frédogoto

axel met moi l'image finale dans le cloud, je vais reprend cet histoire de gradient, Didier a raison , c'est très moche..

sinon dans pix : (y'a pas d'autre retouche que la soustraction du FDC) sur ton image originale ça devrait mieu marcher qu'avec le jpg, essaye avec ces valeurs

la methode ci dessou est valable pour iris Extraction du flat-field à partir les images du ciel En imagerie du ciel profond Il est possible de calculer un carte flat-field à partir des images du ciel si le champ comporte une densité relativement faible d'objet. Il faut travailler sur un nombre d'images relativement conséquent, une bonne dizaine au moins. En outre, entre chaque prise d'images il faut avoir pris soin de déplacer aléatoirement l'axe de pointage du télescope de l'équivalent de 10 à 20 pixels (technique du diphering). Voici par exemple les 3 premières images d'une séquence de 11 qui ont cette caractéristique : Les images d'offset et du dark sont supposée disponibles. Etape 1 : retirer l'offset >SUB2 F- OFFSET I 0 11 Etape 2 : retirer le signal d'obscurité (par optimisation sur le critère du bruit dans cet exemple) : >OP2 I DARK I 11 Etape 3 : normalisation à un niveau approximativement égal à l'intensité médiane des images de la séquence flat-fiel (ici 900, qui est le niveau caractéristique du fond de ciel après soustraction de l'offset et du dark) : >NGAIN2 I 900 I 11 Etape 4 : calcul d'un super-flatfield en faisant la somme médiane ) : >SMEDIAN I 11 Etape 5 : sauvegarder le résultat >SAVE FLAT Il est maintenant possible de prétraiter les images de la nuit. par exemple, pour la première image : LOAD F1 SUB OFFSET 0 SUN DARK 0 DIV FLAT 900 La dernière opération réalise le calcul : (image en mémoire / flat-fied) x 900. Une image flat-field individuelle (image F-1). La même image après prétraitement (en utilsant le superflat). voila, tous ça c'ets bien beau mais je ne sais pas si ton image a les prérequis pour ça (diphering + nombre d'au moin 10images) et de toute façons j'ai bien peur que ton objst, la galaxie ne soit bien trop gros pour rendre cette manœuvre possible

Par Jeremile sur AS : un supershoot dans les chiens de chasse Instrument : Télescope Newton de 250 mm à F5 Monture : Skywatcher EQ-6 (Eqmod) Caméra : QSI 583 WSG (capteur Kodak KAF-8300) commandé par MaximDL et Maxpilote Correcteur de coma : Baader RCCI, focale résultante de 1280 mm. Filtres : L R V B Ha Baader Guidage : Starlight Xpress Lodestar en Bin2 avec PHD2 NGC 4448 dans la chevelure de Bérénice. Luminance : 3 h 00 = 36 x 300s Rouge : 0 h 15 = 3 x 300s en Bin2 Vert : 0 h 20 = 4 x 300s en Bin2 Bleu : 0 h 25 = 5 x 300s en Bin2 Image recadré à 50%.

BBhusky qui raconte sa vie... [bBvideo=1280,720] [/bBvideo]

Fait F5 . Rafraîchir. ..

Suite aux attentats j'ai voulu marquer le coup et mon émotion. La devise de paris est vraiment de circonstances. Le coup est rude mais on ne sombre pas. Cette image de fond du forum restera jusqu'au nouvel an au minimum

Nous avons regroupé sur une page l'essentiel de nos infos utiles : (localisation, inscription, téléphones...) -asso.org/dossiers/wordpress/?page_id=2449'>

ah je ne savai que ça marchai comme ça c'est cool. mais du coup j'ai l'impression que c'est l'une des plus longue période de monture que je connaisse

hummmm curieux ce saut ça ne correspond pas à la période d'une VSF ordinaire.. je ne sais pas quelle est la période d'une linear ceci dit certes un saut peut etre provoqué pour un petit graine de sable sur la vsf, un insecte, mais aussi d'un rattrapage dec du a une mauvaise MES, sur lequel tu aurais programmés un peu trop de backslash par exemple.... Sinon joile image et c'est bien mieu que les fois précédente, mais il me semble toujours detecter un léger flou dans la MAP....

