frédogoto

s'il n'y avait pas de scrupules, il n'y aurait pas d’efforts pour corriger la barre

gnagnagna, gnagnagnagnagna Je n'ai jamais dit que ça ne servait à rien, en revanche, j'ai toujours dis que j'étais une brelle.... >:[

super non, c'est la classe en revanche tu as un soucis avec tes pixel chaud un peu partout...

Scéance de réglage du RC d'alban, notez les pomme bio pour faire contrepoids Petit étang lors de la balade Samedi, ce doit etre idyllique en été les setups en ordre de marche c'est tout pour cette fois

Quelques gaulois... Didier au manette des Lazagnes Dédé et Nono Didier et son Setup flambant neuf Le chauffe- H[indice]2[/indice]O de Nono le RC d'Alban Ma config avant après optimisation des câbles (notez que un certain nombre de câbles passent désormais dans les câbles spiralés de la raquette et de la déclinaison.

c'est un croa émouvex

Arf ! A 900euros tu pouvais t'offrir un Hat http://www.airylab.com/index.php?option=com_content&view=article&id=117&Itemid=93 sinon pour le reste désolé le solaire j y connaît rien ou presque

On en parle déjà ici http://www.-asso.org/forum/viewtopic.php?f=3&t=4640

Après la calamiteuse éclipse du matin sur le haut de La Roche Guyon, je rentrai chez moi en vu de préparer mes affaires pour ce qui nous appelons désormais le MOUVEX (moussinvillier – ) Il s’agit donc de la troisième édition Après une route sans histoire sous la grisaille, vers 16h30 je rejoignais Didier déjà arrivé une grosse demi heure auparavant entrain de faire le tour de la baraque avec la proprio Rapide salutation et je décharge la partie astro du matériel prêt de la Meule du moulin reconvertie en table (table très stable du coup qui doit approcher son quintal) J’avais oublié quel « bordel » c’était la FSQ avec la cg5+ ccd + oa + DO + lodstar Un bazar de filasse innommable Didier à lui monté son nouveau setup up tout neuf et son impressionnante lunette de 130.. Il a également reçu le D.O skymeca et on doit procéder au réglage de MAP du couple CCD / CCD de guidage. Je laisserai Didier détailler l’opération : ce n’est pas simple et a priori y’a des choses à revoir. Bruno lui avait a cœur de dépoussiérer son Mewlon 210 Le chauffe eaux blanc monté sur l’Avalon donne une belle impression de cohérence. C’est d’ailleurs le seul setup qui fera parler la poudre pendant ce séjour Alban, le dernier arrivé nous montre son Ritchey Chretien GSO (tu l’avais bien caché hein coquin ?) C’est beau, la finition est excellente mais il y a des soucis de collimation, qui nous on occupé une partie de notre séjours A peine le tour de propriétaire fait Didier a attaqué l’allumage du Feu Sacré. Avec les allume feux c’est de suite plus simple. Avant la tombée de la nuit nous nous rassemblons pour Diner, Didier a du nous engueuler pour que nous nous décidions a bouger nos fesse car tout plongé que nous étions dans les réglages, nos cœur n’abritaient pas la suffisamment de compassion pour ses Lasagnes en traine de trop cuire Le repas délicieusement englouti nous attaquons nos observations. Le ciel est extrêmement brumeux, limite brouillard, quelques étoiles audacieuses profitent tout de même de cette noirceur extrême pour percer leurs aiguille dans le manteau de la nuit. Nous remarquons une lueur au nord : un stade de foot : ce soir ça joue… pas