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ROSETTA


frédogoto

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  • Administrators

un image assez. incroyable

Gabriele Bellei de la division "interplanétaire" a passé plusieurs heure a scruter les images NAVCAM de Roseta afin de trouver le preuve du premier contact

donc a gauche avant, a droite, après, on "voit" l’atterrisseur philae et sont ombre quelques instant après son premier rebond

comet_3108292b.jpg

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  • Administrators

la position approximative de Philae

B2ZF8H-IYAASDFr.jpeg

et les probable position plus precise , cela rejoint précisément mes propres supositions

vivement les panoramas rééxposés

index.php?act=attach&type=post&id=34307

je pense que l'agece va se débrouillé pour faire de passage sérré au moment ou l’éclairage sera optimal afin d'y repérer la petite sonde

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  • Administrators

Je reprend le texte traduit par le ton Frangin Fayolle :

Point de la situation ici :

http://www.esa.int/Our_Activities/Space_Science/Rosetta/Pioneering_Philae_completes_main_mission_before_hibernation


Tentative de traduction de cette langue bizarre :



15 Novembre 2014

L'atterrisseur de Rosetta a achevé sa mission scientifique primaire après près de 57 heures sur la comète 67P / Churyumov-Gerasimenko.


Après avoir été dans la fenêtre de communication avec l'atterrisseur depuis 09h58 GMT / 10h58 CET le vendredi, Rosetta a repris contact avec Philae à 22h19 GMT / 23: 19 CET hier soir. Le signal est d'abord intermittent, mais s'est rapidement stabilisé et est demeurée très bon jusqu'à 00h36 GMT / 01h36 CET ce matin.


L'atterrisseur a envoyé toutes les données de maintenance ainsi que les données scientifiques des instruments ciblés, y compris Rolis, COSAC, Ptolémy, SD2 et CONSERT. Ceci a complété les mesures prévues pour le dernier paquet d'expériences sur la surface.


En outre, le corps de l'atterrisseur a été relevé d'environ 4 cm et a effectué une rotation de 35 ° dans le but de recevoir plus d'énergie solaire. Mais avec les dernières données scientifiques envoyées sur Terre, la puissance de Philae s'est rapidement épuisée.


"C'est énorme succès, toute l'équipe se réjouit», a déclaré Stephan Ulamec, directeur de l'atterrisseur de l'Agence spatiale allemande DLR, qui a suivi les progrès de Philae du Centre d'opérations spatiales de l'ESA à Darmstadt, en Allemagne, cette semaine.


«Malgré la série imprévue de trois touchés, tous nos instruments ont pu être exploité et maintenant il est temps de voir ce que nous avons."


Contre toute attente - sans propulseur vers le bas et avec le système de harpon automatisé non activé - Philae a rebondi deux fois après son premier touché sur la comète, puis est venu se poser à l'ombre d'une falaise le mercredi 12 Novembre à 17h32 GMT (heure de comète - il faut plus de 28 minutes pour le signal pour atteindre la Terre, via Rosetta).


La recherche du site d'atterrissage final de Philae se poursuit avec des images haute résolution de l'orbiteur à examiner de près. Pendant ce temps, l'atterrisseur a retourné des images sans précédent de ses environs.


Alors que les images montrent lors de la descente que la surface de la comète est recouverte par de la poussière et des débris allant du millimètre à plusieurs mètres, des images panoramiques présentent des parois à couches de matériau d'aspect plus dur. Les équipes scientifiques étudient maintenant les données pour voir si ils ont recueilli ce matériau avec le forage de Philae.


"Nous espérons encore que dans une phase ultérieure de la mission, peut-être quand nous sommes plus près du Soleil, que nous pourrions avoir un éclairage suffisant solaire pour réveiller l'atterrisseur et rétablir la communication», a ajouté Stephan.


