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Tout ce qui a été posté par frédogoto
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bonjour la liste : simple question : s'avez vous s'il est possible d'automatiser le retrait d'un gradient dans MaximDL, sachant que ce gradient est susceptible d’être différent d'une image à l'autre ?
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bonjour la liste : simple question : s'avez vous s'il est possible d'automatiser le retrait d'un gradient dans MaximDL, sachant que ce gradient est susceptible d’être différent d'une image à l'autre ?
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j'essaye de regarder le transfo ce soir en rentrant du boulot si j'y pense
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je me permet de reproduire le l'article PDF de VINZ sur AS Comment tester facilement sa caméra CCD ? AMesurer expérimentalement le gain g en electron par ADU en une minute ! 1 La théorie On peut zapper cette théorie,mais un peu de mathématiques c'est toujours bon ! En cas d'allergie, passez au 2 Alors, quelques définitions ... N est le nombre d'électrons qui sont libérés dans le CCD par l'impact des photons qui ont traversé l'espace. M est la notation pour une valeur moyenne σ est la notation est l'écart-type ( ou sigma ) qui représente la moyenne des ecarts à la moyenne, plus cette valeur est grande, et plus les valeurs sont dispersées. Les électrons libérés dans la CCD donnent une tension, mesurée dans la caméra dans une unité qu'on appelle l'ADU. Le but est de trouver le lien entre le nombre d'éléctrons mesurés, et le nombre d'ADU correspondant Nelectron = gxNADU En théorie il faudrait étudier un pixel sur des milliers de mesures, mais comme les ccd modernes sont assez homogènes, on peut considérer que cela revient à étudier toute la population de pixels, mais sur une seule image. La valeur moyenne des valeurs mesurées sur l'image obeit à la loi ci-dessous qui montre que les valeurs en ADU sont proportionnelles au nombre d'électrons reçus. Melectron = gxMADU On peut démontrer facilement la propriété suivante, mais c'est vraiment du calcul sans rapport avec notre sujet. σelectrons² = gx σadu² Revenons à la physique, les électrons suivent les lois de poisson qui régissent les évènement qui n'arrivent qu'une fois. D'après ces lois on a : σelectrons² = Melectrons D'ou en remplaçant : g²x σADU² = MADU Soit exprimé plus simplement : g= ( (MADU) / (σADU²)) Reste maintenant à calculer ces deux valeurs dans le but de trouver g qui donne le nombre d'électrons par ADU de la CCD. On peut le faire à partir de deux images de flats de la même série. En haut de la fraction, on a la valeur moyenne il suffit de sélectionner une zone homogène dans l'image et de mesurer la valeur moyenne. On a MADU = MADUmesuré Pour obtenir l'ecart-type en ADU c'est un peu plus fin : on ne doit mesurer que la partie aléatoire de l'image c'est à dire le bruit. On prend donc le flat 1 , on ajoute une petite constante de 1000 par exemple, puis on soustrait le flat 2 : l'image obtenue devrait contenir uniquement la valeur 1000 , mais en fait elle contient les différences aléatoires entre les deux images, c'est à dire le bruit. Comme on a utilisé deux images pour faire ce calcul, on obtient le double du bruit, pour avoir le bruit d'une image seule il faut donc diviser par deux et on a : σADU² = 0,5 x σADUmesuré² La relation finale qui permet de mesurer le gain est donc : g= (MADUmesuré) / (0,5σADUmesuré²)) Il faut simplement avoir deux flats de la même série. Prendre le flat 1 , sélectionner une zone homogène et mesurer la valeur moyenne dans cette zone. Prendre le flat 1 ajouter 1000 ( pour éviter des problèmes de soustraction donnant des valeurs négatives ) puis soustraire le flat 2. Sélectionner la même zone que celle de la moyenne, et mesurer l'ecart type Avec ces deux valeurs et la relation ci-dessus on calcule g en electron/ADU B Mesurer expérimentalement le bruit de lecture. 