un article de 60 millions de consommateurs Toute la lumière sur les lampes à LED Les éclairages à diodes électroluminescentes sont dans le collimateur des autorités sanitaires. Certains seraient dangereux pour les yeux. Pourquoi ? Comment ? 60 fait toute la lumière sur ces lampes à LED à travers six questions. Qu’est-ce qu’une LED ? Il s’agit d’une diode électroluminescente, désignée par l’acronyme anglais LED (Light Emitting Diode) ou DEL en français. Elle éclaire grâce à des semi-conducteurs qui, parcourus par un courant électrique, produisent une émission lumineuse. La diode est par exemple intégrée dans une ampoule. Les deux principaux avantages de ce système d’éclairage : il dure très longtemps (30 000 heures, soit deux à cinq fois plus longtemps qu’une fluocompacte) et consomme très peu (entre 7 et 8 W pour une puissance équivalente à une ampoule à incandescence de 40 W). Mais il coûte très cher ! Où trouve-t-on des LED ? Un peu partout. Dans les luminaires domestiques, les éclairages publics, les enseignes lumineuses, les guirlandes électriques, l’éclairage des véhicules, les voyants lumineux des jouets, les objets de décoration lumineux, les dispositifs de luminothérapie… Toutes les lampes à LED sont-elles dangereuses ? Non. Dans l’avis qu’elle a publié le 25 octobre 2010, l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) met en garde contre certaines lampes émettant un rayonnement bleu, considérées à risque, et qui sont pourtant accessibles à tout consommateur. De nombreuses lampes à LED émettent une lumière blanche, considérée sans danger pour les yeux. Par ailleurs, le danger s'amenuise à mesure que l'on s'éloigne de la source lumineuse. Il disparaît lorsque le faisceau lumineux est dissimulé derrière un cache, un luminaire... « Dans des conditions normales d'utilisation, ces éclairages ne présentent aucun risque. Evidemment, il ne faut pas fixer la lumière », souligne le Syndicat de l'éclairage. Quels sont les risques ? « La lumière bleue est reconnue pour ses effets néfastes et dangereux sur la rétine, résultant d’un stress oxydatif cellulaire », expliquent les experts. Elle favoriserait l’émergence de maladies oculaires telles que la dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA). Le danger apparaît lors d’expositions peu intenses répétées sur de longues durées. La lumière bleue serait particulièrement nocive chez les enfants, les personnes déjà atteintes de DMLA, celles consommant des médicaments photo-sensibilisants ou encore celles travaillant dans un environnement exposé aux éclairages à LED bleues (installateurs éclairagistes, milieu du spectacle…). Par ailleurs, les lampes à LED, très puissantes, peuvent entraîner un phénomène d’éblouissement. L’Anses s’interroge également sur une possible perturbation de l’horloge biologique et sur les effets stroboscopiques. Comment choisir des lampes à LED sans danger ? Difficile à dire. Pour l’heure, il n’existe pas d’étiquetage spécifique permettant d’identifier les LED ne comportant pas de risque. Le Syndicat de l’éclairage rappelle qu’un marquage normatif est en cours d’élaboration et qu’il sera disponible dès 2011. Le fabricant Homelights s’engage, pour sa part, à indiquer la qualité de la lumière et le niveau de sécurité sur tous ses produits dès janvier prochain. Par ailleurs, pour lutter contre le phénomène d’éblouissement, mieux vaut éviter les lampes à LED dont le faisceau lumineux est directement visible. Préférez celles vendues avec un réflecteur qui diffuse la source de lumière. Et ne fixez pas le faisceau lumineux ! Quelles recommandations émet l’Anses ? ne pas utiliser des lampes à forte lumière bleue dans les lieux fréquentés par les enfants (maternité, crèches, écoles…) ou dans les objets qu’ils utilisent : jouets, afficheurs lumineux, consoles et manettes de jeu, veilleuses nocturnes… limiter l’usage des LED appartenant aux catégories de risque les plus élevées à un usage professionnel modifier les normes mettre en place un étiquetage intelligible sur les caractéristiques techniques de l’éclairage et ses effets sanitaires éventuels rendre obligatoire le marquage de la catégorie de risque sur l’emballage du produit et indiquer la distance de sécurité au-delà de laquelle le danger disparaît évaluer la nocivité et la conformité des appareils de luminothérapie, de confort ou de bien-être et réglementer leur utilisation.