de panique néanmoins a 23h00 tout sera éteint. Didier est au prises avec son nouveau Diviseur optique dont le backfocus « intra » de la ccd guide semble inatteignable. En essayant les différente ccd don nous avions a dispositions, la lodstar est la seule camera acceptable pour son backfocus encore que tout soie au taquet Bruno et son setup bien huilé en dépit de la première sortie de la remise du Mewlon attaque en toute confiance M51 . Après quelques minutes de pose, il semble que tout marche bien, le guidage est calme et soft et les poses s’en ressentes : la définition de ses images semble prometteuse. Alban est complètement absorbé par la collimation du RC, on a l’impression que les étoiles souffrent d’astigmatisme, (rond défocalisé ovale) Perso je rame un peu : mise en station physique, puis modélisation de ciel. Au moment de démarrer ma CCD couleur SBIG je m’aperçois que sur ce PC je n’avais jamais chargé les drivers. Moment de flippe avant de m’apercevoir que de manière tout a fait inattendue j’ai 4 barre en H+ sur mon téléphone (c’est nouveau, lors du précédent séjour ce n’était pas le cas) Hop ni une ni deux, partage de connexion et voila mon PC en train de télécharger les derniers drivers SBIG. Oufff ! Mais c’est lent ; c’est écrit H+ mais le débit est plus proche du Edge... Qu’importe. Ça marche. Je lance le refroidissement de ma CCD et je met mon setup en attente en comptant sur la « trouée » promise par le site météo pendant la nuit. Alors que nous étions en plein 'Bins' matériel, la propriétaire poussée par la curiosité nous a rendu visite accompagnée de son filleul, nous avons pu lui expliquer ce que nous faisions. Elle a même pu voir en live la première pose de M51 s’afficher sur l’écran de Bruno. L’éclaircie tant attendu ne se produit pas : on bâche vers 1h30 Perso réveil le lendemain vers 7h30 … je m’ennuie ferme dans cette immense maison ou tout le monde ronfle à en faire trembler les murs (authentique). Finalement, j’allume Arte et tombe sur une série de reportages de Jacques Perrin sur le monde des océans. Hypnotique ! Après le p'tit déj, l'heure est au dépouillement de la soirée précédente. Bruno lance des darks, Alban collimate et Didier focus de jour dans toute les situations imaginable. Perso, bien décidé a valider mon setup itinérant « pose & shoot », j’entreprends le chantier de nettoyage des câble et de rangement de la filasse, de simplification. Après le dej, nous faisons une petite promenade digestive de 2.5 km tranquille, nous ferons quelques photos sympas d’un étang qui doit être charmant en été. Là, il abritait un couple de canards et un couple de Hérons blancs (il me semble que ce sont des hérons car j’en avait jamais vu de blancs). Nous nous remettons en selle pour le soir. Après le dîner, le temps semble encore moins coopératif que la nuit précédente. Alban et Didier, de guerre lasse, rangent leur matos, tandis que Bruno et moi, animés par un optimisme vain, ne le ferons que le lendemain. Le lendemain ça ronfle plus soft et tout le monde est debout à 9h00. Rangement, ménage, pliage des setups restants et visite de la proprio. Le fait marquant : on a pas eu d’H[indice]2[/indice]O chaude pendant le Weekend (un souci du ballon) ce qui nous a valu un cadeau de la proprio qui nous a offert le chauffage / bois.