A partir de maintenant, aucun contact ne sera possible sans que suffisamment de lumière solaire illumine les panneaux solaires afin de générer assez de puissance pour le réveiller. La possibilité que cela puisse se produire plus tard dans la mission a été renforcé lorsque les contrôleurs de mission ont envoyé les commandes pour faire tourner le corps principal de l'atterrisseur avec ses panneaux solaires fixes. Cela a permis d'exposer plus de surface de panneau à la lumière du soleil.


Le prochain créneau de communication possible commence le 15 Novembre à environ 10h00 GMT / 11h00 CET. L'orbiteur sera à l'écoute d'un signal, et continuera de le faire à chaque fois que son orbite l'amène dans la visibilité en ligne de mire avec Philae. Toutefois, étant donné le courant de recharge faible en provenance des panneaux solaires en ce moment, il est peu probable que le contact sera rétabli avec l'atterrisseur dans un proche avenir.


Pendant ce temps, l'orbiteur Rosetta est en train de revenir à 30 km en orbite autour de la comète.


Il sera de retour sur une orbite de 20 km le 6 décembre et poursuivra sa mission d'étude dans les moindres détails, la comète devenant plus active dans sa route vers sa rencontre proche avec le Soleil le 13 Août de l'année prochaine.


Au cours des prochains mois, Rosetta va commencer à voler en orbites plus éloignées, tout en effectuant une série de survols audacieux, certains à seulement 8 km de son centre.


Les données recueillies par l'orbiteur permettront aux scientifiques de surveiller les effets à court et à long terme des changements qui ont lieu sur la comète, en aidant à répondre à certaines des plus grandes et des plus importantes questions concernant l'histoire de notre système solaire. Comment a t-il pu se former et évoluer ? Comment fonctionnent les comètes ? Quel rôle joue les comètes dans l'évolution des planètes, de l'eau sur la Terre, et peut-être même de la vie sur notre planète natale.


"Les données recueillies par Philae et Rosetta ont vocation à faire que cette mission change la donne dans la science cométaire", explique Matt Taylor, scientifique du projet Rosetta de l'ESA.


Fred Jansen, le directeur de la mission de l'ESA, a déclaré: "A la fin de cette semaine incroyable et en montagnes russes, nous voyons derrière un premier atterrissage en douceur réussi sur une comète. Ce fut un moment historique pour l'ESA et ses partenaires. Nous attendons maintenant de nombreux mois de science excitante avec Rosetta , et peut-être un retour de Philae de l'hibernation à un moment donné dans le temps".

FIN DE TRADUC..



Alors oui, dans le spatial rien ne se passe jamais exactement comme prévu, il y faut aussi un peu de chance..

C'était mal parti pour Philae avec son propulseur HS, ses harpons

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  • Administrators

si vous voulez rigoler un coup lisez ceci

un "beau lien" ou on nous explique - comme d'habitude" que tout ceci est un complot et qu'il est impossible de se poser sur une comète

http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/le-mensonge-de-la-mission-rosetta-159415


je vous prévient c'est de la même veine que la conspiration des "appolo" sur la lune et comme quoi les tour du 11 septembre auraient été en fait dynamité et qu'aucun n'avion serait tombé sur le pentagone


quelques réaction sur la toile

Ce type vient de faire la démonstration que la vie humaine sans cervelle est désormais possible.

indyanhorse

Le plus paradoxal est qu'il utilise une photo envoyée par Rosetta pour étayer sa démonstration de la présence de pierres et de poussières autour de la comète.

jld37

Ce qui est vraiment démoralisant dans la lutte contre la co***ie, c'est que chaque petite victoire ne fait que confirmer l'évidence : la guerre sera très, très, très longue et nous serons tous morts avant la fin

Ygogo

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  • Administrators

comme indiqué , il s'est posé approximativement a 1km de son point de contact initial

effectivement cette protection inattendue va sans doute permettre une seconde vie du module nettement plus étendue que prévue

j'ai eu la confirmation de ce cette intuition non formulée hier pars les spécialisteq de missions

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  • Administrators

le communiqué de lESA a propos de la photo de l'Odysée de Philae


(traduit par jackbauer 2 )

OSIRIS photographie Philae dérivant sur la comète


Ces incroyables images montrent le voyage à couper le souffle de l'atterrisseur Philae de Rosetta s’approchant puis rebondissant après son premier touchdown sur la comète 67P/Churyumov-Gerasimenko sule 12 novembre 2014

La mosaïque comprend une série d'images capturées par la caméra OSIRIS de Rosetta sur une période de 30 minutes, couvrant le premier touchdown. Le temps de chaque image est marqué sur les incrustations correspondantes et est en GMT. Une comparaison de la zone de toucher des peu de temps avant et après le premier contact avec la surface est également fournie.