1 La théorie Le bruit de lecture est l'écart-type du signal qu'on mesure lors de la lecture de la caméra, pour le calculer on utilise donc une image qui ne contient ni lumière , ni effet thermique qu'on appelle un offset ou un bias. C'est une image prise dans le noir ( pas de signal lumineux ) et de temps de pose minimal ( pas d'effet thermique ). Le bruit de lecture est le signal aléatoire, dans une caméra parfaite, soustraire deux offsets devrait donner une image noire, remplie de zéros. Ce n'est pas le cas à cause du bruit, et il suffit de mesurer l'écart-type de l'image obtenue pour en avoir une mesure. Un détail important, en utilisant cette technique, on utilisé deux images au lieu d'une, le bruit est donc en quelque sorte "doublé", et comme d'après les mathématiques les bruits s'additionnent au carré on a : σmesuré²= 2x σbruit² D'ou σbruit² = (σmesuré²)/2 Et la relation finale qui permet le calcul : 2 La pratique Prendre deux offsets. Ouvrir l'offset1 , additionner la constante 1000 pour éviter les problèmes de valeurs négatives lors de la soustraction. Soustraire l'offset 2 pour obtenir l'image du bruit. Sélectionner une zone, mesurer l'écart type et utiliser la formule ci-dessous pour calculer le bruit. Et la relation finale qui permet le calcul : σbruit = (σmesuré) / √2 soit (σmesuré ) / √1.41 Pour le bruit en électrons, on utilise la relation suivante : σbruit(e) = g x σbruit(ADU) On peut aussi faire ce travail sur une image entière, et comparer les résultats. 3 Une méthode simplifiée Quand on prend un offset unique, et qu'on mesure directement l'écart-type dedans on trouve quasiment les mêmes valeurs qu'en utilisant la méthode "correcte", on peut donc utiliser une méthode simplifiée : Prendre un offset unique Sélectionner une zone, mesurer l'écart-type, puis passer à la valeur enélectrons avec la relation cidessous : σbruit(e) = g x σbruit(ADU) C Mesurer expérimentalement le courant d'obscurité 1 La théorie Une image réalisée dans le noir, contient deux choses : un signal toujours présent qui est du à la lectrue, et un signal due à l'agitation des atomes dans la matière, qui provoque l'apparition d'électrons dans les photosites de la caméra. On réalise deux images une dans le noir d'un temps de pose conséquent ( un dark de 1000s ) et une image dans le noir de temps de pose minimal ( un offset ). On faisant dark - offset , il reste uniquement le signal thermique qu'on peut alors estimer. 2 La pratique On réalise un dark de 1000s et un offset. On soustrait l'offset du dark. On mesure le niveau moyen en ADU de l'image, et on utilise la relation ci-dessous pour passer aux electrons. Mthermique(e) = g x MADU Le courant d'obscurité I en e/seconde est alors : I(e/s) = Mthermique(e) /temps (s) en cours Cette valeur est à comparer aux données du fabricant. Attention elle dépend fortement de la température, qu'il faut donc préciser lorsqu'on donne a mesure. D Vérifier l'absence d'image fantomes. 1 La théorie Une image réalisée dans le noir, contient deux choses : un signal toujours présent qui est du à la lectrue, et un signal due à l'agitation des atomes dans la matière, qui provoque l'apparition d'électrons dans les photosites de la caméra. On réalise deux images une dans le noir d'un temps de pose conséquent ( un dark de 1000s ) et une image dans le noir de temps de pose minimal ( un offset ).
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non 5" quelque soie la focale c'est toujours 5" c'est l’avantage des mesures angulaire ce serai plus au moins facile de la mesurer avec précision selon la focale , ça oui. pour un eq6, au vue de la taille de la couronne / VSF je ne serai pas etoné que ce soit proche du double La F20a Axis a une couronne et une vsf relativement large par rapport au Eq6 Sinon + 1 avec bryce : ce n'est en aucune cas une formule. Il doit être tout a fait possible pour une couronne/vsf données de trouver un algo qui donne la déviation angulaire pour une erreure donnée ça c'est un sujet si vous trouvez , faites en nous parts :) Sinon pour les "défauts" de ton fils, je crois surtout qu'on regrette toujours ce qu'on a pas
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ok 80GO mais j'ai des remarques qui pour moi relativisent ce travail 1 les jointure qui sont en multiblend (superposition progressive tres moche) 2 j'ai également remarque que du nombreux secteur sont sur echantillioné. 3c'est souvent très flou 4 il y a de nombreuses photos / secteur qui donnent l'impressions d'avoir été considérablement lissé avec un algo a la noix bref je retiendrait que sur ces 80Gpixel il y en aurait que 20Gp on aurai loupé aucune info....
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Je ne suis pas bien sur de comprendre. Tout ce que nous savons faire ici c'est d'extraire -grâce a une transformée de fourrier- les sous périodes de L'EP qui sont la signature des éléments d'un ensemble de ces courbes FFT on peut alors déterminer quel est la part dans l'EP de tel ou tel élément Sinon pour ton fils , je ne sais pas a quel niveau il est mais je ne crois pas que les FFT soie abordée au niveau bac, y compris scientifique... je crois que c'est plus quelques chose que l'on aborde en classe prépa.....
