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  1. Qu’est-ce que la nébuleuse de l’Aigle (M16) ? C’est un énorme nuage de gaz et de poussières situé dans l’espace, à environ 7 000 années-lumière de la Terre (autrement dit, très, très loin !). Mais ce n’est pas juste un nuage : c’est un endroit où de nouvelles étoiles naissent. On appelle ce type d’endroit une "pouponnière d’étoiles". Pourquoi ce nom de "nébuleuse de l’Aigle" ? Elle porte ce nom car, vue depuis la Terre avec un bon télescope, sa forme rappelle vaguement un aigle en vol. Elle est aussi connue sous le nom de M16, car elle fait partie du catalogue Messier, une liste d’objets astronomiques célèbres dressée au XVIIIe siècle. Une image célèbre : "Les Colonnes de la Création" Ce qui a rendu la nébuleuse très célèbre, c’est une image prise par le télescope spatial Hubble en 1995. Elle montre trois grandes colonnes de gaz qui ressemblent à des doigts géants pointés vers le haut. Cette image a été appelée "Les Colonnes de la Création", car ces structures contiennent des étoiles en train de se former à l’intérieur. On les voit aussi dans des images plus récentes du télescope James Webb, avec encore plus de détails, car il peut voir à travers la poussière. Que s’y passe-t-il ? À l’intérieur de la nébuleuse, la matière (gaz et poussière) s’effondre sur elle-même à certains endroits. Ce processus forme des boules de gaz de plus en plus denses, qui deviennent des étoiles. Les jeunes étoiles, très chaudes, éclairent et sculptent le nuage autour d’elles avec leur lumière et leurs vents stellaires. Peut-on la voir depuis la Terre ? Elle est située dans la constellation du Serpent (Serpens). Elle est trop faible pour être vue à l’œil nu, mais on peut la repérer avec des jumelles ou un télescope, surtout sous un ciel très sombre. Pourquoi est-elle importante ? C’est un des meilleurs endroits du ciel pour étudier la naissance des étoiles. Elle nous aide à comprendre comment notre propre Soleil a pu se former, il y a plus de 4 milliards d’années. Et surtout : elle est belle et inspirante – une des images d’astronomie les plus célèbres au monde ! -------------------------------------- Copyright: ChatGPT Prompts: 1- donne moi du contexte sur la nébuleuse M16 2 - donne moi plus de contexte mais pour les novices -------------------------------------- Première SHO traitée avec DORA, même si on a déjà d'autre data dans les cartons. J'avais déjà de l'expérience en traitement sur mes anciennes photos persos mais là c'est un autre niveau, J'ai aussi pas mal innové sur le traitement avec des scripts que je ne connaissait pas à l'époque. J'ai rarement vu autant de signal et de détails en SII , je mettrais un crop de la BDR SII à la fin du post. Je n'ai même pas pris la peine de passer GraXpert. Le crop de la BDR Super_S (moyenne de 19,9h de SII mono + 31.9h de SII channel extract des duoband couleur) linéaire en autostrech.
    2 points
  2. 22 juin. j'ai bossé hier toute la journée. Ponçage. Inintéressant . d'après Ana j'étais tout blanc le but premier était d'égaliser les briques du haut pour que les rails soient bien a plat. j'en ai quand même profité pour poncer et ébavurer les joints. Ensuite, je me suis attaqué à un gros morceau : l'assemblage des rails. Purée la corvée.... Donc, pour supporter le poids du toit entre l'obs et les poutres j'ai pris des poutres en acier de 40x40mm x 3m + 4 mm d'épaisseur. Pour la partie SUR l'observatoire, je me suis contenté des poutres 40x40 x 2m + 1.5 mm d'épaisseur je ne vous raconte pas le poids des poutres de de 3m... la difficulté : assembler les poutres de 2 et 3 m solidement et surtout que ce soit droit. la poutre "argentée" est la 1.5mm la noire est la 4mm d'épaisseur avec des chute de la construction de l'ossature du toit j'ai fait un serrage Puis j'ai soudé Une fois fini : (je vous garantis que c'est solide) Essais de positionnement ouf c'est bien droit Puis vient le très délicat assemblage avec les cornières 4m + 1 m (je ne voulais pas que tout jointe au même endroit) avec une particularité : elles sont assez "molles", flexible je ne vous cache pas que tout seul, ça a été un enfer à bien aligner. En plus, les 4 m rebiquaient légèrement sur une de leurs extrémités a la réflexion, cela m'arrange : ça ralentirait le toit en cas d'ouverture un peu trop dynamique Mais je suis tombé en panne de fil à souder pile à un mètre de la fin..... j'en ai immédiatement recommandé, je 'l'aurais la semaine prochaine. En attendant, aujourd'hui, je dois recevoir des bandes de mousse de néoprène de 6mm d'épaisseur pour mettre entre les rails et le siporex. Ça fera une résilience sympas pour absorber vibration et dilatations. la semaine prochaine, donc : installation du néoprène + finitions de la soudure + fixation des rails + installation de barre latérale + croix de saint andré (je ne suis spécialement optimiste sur ce dernier point, il faudrat sans doute le faire la semaine suivante) Finalement, je ne vais pas fixer les vis dans les rails, mais plutôt mettre des petites équerres qui elles-mêmes seront soudées aux rails et les vis d'ancrage seront fixées aux équerres. c'était trop compliqué pour moi de faire mon idée originale (bouloner les rails directement sur siporex) d'autant que les cornières était pas assez "haute" pour pouvoir boulonner des trucs entre la cornière et la poutre.