Les images ont été prises avec la caméra de Rosetta OSIRIS quand le vaisseau spatial était à 17,5 km du centre de la comète, ou à peu près 15,5 km de la surface. Ils ont une résolution de 28 cm/pixel et les incrustations élargies sont 17 x 17 m.

De gauche à droite, les images montrent Philae descendant vers et à travers la comète avant le toucher. L'image prise après le toucher, à 15 h 43 GMT, confirme que l'atterrisseur se déplaçait est, comme le premier suggérée par les données retournées par l'expérience CONSERT et à une vitesse d'environ 0,5 m/s.

L'emplacement final de Philae n'est toujours pas connu, mais après avoir touché et rebondi à nouveau à 17:25 GMT, il est arrivé là à 17:32 GMT. L'équipe d'imagerie est persuadée qu’on combinant les données de CONSERT et les images d’OSIRIS et de la NAVCAM de l'orbiteur avec celles de la surface des caméras ROLIS et CIVA de Philae, ils parviendront à déterminer où il se trouve.

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  • Administrators

Le CNES vien de publier cette image, qui rejoint la simulation déjà montrée plus haut

image-maisonok.png

Zone estimée d'atterrissage de Philae par l'instrument CONSERT ©ESA/Rosetta/Consert/Philae/IPAG, LATMOS, MPS, CNES, DLR

c'est donc la seconde piste qui semble indiquer que Rosetta aurai dépassé les parois du cratères pour aller se poser sur l'autre versant.

j'avoue avoir du mal avec cette hypothèse pour des questions tenant à la dynamique de la trajectoire, mais c'est eux les pros :}

Sous la responsabilité de Wlodek Kofman, chercheur CNRS à Grenoble à l’IPAG (CNRS/Université Joseph Fourier), l’instrument CONSERT, participe aux efforts de localisation du site d’atterrissage final. Grâce aux mesures de la distance entre Rosetta et Philae pendant les périodes de visibilité, et en utilisant d’autres mesures faites à travers le noyau, l’équipe a pu produire une carte donnant la bande de localisation de Philae sur la surface correspondant à ces mesures. Ce travail a été fait à la demande et en collaboration avec les centres d’opérations de Rosetta et de Philae : l’ESOC Flight Dynamics en utilisant les orbites a posteriori et le centre d’opérations du CNES de Toulouse (SONC).


Par ailleurs, la séquence de mesures CONSERT en tomographie en transmission à travers le noyau, qui permettra de réaliser les objectifs scientifiques de l’expérience (détermination de la structure interne, des hétérogénéités, …), a parfaitement fonctionné : les mesures prévues ont été acquises, et s’avèrent de bonne qualité. Le signal reçu montre une propagation à l’intérieur de la comète, et l’équipe travaille maintenant sur l’analyse scientifique des données.

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  • Administrators

nouvelle mosaique des 4 navcam de Rosetta traitée par votre serviteur

image cliquable

5089434imagenavcamss.jpg

Quatre images NAVCAM provenant des images de la comète 67P / CG prises le 20 Novembre. Crédits: ESA / Rosetta / NAVCAM - CC BY-SA 3.0 IGO


comme d'habitue une version librement interprétée ^^

9264014imagenavcamssblur.jpg

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  • Administrators

Le CNES vien de publier ceci :

Le SONC prépare la suite de la mission de Philae


26 novembre 2014


En 1ere ligne lors de l’atterrissage de Philae et de sa 1ere séquence scientifique, les équipes du SONC préparent à présent la suite de la mission de l’atterrisseur dans l’hypothèse de son réveil courant 2015. Entretien avec Philippe Gaudon, chef de projet Rosetta au CNES.