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merci pour cette présentation petite parenthèse pour que tout soie bien clair vous avez tout fait le droit de poster des messages dans les rubriques qui vous sont visible.... :)
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ben je sais faire ce qui est possible la c'est pas possible ou trop laborieux il faut copier un par un les messages, s'assurer que tel pseudo correspond a tel courriel, modifier dans les outils admin les auteurs... y'en a a vue pif pour 4 - 5 heure de boulot sans compter les erreurs. sinon juste pour votre info, je le reprécise : les utilisateur non enregistré ne peuvent pas voir le forum ( au cas ou vous demanderiez a des copain de regarder tel ou tel sujet )
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héhéhé.. c'est ce qu'on a cru, mais turlututu chapeau pointu on s'est fait eu... c'est con mais c'est comme ça le boitier est indispensable
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non désolé, ce n'est pas possible
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oui en fait ce truc est un truc transfos genre 10.000v !!!
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Bienvenue chez les gars... soyez sage
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Délire (astro) topic unique
frédogoto a répondu à un(e) sujet de frédogoto dans Discussions générales
non quand le capteur est sollicité il chauffe. et quand il chauffe, il ce produit ce que nous appelons "du bruit" thermiques. un moutonnement basse fréquence, des pixel rouge vert ou bleu apparaissent spontanément et de manière ± linéaire avec l'augmentation de la température pour éviter cela il faut essayer de refroidir les capteurs. l'image est ainsi beaucoup plus propre ce n’est une masturbation intellectuelle le rapport signal sur bruit double des que l'on perd 6c° ainsi les camera ccd astronomique sont refroidie par un système pelletier qui -pour les cameras haut de gamme- sont capable de produire du froid jusqu’à -50c° en dessous de la température ambiante ma camera elle descend jusqu’à -36ΔT° les cameras des grands observatoires sont généralement refroidie autour de -120c° en dessous de zéro, température à laquelle elles ont le meilleurs rendement -
EOS clip ? j'ai un UHC, un
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ouais mais j'ai quand même des traînés dans PHD et son dithering de m.... de 1.5px ! question de darks sans doute, mais comme en APNologie, les dark ne sont jamais parfaitement conforme au conditions de shoot -qui de toute façon varie toute la nuit-, on est biaisé autant mettre les valeurs sus indiqué, ça minimise les emmerdements
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oui GM MAXIMDL ne font des décalage que sur des valeur entiere. phd ne fait (au max) que un 1.5 ce qui au vue de mes résultats (APN) est insuffisant pour minimiser les trainés diagonale issue des flexions. mais je ne t'oblige a rien hein , chacun son biz et après tout je crois pas que cela aie suffisamment d'importance pour en rajouter des tonnes en effet
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oui la tu marques un point, mais comme tu le sais, dans la soustraction des dark, on se retrouve (pour les pxiel chaud) avec une valeur de zero (ou proche de zero) ce qui devien un pixel froid ou mort. le dithering "intélligent" permtra donc au registration statistique de l’éliminer de la pile... sauf si tu as mis un valeur de dithering trop petite et que in fine le même pixel se retrouve "impacté" plusieurs fois
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en afit y' des mot en trop, je avis les virer pour plus de clarté non met un dithering de deux, tu a 100% de chance que les point chaud finissent en cours de pose de se retourver au memes endroit par rapport aux étoiles imagine un grile de 2x2 tu te déplaces aléatoirement sur une des 4 cases a chaque pose; mais tu fais 20 poses. t'es quand bien d’accord que tôt ou tard les 4 cases seron toute "occupées" au moin deux ou trois fois non ????????????????????????? ou alors toi et moi on est condamné ad vitam à ne pas se conprendre donc si tu fait 20 pose, pour éviter de tomber de fois sur la même case, tu en extrait la racine pour obtenir la taille de carré minimal de diffusion....
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absolument joseph : si 'il a des flexions (tout dépend de la vitesse de tes flexion,) tu peux mettre des valeurs relativement faible, toute fois si tu shoote à l' APN, etant donné le "macro bruit" (sorte de moutonnement des basse valeur), je choisirais néanmoins autour de 10pix
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pour les APN je l'ai remarqué et je pense sincerement qu'il s'agit d'un "soucis" du traitement digic et concors sur le CCD y'a pas : c'est entier. le repositionement de la matrice [barre]par rapport aux[/barre] après dithéring ne change rien : le point chaud est toujours entier ? ils ne bouge pas par rapport a la matrice du ccd ?! je ne comprend pas ta remarque ?
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si tu continue sur cette vois la, je demande à ton Pêre, Joël, de s'inscrire ici
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Tout simplement parce que les pixels chauds ont "l’immense" avantage d’être sur des pixels entiers, la formule prend tous son sens pour ça. Pour le moutonnement du bruit, (il faut ? / faute de ?) des valeurs singulièrement plus élevées pour ça, mais je suis maintenant persuiadé qu'avec des dark et flats "parfaits" ce moutonnement disparaît.
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et 1k€ plus cher
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au fait Halphie c'est toi qui avait racheté le "N200 vixen de la mort qui tue" à Colmic... pourquoi l'as tu revendus si c'est pas indiscret ?