je me suis fait enfin une check list c'est générale, elle ne détaille pas le contenu précis de chaque caisse et boites mais c'est juste pour etre sur de ne pas oublier La caisse qui va bien si vous le souhaitez je peux vous filer le ficher excel pour l'adapter à vos besoins checklist astro.xlsx

mais flippant aussi [bBvideo=1280,720] [/bBvideo]

Question inhabituelle * en fait c'est relativement compliqué cela dépend de ton instrument si tu a un réflecteur ou une lunette réellement APO (comme les fsq qui sont apo même dans l'infrarouge profond) quand tu image en luminances, tu captes les UV et les IR (en plus du spectre visible bien sur) sur tout le spectre et tout ça focalise gentiment au même point si tu fait du SHO ou du RVB, les filtres d'imageries sont équipés de filtres qui coupent ces fréquences "indésirables" donc là aussi pas de question si tu a une lulu Achro ou mêmes APO sans CaF² (cad sans verre en fluorure de Calcium, devenue collector : trop dangereux à fabriquer) alors tu risques d'avoir une focalisation imparfaite pour ces rayonnements et dans ces cas la, on utilise un filtre Clair CCD, qui laisse passer la lumière visible mais bloquent les UV et les IR ; cela évite d'avoir des images baveuse, sans piqué d'une manière générale on ne dose pas ces rayonnement extrême. cela n'a pas beaucoup d'intérêt hors imagerie scientifique pure Les capteurs modernes y sont peu sensible et quand il le sont, c'est souvent considéré comme indésirable Je note que fuji viens de sortie un APN (pas encore commercialisé) qui a la particularité unique d'etre tres sensible en IR (pratiquement dédié aux IR), au point qu'il est prévu pour etre utilisé pour des application spéciales, comme la surveillance nocturne, police etc) cela éveille en moi un certain intérêt car au fréquences mentionné il apparaît trois phénomène intéressants pour nous les astram : • la pollution lumineuse n'existe plus • la turbulence est très significativement plus plus faible • la qualité des optique augmente proportionnellement avec la longueur d'onde au rayons des hic (y'en a toujours) • l'air doit etre bien plus sec pour etre transparent (humidité fait obstacle aux IR) • la resolution instrumentale diminue proportionnellement à la longueurs d'onde : ainsi a Λ 1 micromètre, tu peux considérer ton telescope comme ayant un diamètre deux fois moindre que dans la lumière visible (Λ autour de 500nm, cad Vert) a propos de l'apn infrarouge de Fuji : http://infrarouge.photo/2015/11/07/fabrice-abuaf-fujifilm-xt1-ir-infrarouge/

Sur facebook, j'ai vu que Didier était en mode barbecue. Perso, j'ai enregistré presque 24 degré cet après midi. Pas mal pour un mois de Novembre De gàd Numero de la mesure, Temp, Humidité, point de rosée, date et heure

Hello, J'ai ajouté une petite page de présentation du Club. Elle est consultable ici : http://www.-asso.org/dossiers/wordpress/?page_id=2449 J'en ai profité pour rectifier le lien de l'onglet "club" en haut des forum , qui pointe désormais sur cette page. Cette page renvoie à différents liens comme la page Facebook, les statuts, le planning etc.