5089434imagenavcamss.jpg

Gros plan sur la région d’atterrissage probable de Philae après ses 2 rebonds. Images de la caméra de navigation de Rosetta (20/11 ; 30,5 km du centre du noyau ; 2,6 m/pixel) ; assemblage Frédéric TAPISSIER. Crédits : ESA/Rosetta/NavCam–CC BY-SA IGO 3.0.


Dans l’idéal, après l’arrivée de Philae sur le noyau de la comète 67P et l’accomplissement de la 1ere séquence scientifique jusqu’à l’épuisement de sa pile, l’atterrisseur aurait dû profiter du rechargement de sa batterie par ses panneaux solaires pour entamer une longue séquence d’utilisation de ses instruments.


Hélas, l’arrivée de Philae a été quelque peu acrobatique et il s’est finalement calé contre une sorte de corniche de glace loin du site Agilkia initialement visé. Au final, le Soleil n’éclaire que certains de ses panneaux solaires et seulement moins d'1h30 par jour cométaire de 12,4 h. C'est insuffisant pour recharger sa batterie.



Le vendredi 15 novembre, à l’issue de la 1ere séquence scientifique, Philae a donc basculé dans un mode comparable à une sorte d’hibernation et il n’en sortira que lorsque ses panneaux solaires récolteront assez d’énergie pour le réchauffer et le réveiller. Voici les réponses de Philippe Gaudon, chef de projet Rosetta au CNES, à quelques questions sur les conséquences de cette hibernation précoce pour le SONC, le Science Operation & Navigation Center, installé dans les locaux du CNES à Toulouse et chargé de la préparation et du suivi des opérations scientifiques de Philae.



Philippe Gaudon, chef de projet Rosetta au CNES. Crédits : CNES.

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Après l’intensité des journées qui ont entouré le largage et l’atterrissage de Philae, comment les équipes du SONC ont-elles réagi à cette hibernation beaucoup plus précoce que prévue ?


Philippe Gaudon : « Physiquement, il a fallu plusieurs jours à tout le monde pour se remettre de cette période, car les horaires et la pressions ont été extrêmes, mais je n’ai pas ressenti de découragement à l'annonce de l'hibernation précoce de Philae. D’une part, nous avons tous bon espoir que l’atterrisseur se rallume lorsque les conditions d’ensoleillement seront plus favorables et, d’autre part, nous avons encore beaucoup de travail. Une partie de l’équipe continue notamment de préparer des séquences scientifiques pour la période du réveil, dite Science de Long Terme (LTS). Elle était censée commencer immédiatement après la 1ère séquence scientifique (FSS) mais, pour le moment, je dis qu’elle n’est que reportée. La LTS n’avait été préparée que pour le 1er mois, il reste donc encore beaucoup de choses à faire ! Une autre partie de l’équipe du SONC participe à l’effort de localisation du site précis d’atterrissage de Philae. »


Justement, avec quels moyens le SONC peut-il contribuer à cet effort de localisation de Philae ?


PG : « Dès le 12 novembre en fin d’après-midi, dès que nous avons compris que Philae avait très certainement rebondi lors du 1er contact avec la surface, l’équipe de mécanique spatiale a commencé à réfléchir à la modélisation de ce rebond. Depuis, nous avons bien plus de renseignements sur les horaires des 2 rebonds et de l'atterrissage final, l’orientation du premier rebond, sa vitesse, la rotation de Philae pendant ces 2 heures de trajet supplémentaire, et nous tentons de reconstruire toute sa trajectoire. Ce que nous trouvons pour le moment est cohérent sur la durée à 1 min près et avec ce que propose l’équipe de CONSERT, mais il y a encore du travail à réaliser avant d’officialiser nos résultats. »


Est-ce que vous pensez que le téléobjectif OSIRIS-NAC sur Rosetta parviendra à distinguer Philae dans la zone d’atterrissage ?