non ce sont les différent reflet de l'eclipse au travers des différentes surfaces de plexiglas qui composent le hublo

monture comprises ou juste le tube ?

cliquez pour la HD La comète 67P/Tchourioumov-Guerassimenko continue de livrer ses secrets mais plonge toujours les astronomes dans la perplexité. ------------------------------------------------------------------ Pour la première fois, ils viennent de découvrir de l’azote moléculaire au voisinage d’une comète, comme l’équipe de l’instrument Rosina de la sonde européenne Rosetta en orbite depuis août 2014 autour de la comète l’explique dans Science du 19 mars. Ce gaz inerte très abondant dans le système solaire et qui constitue près de 80 % de l’atmosphère terrestre n’avait jamais été détecté sous cette forme. L’atome d’azote avait été repéré dans de l’ammoniac, de l’acide cyanhydrique ou d’autres composés, mais pas sous sa forme plus classique moléculaire à deux atomes, N2. « Nous apportons des données que nous n’avions pas », rappelle Bernard Marty du Centre de recherches pétrographiques et géochimiques (CNRS-université de Lorraine), cosignataire de l’article. « Nous étions dans l’attente de cette mesure », s’enthousiasme Pierre Hily-Blant de l’Institut de planétologie et d’astrophysique de Grenoble (CNRS-université Grenoble-Alpes, IPAG), non-signataire de l’article et spécialiste des nuages moléculaires des milieux interstellaires. C’est à partir de la matière de ces milieux que s’est constituée la nébuleuse protosolaire, large disque de matière autour du Soleil, dans lequel se sont formées les planètes. C’est cette histoire très primitive, il y a quelque 4,5 milliards d’années, que les astronomes essaient de déchiffrer en analysant le « fossile vivant » qu’est « Tchouri », témoin probable de cette époque. Et ce n’est pas simple. « Nous ne savons toujours pas où est passé l’azote originel » --------------------------------------------------------------- La quantité d’azote trouvée dans les émissions de la comète par Rosina est bien trop faible par rapport à ce qui était attendu. C’est même 25 fois moins que les quantités présentes dans la nébuleuse protosolaire primitive. Plus exactement, il s’agit du rapport de concentration entre l’azote moléculaire et le monoxyde de carbone (gaz très volatil également). « Cette mesure nouvelle est intéressante mais nous ne savons donc toujours pas où est passé l’azote originel, souligne Alexandre Faure de l’IPAG. Le mystère s’épaissit. » Plusieurs hypothèses sont possibles. Peut-être reste-t-il dans la comète une forme d’azote non encore détectée ? Ou bien, les comètes auraient pu relarguer l’azote aggloméré lors de leur formation, en laissant apparaître moins aujourd’hui ? Ou encore, les comètes n’auraient pas intégré autant de N2 qu’attendu ? « L’azote est un thermomètre de la formation des comètes » ------------------------------------------------------------- Dans leur article, les chercheurs penchent plutôt pour cette dernière hypothèse dont ils développent deux scénarios. L’intérêt est que leurs conclusions sont semblables : la formation des comètes s’est faite à très basses températures, environ -240,-220 °C (mais au-dessus de -250 °C). « L’azote est un thermomètre de la formation des comètes », résume Bernard Marty. Différents modèles et expériences en laboratoire montrent en effet qu’il est possible d’expliquer les taux d’azote mesurés par des processus thermodynamiques plutôt froids. L’un se passe au-delà de la nébuleuse primitive, dans le milieu interstellaire. La condensation de gaz froid sur du silicate crée de la glace dite amorphe (solide dont les molécules ne respectent aucun arrangement particulier) susceptible de piéger l’azote. L’autre se situe plus près du Soleil, dans la nébuleuse protosolaire. Il conduit aussi à une formation de glace de nature cristalline de type clathrate (glace composée de cages d’eau qui emprisonnent une molécule de gaz), fort différente de la première. Les comètes de la famille de « Tchouri » n’ont pu apporter d’azote à la Terre ----------------------------------------------------------- La différence peut sembler anodine au non spécialiste. « En réalité, cela change beaucoup de choses ! », insiste Olivier Mousis du laboratoire d’astrophysique de Marseille (CNRS-université Aix-Marseille). Car ces deux scénarios racontent des histoires de nos origines assez différentes. « L’article ménage les deux hypothèses, mais je considère qu’en tenant compte des analyses précédentes sur la composition de l’eau de la comète, c’est la seconde qui est à privilégier », avance Olivier Mousis. La réponse, définitive (?) viendra peut-être prochainement avec des mesures, elles aussi très attendues, sur un autre gaz, l’argon, plus rare, mais dont la chimie est bien différente, entre les deux scénarios ci-dessus. « Tout cela est très excitant ! », résume Lydie Bonal, autre membre de l’IPAG. En revanche, il semble désormais de plus en plus certain que les comètes de la famille de « Tchouri » n’ont pas apporté, par bombardement, autant de matière à la Terre qu’on pouvait le penser jusqu’à présent. En décembre 2014, la même équipe avait déjà conclu que l’eau liquide terrestre est de composition très différente de celle de « Tchouri », invalidant l’idée que l’eau de nos océans puisse venir d’une de ces comètes. Ils concluent dans leur dernier article qu’il en est de même pour l’azote. Qu’en sera-t-il alors d’éventuelles molécules organiques prébiotiques que les chercheurs espèrent trouver sur la comète ? En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/sciences/article/2015/03/24/rosetta-a-trouve-de-l-azote-dans-tchouri_4599979_1650684.html#82jMXUoMSyU6FUem.99

qules images réssentes en HDR shooté le 14 mars mais publié 4 jours plus tard : un tres belle vue : la version hdr 18 mars pour les fan, la version HDR

raidos mais drôle

le fait qu'elle soie filmé depuis un avion lui permet de durer deux fois plus longtemps [youtube2] [/youtube2] je vous encourage a la voir en plein ecran

c'est pas ce que je voulais dire : une cage secondaire hexagonale est juste 2 fois plus facile à réaliser qu'une dodécagonale, qui nécessite deux fois plus de soudure, d'ajustement, de précision et donc deux fois moins de source d'erreur et surtout deux fois moins d'emmerdement bref hexagone : plus simple que dodécagone

sur la fsq...

la vitesse, la non nécessite d'un pc, directement en couleur, l'autonomie électrique... en fixe c'est nul. en mode pampa, c'est pas si mal.. mais c'est vrai que quitte a investir il vau mieu prendre le sony 7s

as tu vu ce message ?

oui je confirme, c’était noir-opaque...

ha ok, en effet elle est toute proche

oui, sinon tu risque d'avoir une image sans couleur