petite galaxie de type LSB_G de mag 15 En cherchant bien on peut trouver quelques galaxies du catalogue APMUKS qui sont des galaxies très lointaines et dont on a très peu d'infos, à part leur magnitude. L’image est une L Rha-GOIII-BOIII à environ 70 % pour le RGB, le signal SII est pratiquement inexistant. Full and details on astrobin : https://astrob.in/full/kkt0tt/0/?real=

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