PG : « C’est un site qui connaît des conditions d’ensoleillement délicates et il faut donc réussir à trouver le bon moment pour que OSIRIS-NAC puisse prendre des images, mais je suis confiant. Rosetta est actuellement à une trentaine de km de distance et elle devrait se rapprocher à une vingtaine de km début décembre, donc, quand je vois la qualité des images prises sensiblement à la même distance lors de l’atterrissage, des images sur lesquelles on voit vraiment très nettement Philae, j’ai confiance. À mon avis, c’est plus une question de bon éclairage de la zone que de résolution, même s’il peut être plus difficile de repérer l’atterrisseur s’il est coincé entre des parois de glace. »


Lorsque Philae aura été situé précisément, quel sera le rôle du SONC ?


PG : « L’équipe de mécanique spatiale, qui a largement contribué aux remarquables calculs de la trajectoire de largage, pourra alors déterminer avec précision quand l’ensoleillement deviendra suffisant pour que l’activité de Philae reprenne. C’est ce qu’on attend dans un futur proche et cela nous permettra de dire à partir de quand on pourrait envisager un réveil, possiblement dans le courant du printemps 2015, mais cela reste à confirmer. »


Qu’est-ce qu’il se produira lorsque l’énergie collectée par les panneaux solaires de Philae deviendra suffisante pour provoquer son réveil ?


PG : « En tout 1er lieu, il faut que Philae se réchauffe suffisamment avant de pouvoir démarrer l'ordinateur de bord et lancer le logiciel de vol. Puis, une fois le logiciel de vol lancé, celui-ci va automatiquement déclencher le fonctionnement des antennes pour tenter d’établir le contact avec Rosetta. Une fois cette étape franchie, si l’énergie collectée est toujours suffisante, ce sera au tour du compartiment de la batterie d’être réchauffé, à la suite de quoi la recharge de la batterie commencera. Enfin, quand la charge sera suffisante, Philae sera opérationnel et l’utilisation des instruments deviendra possible selon une séquence qui aura été préparée au SONC en étroite collaboration avec les scientifiques et qui sera téléchargée dans l’ordinateur de Philae via le Centre de Contrôle de Philae (LCC), le Mission Operation Center (RMOC) et Rosetta. »

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  • Administrators

quelques infos intéressantes donnée par Sylvain Lodiot

Rosetta va effectuer une manœuvre le 3 décembre pour redescendre vers une orbite à 20 km, qu’elle atteindra le 6 décembre. Ce jour-là, nous aurons une fenêtre pour que la caméra OSIRIS-NAC photographie dans de bonnes conditions d’éclairement la zone où l’on pense que se situe Philae. Précisons que cette descente à 20 km était prévue depuis plusieurs semaines, mais qu’elle offre finalement une très bonne opportunité d’être plus proche de la surface pour rechercher Philae. Rosetta restera une dizaine de jours sur cette orbite à 20 km avant de remonter à 30 km pour Noël. Un peu avant, le 20 décembre, il y aura une nouvelle caractéristique de la mission puisque, jusque là, nous définissions la trajectoire ici à l’ESOC, avec l’objectif d’apprendre à naviguer autour de la comète pour pouvoir larguer Philae, mais cette tâche de définition de l’orbite passera alors sous le contrôle de nos collègues en Espagne. Ce sont eux qui définiront la trajectoire de Rosetta, en accord avec les scientifiques bien sûr, pour les mois à venir.


sinon j'ai une info tout chaude.

il est pensable, cela est une idée qui commence a faire son chemin, qu'a la fin de sa mission, la Sonde Rosetta elle même aille se poser en douceur sur la comète

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  • Administrators

ci dessous la traduction semi automatisée de cet article :

c'est passionnant : cela montre le genie inventif de ce gens qui on détourné des instruments pour un usage pour lequel il n'a pas été prevu grâce aux artefact (sortes d'erreurs de conception) de Phiale

http://blogs.esa.int/rosetta/2014/11/28/did-philae-graze-a-crater-rim-during-its-first-bounce/


Les données recueillies par ROMAP, Rosetta Lander magnétomètre et Plasma Monitor bord Philae, à été utilisé pour aider à reconstruire la trajectoire de l'atterrisseur sur son site d'atterrissage final sur la comète 67P / Churyumov-Gerasimenko.