c'est fait BugDenis à réintégré les rangs nous sommes donc 18

Ok. Je rectifie

je t'expliquerai au prochain mouvex, en live ce sera plus facile

helo voici ma contribution bruno tu n'ai pas corrigé tous les point chaud , méfiance, ça perturbe pas mal le tentative d’équilibrage et les déconvolutions j'ai mixé la couche Verte avec la couche L (puisqu'apres tout l’œil et surtout résolvant dans le vert en mode overlay, du coup j'ai un couche verte assez pechue) j'ai appliqué un légère déconvolution a base de van citter a chaque couche puis aie mixe le tout dans les scipts AIP dans photoshop : équilibrage des couleurs (assez technique), filtre pas haut en trois passe habituel, légère correction du fond de ciel je n'ai pas passé d’antibruit car je trouvai que ça dénaturai certains détails... tous les pixels : http://www.-asso.org/filerun/wl/?id=Tc&filename=helix-bruno-fredo2015-full.jpg tous les pixels en 48bit sont là : http://www.-asso.org/filerun/wl/?id=Pc&filename=helix-bruno-fredo2015.tif

angc191@xxx (Alain Gauriot ) bugs.denis@xxx (bugsdenis) eldri@xxx (Xavier Defosseux (Zankia )) jblot2@xxx (Michel - Machone) jc.jeantils@xxx (JCJ) olc@xxx(olc) pascal3568@xxx (Pascal) sont rayé de liest des avexiens sur la ML et sont nommés ancien d'avex sur le forum nous perdons donc 7 membres cette année je vien d'ajouter Michel Boutet ( Zaurak ) le nombre officiel d'avexien est de 17

elle est tres chouette comme ça Didier perso je commence tout juste a y travailler de l’intérêt de la déconvolution, ici sur la couche attention c'est brute et j'ai pas fait de masque sur le étoiles ni d'antibruit voici les paramètres

Tu dis 'le mieux est de prendre le même objectif fixe sans faire d'extrapolation' Je ne suis pas d'accord du tout et le protocole proposé par Thierry me paraît pertinent pour la démonstration. Par ailleurs la notion de grandissement est relative à la focale, je suis bien d'accord avec toi mais aussi la surface du récepteur. 1000 MM de focale donne un ordre de grandeur quand au grossissement car dans dans l'esprit du public la référence c'est le ff. Mais si tu utiles une de ces nouvelles ccd à pixels de 1.5 micron pour 6 megapixel ( surface 6x plus petite par rapport au ff ) ton champ est donc très petit . La taille de l objets sur le capteur est bien la même, on est d'accord pas de soucis la dessus. Mais vue que ton champ est minuscule ce n'est en rien différent du fait que tu obtiendras la même chose avec un ff et bcp plus de focale Le test de Thierry sera très parlant à ce sujet. Tu indiques que la focale est une grandeur physique : c'est vrai bien sûr. Mais la taille du champ imageur en est une autre. Et le grandissement n'est que le rapport de l'un sur l'autre

Et bien je suis on ne peu plus d'accord avec cette assertion ( a nombre de pixel égaux bien entendu) et que ça reste raisonnables, cad sans entrer en concurrence avec la diffraction mais physiquement je te défie me démontrer qu'une image d'un FF @ 800mm de focale et de 12 mégapixel te produit une image significativement différente d'un APS-C @ 500mm de focale et de 12 mégapixel également (qui aura donc des pixel plus petit que sur le FF) la différence se fera sentir au niveau de la sensibilité des photosites encore que la, il parait qu'il est plus facile de faire des petits pixels sensibles

pour finir j'ajoute que si tu as un capteur FF de 12mega pixel et un APS-c de 12 mega pixel que tu équipes ton FF d'un (bon) objo de 800 et ton APCs d'un (bon) 500 à f/d identique et que tu fais de photos tu ne verra pas de différence, de champ ni de résolution