    2 points
  3. Bravo les gars avec autant de signal, vous allez pouvoir en faire de multiples versions, comme du HOO ou du HSO, qui ont le mérite de laisser le Ha en rouge Comme évoqué sur WhatsApp, deux rotateurs de champ auraient permis un cadrage plus avantageux pour une cible comme M16 dont les extensions sont très étendues, ou alors une mosaïque Hâte de voir un tirage papier
    1 point
  4. 1 point
  5. Je mets donc en vente cette NEQ6 au prix de 900€ (avec sa valise de rangement)
    1 point
  6. Hello je viens annoncer que la matière noire est débusquée! En fait elle n'existe tout simplement pas, son champs n'est autre que le champs gravitationnel de l'univers observable. 1er calcul: on représente l'univers observable par une sphère de rayon 7Mdal sur laquelle on colle les 2E12galaxies observées, et on compare son champs à celui d'une galaxie à 10kal de distance, soit 1galaxie pour un rayon²=1E8al², contre 2E12galaxies pour 7E19al², soit 1 pour 2.5E7al². Le rapport donne 4, le champs de l'univers observable, constant, est donc 4fois plus fort que celui d'une galaxie à la distance à partir de laquelle on détecte la matière noire. Bon, en fait il fallait s'attendre à 1, pour signifier que les champs sont équivalents à 10kal et ainsi le champs constant devient prépondérant en s'éloignant A priori ce champs constant explique la vitesse constante des étoiles en bord de galaxie, un manque d'indice de forte concentration de MN aux centres des galaxies et enfin, puisque notre écoulement du temps dépend partiellement de notre voie lactée et de celui de l'univers observable, il devient plus naturel d'observer une décroissance képlerienne décalée (de ~35kal) de notre propre galaxie 2ème calcul, plus fin, il faut intégrer G.rho.4pir².dr/r² entre 0 et le rayon R de l'univers observable, soit 4pi.G.rho.R. Pour le champs des galaxies, il faut prendre 1E(24 à 25)/r²+1E(-16.6 à -16.3) (cf cet article ), le deuxième terme (à peu près constant, du fait de variations locales dues à la présence de galaxies ou amas proches) permet de calculer la densité de l'univers observable entre 3 et 6E-27kg/m3, soit dans les ordres de grandeur de ce à quoi l'on s'attend (entre 2E-28 et 1E-26). Le premier terme est moins précis, il dépend de la galaxie, sa masse, il indique toutefois que l'équivalence entre ces champs se fait à plus grande distance que 10kal, ce à quoi il fallait s'attendre, par exemple nous sommes à 26kal du centre et notre vitesse dans la voie lactée s'explique à ~80% par la décroissance képlerienne et à ~20% par l'effet "matière noire" Finalement, il s'agissait de considérer le problème à 3corps étoile+galaxie+univers observable. Dans les simulations, newtoniennes, la composante d'attraction de l'univers observable s'annule en projection alors qu'il faut considérer que le champs gravitationnel a un effet kisskool, il modifie l'écoulement local du temps: le cadre dans lequel évolue les galaxies n'est pas un univers plat mais un univers déjà courbé par un champs, constant certes, faible certes (l'effet "matière noire" est dit observé aux 'faibles accélérations'), mais un champs. Il faut imaginer que lorsque nous nous éloignons d'une galaxie, le champs ne descend plus en 1/r² mais est constant. Il reste donc à modéliser cette caractéristique, et du fait de cette constance, l'opération semble accessible pour ensuite être simulée, afin de retrouver les mouvements dont sont tirées les modélisations de champs de galaxies, citées précédemment Il semble surprenant que l'on n'y ait pas pensé auparavant, mais comme on se penche sur l'accélération de l'expansion, ce champs devient, d'office, négligeable aux échelles cosmologiques, on l'a 'oublié'. Mais il n'est pas négligeable localement! Et, dorénavant, lorsque nous parlerons du temps cosmologiques pour parler de l'évolution du cosmos, nous n'utiliserons plus nos horloges terrestres, nous devrons leur apporter un terme correctif (qui permettra peut-être une meilleure cohérence des mesures dissonantes de du taux d'expansion), calculé en appréciant l'écoulement du temps en s'éloignant de la Terre, du Soleil puis de la voie Lactée, voir de l'amas local (si sa masse, au rapport de sa distance, a une influence significative sur le temps) Voilà, si vous avez des remarques...
    1 point
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