ESA_Rosetta_Philae_ROMAP_hardware-350x225.jpg


ici l'emplacement du magnétometre sur la sonde :

ESA_Rosetta_Philae_ROMAP_context-350x246.jpg


les champs magnétiques peuvent être utilisés pour cette tâche parce que le lander et l'orbiteur génèrent de petits champs magnétiques en raison des circuits électroniques à l'intérieur du vaisseau spatial. Ces champs magnétiques créent des perturbations dans les données qui sont normalement éliminées afin d'analyser les champs magnétiques purement naturels de la comète et du vent solaire. Mais au cours de la descente de l'atterrisseur, ces perturbations ont été mesurées afin de surveiller ce qui se passait sur l'atterrisseur.


"Toute déplacement de Philae dans un champ magnétique - même si elle est faible - peut être vu par des changements dans la direction du champ magnétique mesuré», explique ROMAP co-investigateur principal Hans-Ulrich Auster de la Technische Universität Braunschweig, Allemagne.


ROMAP calendrier


Les scientifiques ont été en mesure d'utiliser les données de ROMAP de reconstituer la chaîne des événements qui ont eu lieu le 12 Novembre comme suit:


- La séparation a été confirmée comme une décroissance dans la perturbation du champ magnétique alors que la distance entre Philae et l'orbiteur augmentai ; à ce moment l'atterrisseur tournait à une vitesse d'environ 1 tour par 5 minutes;


- Le train d'atterrissage a été déployé avec succès, accompagnée d'un changement dans la vitesse de rotation pour une rotation pour 8,5 minutes;


- L’antenne de ROMAP a été déployée avec succès et une décroissance du champ magnétique a été mesurée correspondant à la distance accrue du capteur de ROMAP par rapport à sa position initiale sur l'atterrisseur;


- Pendant la descente de sept heures, toutes les mesures ont été négligeables, et ROMAP enregistré le premier touché à 15:34:04 heure GMT de l'engin spatial (le signal est arrivé sur Terre un peu plus de 28 minutes plus tard, et a été confirmé à 16h03 GMT);


- Après le premier touché, la vitesse de rotation a commencé à augmenter. Comme l'atterrisseur a rebondi sur la surface, l'électronique de commande du volant (d'inertie ndt) ont été fermé et pendant les 40 minutes de vol suivante, le volant a transféré son moment angulaire à Philae. l'atterrisseur tourne alors à une vitesse d'environ 1 tour par 13 secondes;


- A 16h20 heure GMT d l'atterrisseur est entré en collision avec une caractéristique de surface, un cratère, par exemple.

ESA_Rosetta_Philae_ROMAP_dynamic_spectrum-1024x700.jpg

Extrait dynamique de densité spectrale de puissance décrivant le «toucher» intermédiaire qui Philae a connu entre les première et seconde touchés. Voir le texte pour plus de détails. Crédits: ESA / Rosetta / ROMAP / IGeP_TU / Braunscheig / Académie hongroise des sciences / Centre de recherche sur l'énergie / de recherche spatiale Institut Graz


Ce contact etit différent du premier : il n'y avait pas de signature d'une décélération verticale due à une légère inclinaison de notre magnétomètre tel que mesuré au cours du premier et aussi le dernier toucher», explique Hans-Ulrich. "Nous pensons que Philae a probablement touché une surface avec une seule jambe - peut-être le sommet d'un bord du cratère - et après que le lander a été tumbling Nous ne avons pas vu une simple rotation autour de l'axe des z de l'atterrisseur , c' était un mouvement beaucoup plus complexe avec un signal fort. dans la mesure du champ magnétique. "


- Suite à cet événement, la période de rotation principale avait légèrement diminué à 1 tour par 24 secondes;


- A 17:25:26 GMT Philae touche la surface à nouveau, d'abord avec un seul pied mais ensuite tous les trois, envoyant le signal de contact caractéristique;


- A 17:31:17 GMT, après avoir voyagé sans doute encore quelques mètres, Philae trouvé sa position finale sur trois pieds.


Comprendre l'intrigue de la densité spectrale de puissance dynamique


L'extrait ci-dessus décrit le «contact» intermédiaire que Philae a connu entre les premiers et le second touchés. Les trois panneaux représentent, de haut en bas, les positions x, y et z de philae. La couleur représente la puissance qui est porté par la fréquence. Par exemple, le rouge est plus «énergique» que le bleu.


La mince ligne rouge dans les section x et y retrace l'augmentation de la fréquence de rotation imprimée par le volant d'inertie a philae. S' il n'y avait pas eu de contact avec le sol cette rotation aurait été conservé indéfiniment (il n'y a presque pas d'atmosphère pour provoquer des frictions importantes) et les fréquences seraient sont restés pratiquement constante après que le volant d'inertie aie transféré la totalité de son énergie à l'atterrisseur.


Mais à environ 16h20, il ya un changement soudain dans la fréquence de rotation, visible dans les trois composantes, et marqué sur le tracé comme une ligne rouge verticale épaisse. La fréquence de rotation dans le x et y baisse de manière significative, mais s'ajoute desormai une rotation visible dans la composante z (au lieu des taches jaunes et orange). Cela indique un changement soudain et brutal de l'axe de rotation qui ne peut être expliqué par une collision avec le sol.


ESA_Rosetta_Philae_ROMAP_TD-1024x723.jpg

mesures magnétiques obtenues par l'instrument de ROMAP de Philae indiquent les trois touchés. Le temps est à l'heure GMT de l'engin spatial. (Voir l'image pour la ligne de crédit.)


Un début chaotique, mais une fin pacifique


Malgré ce début franchement cahotique, tous les instruments de Philae ont été alumé dans les deux jours suivants. Une analyse scientifique complète des données de tous les instruments est en cours.


«Ce était vraiment une excursion passionnante et presque incroyable», ajoute Hans-Ulrich.


La recherche de point d'atterrissage final de Philae est toujours en cour, et les données de ROMAP sont utilisés avec d'autres données de l'instrument à la fois de Philae et Rosetta pour essayer de reconstruire la trajectoire de l'atterrisseur et d'identifier son emplacement actuel (voir les récents messages du blog de ​​la CONSERT équipe et de la OSIRIS équipe pour plus de détails).


Et tandis que Philae est maintenant en hibernation, il y a des raisons d'espérer qu'il recevra assez de soleil plus tard pour continuer à étudier la comète 67P / Churyumov-Gerasimenko. En même temps, l'orbiteur Rosetta continue le suivi de la comète depuis son orbite - il est actuellement d'environ 30 km de la comète


traduction , Fredo + GT

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  • 2 weeks later...
  • Administrators

cliquez pour la full

Colour_image_of_comet_node_full_image_2.jpg


traduit de google :

L'équipe OSIRIS de Rosetta à produit une image en couleur de la comète 67P / Churyumov-Gerasimenko telle qu'elle serait perçue par l'œil humain. Comme prévu, la comète s'avère être très grise, avec seulement de légères variations de couleurs subtiles de sa surface.


Pour créer une image révélant de «vraies» couleurs de 67P, les scientifiques superposées images prises séquentiellement à travers des filtres centrés sur des longueurs d'onde rouges, verts et bleus.


Cependant, comme la comète Rosetta s'est déplacée en rotation au cours de cette séquence, les trois images sont légèrement décalées l'une par rapport à l'autre. Un Travail minutieux est nécessaire pour superposer les images avec précision, ce qui explique la raison pour laquelle il a fallu si longtemps pour arriver à la première image significative de la couleur de 67P / CG.

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